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L'histoire est née d’une boutade de Georges Pourchet, patron de l’Hôtel de l’Abbaye en 1947 lors d’une visite du Préfet. Il lui demanda son laisser-passer pour entrer en « République du Saugeais Â». Surpris mais amusé le représentant de l’Etat répliqua qu’une République se doit d’avoir un Président et il nomma sur le champs Gabriel à la tête de ce micro-état factice et autoproclamé.

Le premier des Saugeais présida aux destinées de son territoire jusqu’à son décès en 1968. Viendront ensuite son épouse Gabrielle et depuis 2006 leur fille Georgette Bertin-Pourchet.

Cette République a depuis plus de 70 ans joué un grand rôle pour le développement touristique avec pâr exemple un hymne, une monnaie, un drapeau, un timbre…et aussi des citoyens d’honneur, véritables ambassadeurs du territoire.

Edgar Faure fut le premier en 1975 et depuis plus de 400 ont reçu cet honneur d’être ainsi nommés. Pour la plupart, il s’agit de personnalités régionales.

Le 7 octobre, comme le veut donc cette tradition, après la messe et la cérémonie au monument aux morts, une douzaine d’intronisations auront lieu.

Ce fut tout sauf une opération inutile. Ce jeudi matin, une action de sécurité routière était menée à Besançon aux abords de l’école Champrond, quai de Strasbourg. A la demande des parents d’élèves, la ville a organisé cette initiative qui a permis de rappeler à l’ordre les automobilistes contrevenants. En présence de la police municipale, un contrôle de vitesse a mis en évidence de nombreuses infractions.

Il est clair que la grande majorité des automobilistes, environ la moitié,  qui empruntent quotidiennement, et plusieurs fois par jour, cette rue omettent de respecter les 20 km/h exigés. Certains par totale ignorance. D’autres par simple étourderie. Tous ont néanmoins conscience de la dangerosité de l’endroit fréquenté par de nombreux piétons, et notamment des enfants.

Suite à ce constat et ce rappel à la loi, qui ne s’est traduit par aucune verbalisation, la Ville entend poursuivre ce travail de pédagogie. Elle souhaite multiplier ces initiatives et surtout améliorer la signalisation pour que les automobilistes connaissent et adoptent les règles en vigueur.

La réforme de l’enseignement professionnel voulu par Emmanuel Macron, et présenté dernièrement par Jean-Michel Blanquer, ne passe pas. Ce jeudi matin, les syndicats se sont rassemblés au centre-ville de Besançon pour exprimer leur mécontentement et leurs inquiétudes. Ils s’insurgent contre une réforme qui, selon eux, n’a que pour objectifs « de faire des économies en réduisant les moyens alloués à l’enseignement, répondre aux exigences du MEDEF et limiter les poursuites d’études en BTS des élèves de lycées professionnels Â».

La goutte qui a fait déborder le vase est la publication, le 24 septembre dernier, des grilles horaires élèves, qui prévoient une chute des heures d’enseignement, les faisant passer de 34 à 30 heures hebdomadaires. Pour les manifestants, « cet appauvrissement de la formation est inacceptable Â». Alors que la précédente réforme du bac professionnel, avec le passage de quatre à trois années de formation, fait toujours débat, les enseignants entendent « défendre l’enseignement professionnel public Â». Des suppressions de postes, une qualité d’enseignement moindre et la mixité des parcours et des publics sont décriées.

Le passage de cette réforme est prévu en novembre prochain avec son inscription au budget.

La lutte contre les maladies cardiovasculaires et leur prévention sont plus que jamais un enjeu de santé publique. L’information du grand public est donc primordiale voire même vitale dans certains cas. C’est pourquoi une telle journée existe. Demain vendredi 28 septembre toute la journée, à l’hôtel de ville de Dole, la population est invitée à assister à des conférences et à découvrir stands, ateliers et animations. Deux thèmes seront plus particulièrement abordés : comment vivre avec du diabète et l’insuffisance cardiaque.

A quelques mois des élections européennes (2019) et avec les municipales en ligne de mire (2020), le parti Les Républicains s’apprête à élire ses responsables dans le département. Les 1200 électeurs encartés sont invités à s’exprimer le 13 octobre prochain.

« A l’occasion de ces élections, seront élus le Président de la Fédération, les Délégués de circonscription, les délégués de la Fédération au Conseil National, les membres des Comités de circonscription et les représentants des nouveaux adhérents Â» précise le secrétaire départemental Michel Vienet.

Les candidatures réceptionnées sont les suivantes : Présidence de la Fédération Annie GENEVARD;  Délégué 1ère circonscription Guillaume BAILLY; Délégué 2ème circonscription Ludovic FAGAUT;    Délégué 3ème circonscription Matthieu BLOCH; Délégué 4ème circonscription Gérard PAYOT; Délégué 5ème circonscription Gerard DEQUE. Une prétendant par poste donc pas de suspense.

Postulent par ailleurs en tant que représentants de la Fédération au Conseil National : François CUCHE Jean-Pierre DARTEVELLE Xavier GERVASONNI Karine LAMIT Laurence MULOT Valère NEDEY Sebastien POPULAIRE. Ici par contre, sept candidats pour six postes à pourvoir.

 

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