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Depuis 6 mois, l’association « Les Amis de la Pédiatrie Â» de l’hôpital de Pontarlier ont décidé d’investir dans deux voiturettes électriques. 

Ces voitures arrivées lundi 24 septembre de le service ont pour objectif de détendre les enfants hospitalisés avant les soins, ou le bloc opératoire.
« Nous avons fait le choix de ces voitures ludiques. Les enfants les conduisent avec l’aide des brancardiers ce qui diminuent leur appréhension avant d’aller au bloc Â» explique Charline Dhote de l’association.

Ces voitures ne servent pas seulement de jeux pour les enfants. Sur des questions médicales, elles permettent au médecin de diminuer la prise d’anxiolytiques qui servent habituellement à diminuer l’angoisse chez l’enfant. Ici, ce sont les voiturettes qui jouent le rôle de médicament.

Ces deux voitures ont été financées par l’association des familles de Pontarlier, et une classe de Terminale du Lycée Jeanne d’arc dans le cadre de leur projet caritatif. « Le personnel de l’hôpital a très vite été convaincu par l’utilité de notre projet. Nous avons négocié avec les anesthésistes et les brancardiers, mais ils ont très vite accepté Â» explique Charline Dhote.

Cet investissement représente une belle collaboration entre les différents services de l’hôpital.

Depuis hier, des travaux sont menés Faubourg St-Etienne à Pontarlier afin de renouveler le réseau d’eau potable.

Ces travaux devraient durer 6 semaines, et peuvent engendrer des problèmes de circulation. En fonction de l’avancement et des besoins du chantier, le stationnement pourra également être perturbé.

Pour des raisons techniques des coupures d’eau momentanées pourront être nécessaires explique la Ville.

Le corps de l’homme de 33 ans, retrouvé sans vie, samedi dernier, dans un appartement, grande rue, à Dole, devait être autopsié ce mardi matin. Quasiment dans le même temps, Etienne Manteaux, le Procureur de la République de Besançon, a tenu une conférence de presse, pour faire le point sur cette affaire.

La piste criminelle ne fait aucun doute. Une information judiciaire pour homicide vient d’être ouverte. Compte tenu des faits, le parquet de Lons-le-Saunier s’est dessaisi de ce dossier au profit du parquet de Besançon. L’enquête a été confiée au commissariat de Dole et à la direction interrégionale de la police judiciaire de Dijon. Le Procureur de la République évoque « une mort violente Â». Le corps a été retrouvé décapité. Un merlin, un outil en forme de hache, a sans doute été utilisé pour tuer le trentenaire. La mort de la victime pourrait remonter à plusieurs jours. La dernière preuve vivante de cet homme remonte au 20 septembre dernier.

Pour l’heure, l’épouse et ses deux enfants, âgés de 10 et 4 ans, restent introuvables. Ils ont sans doute quitté le territoire national, autour du l21 septembre. Une chose est certaine, le téléphone portable de la mère a été localisé au Kosovo. L’enquête se poursuit et en fonction des résultats obtenus un mandat d’arrêt européen sera formulé au Kosovo, pays avec lequel une coopération internationale est possible. En tout cas, pour l’heure, les causes de cet homicide restent inconnues.

« Un couple problématique Â»

Les premières traces de présence de ce couple en France date de 2011. Le Procureur de la République explique que « la situation familiale de ce couple était complexe Â». La victime était incarcérée à Lyon, jusqu’en août dernier, pour des faits de violences conjugales. Par ailleurs, le conseil départemental du Jura s’apprêtait à adresser un signalement au Parquet pour dénoncer la situation des enfants, dont la scolarité était très difficile et peu suivie. Cette famille est passée par Besançon, Vénissieux et Mulhouse, avant de s’installer en 2018 à Dole.

Agé de 39 ans, père de trois enfants, ce jurassien d’origine, a commencé son engagement en tant que jeune sapeur-pompier puis dès l’âge de 16 ans volontaire dans une caserne proche de Lons-le-Saunier.

« j’ai au cpurs de mes études obtenu un DUT Hygiène et sécurité puis ensuite obtenu en 2001 le concours de sapeur-pompier professionnel 2ème classe ». Il entame alors sa carrière dans le Jura puis le Rhône avant d’arriver en 2004 dans le Doubs. Deux ans plus tard, il passe avec succès le concours d’officier.

Depuis, il a exercé au service opérations et prévisions sur l’arrondissement de Besançon puis a été adjoint au chef de centre à Besançon avant d’être adjoint du chef de service de la formation au sein du service départemental d’incendie et de secours du Doubs.

Désormais, chef du CSR de Morteau, il dirige un centre qui effectue plus de 1200 interventions par an, une activité qui ne cesse de croitre.

L’atmosphère sera sans aucun doute très lourde demain au palais de justice de Besançon où comparaitra le chauffeur du bus accidenté à Montflovin le 10 février 2016. Un dramatique faits-divers qui avait coûté la vie à Laureen, 15 ans et Mathis, 12 ans, deux adolescents scolarisés au collège Lucie Aubrac à Pontarlier. Ces deux décès avaient profondément attristé tous les habitants du Haut-Doubs et bien au-delà.

Le procès de demain devra confirmé ou non si les faits qui se sont déroulés sur une chaussée glissante auraient pu être évités avec une vitesse plus adaptée. Le chauffeur, âgé de 28 ans, est poursuivi par la justice pour homicides involontaires.

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