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Cette semaine a eu lieu la cérémonie de remise des prix pour les lauréats pontissaliens du concours des Maisons fleuries.

Pour ce concours, il existait plusieurs catégories, maison individuelle, grands balcons ou encore fenêtres et petits balcons.

Les photos des maisons fleuries des lauréats sont à découvrir dans le Hall de l’Hôtel de Ville de Pontarlier jusqu’au 9 novembre.

Cette nouvelle loi prévoit notamment un doublement des sanctions en cas d’installations illicites de gens du voyage. Les peines sont portées Ã  12 mois d’emprisonnement et à 7.500 euros d’amende, ainsi que la création d’une amende forfaitaire applicable à ce délit.

e texte fait obligation d’informer les autorités trois mois avant tout grand rassemblement ou tout grand passage de gens du voyage. Il étend également au maire de toute commune dotée d’une aire d’accueil le pouvoir d’interdire le stationnement des « résidences mobiles Â» sur le reste du territoire communal et de demander au préfet l’évacuation des campements illicites, même si le regroupement de communes auquel elle appartient n’est pas en conformité.

« Des réponses concrètes aux difficultés récurrentes provoquées par l’occupation illicite de terrains Â» a souligné la ministre de la Cohésion des territoires Jacqueline Gourault estimant que le Parlement était « arrivé à une bonne solution Â».

La Ville de Besançon teste actuellement un nouvel aménagement pour les cyclistes chemin des Montboucons. L’objectif étant de favoriser les déplacements des vélos. Ce nouvel aménagement est testé entre l’échangeur de la RN57 au niveau de Temis et le carrefour avec les rues François Arrago et Urbain Leverrier au niveau de l’école des Montboucons.

Le principe est le suivant : la chaussée à voie centrale banalisée est une voie unique de circulation avec deux accotements. Les voitures circulent dans la voie centrale et les cyclistes circulent dans l’accotement. A l’approche d’une voiture, l’automobiliste est invité à ralentir, à se déporter sur l’accotement pour se croiser puis à revenir sur la voie centrale. Lors d’un croisement avec un cycliste, l’automobiliste attend derrière le cycliste avant de revenir dans la voie centrale.

Pour l’heure, la Ville s’est donnée six mois pour se faire une idée sur ce nouvel aménagement. C’est en tout cas la promesse qu’elle a formulée au conseil consultatif des habitants. Marie Zehaf, adjointe au Maire déléguée à la voierie et aux déplacements urbains, explique que cette décision a été prise car la configuration de ce secteur bisontin ne permettait pas la création de deux voies de circulation. Alors pour répondre aux exigences des différents usagers, mais aussi à la législation en vigueur, cette décision a été prise. L’élue explique que cet aménagement existe déjà dans d’autre territoires français et européens et a donné satisfaction. Affaire à suivre.

A l’occasion d’une visite au Lycée Edgar Faure où elle a témoigné devant les élèves de son passé de rescapée des camps de concentration, Ginette Kolinka a été reçue en mairie où lui a été remise la médaille d'honneur de la Ville.

Retour sur le parcours de cette femme devenue une infatigable ambassadrice de la mémoire. Elle est née à Paris en 1924. Arrêtée à 18 ans avec son père, son frère et son neveu, elle est transférée à Drancy puis Auschwitz le 12 Avril 1944.  Son père et son frère sont immédiatement gazés. Elle retrouve sa famille à Paris le 6 Juin 1945, elle pèse 27kg.

Depuis, Ginette, matricule N°78599, parcourt le pays pour parler à la jeunesse avec un message clair : «  Je pense que la haine est à supprimer. On est tous des êtres humains, on est tous capables si on le veut de s’accepter. Je ne veux pas entendre le mot haine. J’ai pourtant la haine contre les personnes qui m’ont dénoncée, et la haine des nazis. Mais en fait, on ne rencontrait pas les nazis. On était bien 10 000 dans le camp, mais ils Ã©taient  peu nombreux. L’humiliation était essentielle. On nous a rétrogradés à pire que des bêtes, ils ont réussi à nous transformer en êtres inhumains. Â»

L’Insee réalise actuellement, et jusqu’au 31 mai prochain, une enquête auprès de 34.500 ménages bourguignons et francs-comtois sur le thème des conditions de travail. L’enquête permettra d’avoir une vision du travail tel qu’il est perçu par le travailleur et non pas tel qu’il est décrit par l’entreprise ou l’employeur.

Cette enquête fête ses 40 ans d’existence, et permet de mesurer l’évolution des conditions de travail. Depuis la dernière enquête en 2016, les questions concernant les outils numériques et leur impact sur les conditions de travail ont été renforcées. La pratique du télétravail est également abordée.

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