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A compter du début d’année 2019, et jusqu’à octobre prochain, le département du Doubs rendra hommage à Gustave Courbet à l’occasion du bicentenaire de sa naissance. Rappelons que le peintre est né à Ornans le 10 juin 1819. Il décédera à la Tour de Peilz le 31 décembre 1877.

Sur 250 évènements proposés, le Conseil départemental en a retenu 80. Ils se tiendront sur tout le territoire départemental. Cette riche programmation se décline en différents domaines : culture, patrimoine, sport, sciences, … . Tous les publics seront impliqués. Des actions et des projets seront développés dans les collèges du département, mais aussi avec l’université de Franche-Comté. L’objectif étant d’intéresser le plus grand nombre à l’homme et à son Å“uvre. Au menu, du théâtre, des conférences, de la musique, de la danse, un colloque international, des résidences d’artistes, des évènements sportifs, comme le passage du Tour de France, des randonnées, … . Sans oublier, trois grandes expositions prévues tout au long de l’évènement.

Christine Bouquin, la Présidente du Département, n’a pas caché son enthousiasme d’organiser un tel événement. Elles souhaite ainsi faire découvrir les multiples facette de l’artiste et intéresser tout un chacun au parcours de cet homme, « très attaché à son territoire Â». Mme Bouquin espère également, à travers les évènements proposés, « faire partager aux Doubistes l’esprit de liberté qui a animé Courbet tout au long de sa vie Â».

Pour de plus amples informations et pour tout savoir sur la programmation : www.musee-courbet.fr

De l’autre côté de la frontière, une motion populaire des Jeunes libéraux-radicaux neuchâtelois aborde un sujet qui peu paraitre bien futile dans le débat public. Pourtant, pour eux, il méritait d’être débattu…Leur souhait comme le rapporte la presse suisse, « légaliser, sous certaines conditions, happy hours et jeux à boire dans le canton Â». Des pratiques interdites depuis l’entrée en vigueur de la nouvelle loi cantonale sur la police du commerce en 2015 mais que ces jeunes loups de la politique voudraient autoriser à nouveau.

Ils vont donc déposer motion populaire intitulée: «Pour la légalisation d’une pratique courante: libérons les établissements publics de l’épée de Damoclès qu’ils ont au-dessus de la tête en autorisant, à certaines conditions, les happy hours et autres jeux ou concours».

Pour eux en effet «le beer pong et les happy hours font partie intégrante de la vie des bars neuchâtelois et que l’interdiction n’est visiblement pas une réponse adéquate ». Affaire à suivre…

Un programme d’investissement de 254 millions d’euros portant sur la construction de 815 logements, la réhabilitation de 2313 logements, la démolition de 579 logements et la vente de 204 logements

Rénovation énergétique, amélioration de la qualité de vie des locataires, adaptation quantitative et qualitative de l’offre de logements aux besoins des habitants et aux projets des collectivités locales, « le Plan Stratégique de Patrimoine d’Habitat 25 apporte des réponses concrètes aux enjeux locaux en matière d’habitat et d’aménagement du territoire malgré un contexte défavorable pour les organismes de logement social Â»

Une révision du Plan Stratégique de Patrimoine d’Habitat 25 qui intervient dans une période de bouleversement pour les bailleurs sociaux « dont les ressources ont été rabotées par une réduction, imposée par la loi de finances 2018, des loyers de certains allocataires de l’APL. Malgré ces contraintes qui ébranlent les grands équilibres financiers des organismes de logement social, Habitat 25 parvient à préserver sa capacité à investir sur le territoire du département et à alimenter le carnet de commandes des entreprises de la région Â».

Ces monuments ont été construits dans les années qui ont suivi le conflit, avec l’aide de l’Etat, mais souvent dans un climat où la politique et la religion n’étaient jamais loin.

Des passionnés d’histoire locale ont sorti il y a un peu plus d’un an déjà un ouvrage très documenté sur la vie dans les villages du Pays de Maiche durant la guerre, rappelant que 4000 hommes du secteur ont été envoyés sur le front. 600 d’entre eux se firent fauchés par les balles des mitrailleuses et les éclats d’obus.

La construction des monuments s’avèrera souvent un autre parcours du combattant pour les municipalités. Morts identifiés ou enfouis sous les bombardements, déclarés disparus ou faits prisonniers, certains ne furent reconnus que plusieurs années après la fin de la guerre. En plus de ce délicat choix des noms à porter sur la plaque commémorative, venait aussi la question du financement et le choix parfois bien compliqué de l’ornement du monument. La question se posait en effet de la présence ou non de signes religieux sur ces symboles de l’hommage de la République à ses enfants tombés au champ d’honneur…