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Après le succès de la Crazy Pink Run, qui a rassemblé plus de 1500 personnes, le 12 octobre dernier dans le cadre d’Octobre Rose, la Ville de Morteau organise sa soirée officielle de remise des dons au profit de « la Ligue contre le cancer », « Semons l’Espoir », « Oncodoubs » et « Vivre comme avant » ce jeudi 27 octobre à l’Escale. Pour l’occasion, le groupe Jule se produira en première partie de soirée.

L’info est tombée hier. Pour la première fois de son histoire, le concours de jeunes chefs d’orchestre de Besançon sera présidé par un chef japonais. C’est Yutaka sado qui présidera les destinés de l’édition 2023, la 58è du nom.  Ce dernier n’est pas inconnu en Franche-Comté, puisqu’il avait remporté, en 1989,  le Grand Prix du 39è concours.

Le train de la Coupe du Monde de rugby a fait étape par Besançon ce lundi. Les quatre wagons entièrement dédiés à cet évènement, qui démarrera le 8 septembre 2023, mettent en lumière cette belle compétition. 51 dates ont été programmées partout en France. La cité comtoise faisait partie du parcours. La fin de ce périple, qui a rassemblé un très large public, est prévue le 14 novembre.

L'interview de la rédaction / Pierre Millet (GIP France 2023)

Les concepteurs de l’évènement ont voulu une exposition interactive, ludique et animée. Le pari est réussi. Elle se conclut par la présentation du trophée. Celui que portera la nation qui remportera la coupe. La présentation des équipes, des maillots, des champions d’hier et d’aujourd’hui, d’objets cultes, … Rien n’est oublié. Cette initiative s’adresse à tout le monde, quelque soient son niveau, ses connaissances et sa pratique.

S’ouvrir au plus grand nombre

Pour donner encore plus d’ampleur à cet évènement, la fédération française de rugby et ses partenaires s’appuient sur les clubs locaux. C’est ainsi, qu’un village, consacré au ballon ovale, était également proposé. Les enfants des écoles bisontines n’ont pas manqué de profiter des installations proposées. Transformation réussie. A l’image de David Ligier, le président du CA Pontarlier rugby, les présidents francs -comtois avaient fait le déplacement. Démocratiser ce sport, le faire découvrir au plus grand nombre, … telles sont également les missions de cette belle aventure sportive. .

L'interview de la rédaction / David Ligier ( président du CA Pontarlier rugby)

Après deux ans d’absence en raison de la crise sanitaire, les Cetivales font leur grand retour à Pierrefontaine-les-Varans. Cet évènement, organisé par l’association Mélibée, combine à merveille ambiance festive, familiale et sportive. L’esprit celte est toujours là et chacun peut y trouver son compte. Pour cette 25è édition, ce sont quatre week-ends qui seront animés. Ce rendez-vous anniversaire s’annonce sous les meilleurs auspices.

Comme à l’accoutumée, les festivités débutent ce week-end, avec les traditionnelles rencontres de rugby pour les enfants et les adultes. Le week-end suivant, le samedi 22 octobre, les organisateurs resservent le couvert avec un grand jeu celtique et la soirée pub, gratuite, à l’exception du repas. Durant ce rendez-vous, la salle des fêtes de Pierrefontaine accueillera trois groupes aux consonnances celtique, médiévale et pop/rock/folk. Pensez à réserver votre place sur : www.celtivales.com.  Le dimanche 23, musique, rire et solidarité seront au programme d’un repas festif. Précisons que tous les bénéfices seront reversés à l’association « les anges gardiens d’Alice » qui agit pour la lutte contre le cancer des enfants.

La musique battra son plein également le week-end des 28, 29 et 30 octobre. Parmi les têtes d’affiche : Tibz, Mes Souliers Rouges, Booze Brothers, la Brigade du Kif, Gauvain Sers et Kalffa. Pour cette édition 2022, et durant toute la durée de l’événement, ce sont  une vingtaine d’artistes qui viendront ambiancer le territoire de Pierrefontaine-les-Varans.

Enfin, la nouveauté cette année, c’est aussi la marche festive, prévue le 19 juin . Un parcours de 6 kilomètres sera proposé. Une balade familiale qui s’annonce d’ores et déjà animée, avec de la musique et la présence d’artistes en tout genre. Elle sera suivie d’un repas convivial. Les bénéfices seront reversés à l’association « Respirare », qui se bat contre les maladies rares pulmonaires.

Pour tout savoir sur les Celtivales 2022 : www.celtivales.com

L'interview de la rédaction / Mme Goguel, présidente de l'association "Mélibée"

Depuis 2018, Morgan Juif et Cavalcade Production animent le milieu rural, et plus particulièrement celui du Haut-Doubs. L’objectif est de faire vivre les villages et proposer des évènements culturels sur ces territoires. Si la structure s’est fait connaître avec son ‘Pop’Cornes Festival », dont la prochaine édition est programmée les 27, 28 et 29 mai prochains au Russey, elle organise également tout au long de l’année des évènements musicaux. Les deux prochains rendez-vous se tiendront les 21 et 22 octobre à la salle des fêtes de Villers-le-Lac. Le 21 octobre, le public pourra applaudir Lilian Renaud en guest, et Ornella Tempesta, en première partie. Le lendemain, le 22 octobre, place à Renan Luce, et Lou Beurier, qui assurera la première partie de l’artiste.

« Cavalcade Production est née de l’envie de promouvoir la culture ailleurs que dans les grandes villes de la région » explique Morgan Juif, son directeur. Et de poursuivre : « cela va de l’organisation de spectacles, à de la tournée d’artistes locaux. Travailler en milieu rural peut représenter un défi, mais rien n’est impossible à celui qui forge son esprit à vouloir absolument. « C’est parfois complexe, mais c’est faisable » explique le chef d’entreprise. Et de compléter : « Tout vient de plus loin. Il faut bien s’organiser, prévoir et planifier ». L’envie de continuer à faire vivre le milieu rural et d’ancrer et développer cette activité sur ces terres est bien réelle. « C’est un choix délibéré que j’assume complètement » poursuit M. Juif.

S’adapter

Cavalcade Production s’est fait un nom. De nombreuses collectivités font appel à ses services pour organiser leurs évènements tout au long de l’année. Un savoureux mélange de conseils et de savoir faire très apprécié. Chaque territoire a ses particularités qu’il faut être en capacité de ressentir pour savoir proposer et adapter la programmation et l’organisation. « Les goûts et les couleurs diffèrent entre les secteurs. On garde ce qui marche et on enlève ce qui fonctionne moins bien ».

Le pouvoir d’achat

La crise est passée par là, mais Cavalcade Production poursuit son petit bonhomme de chemin. Morgan Juif admet que le contexte a évolué et qu’il est important de prendre en compte certains paramètres devenus incontournables. Le pouvoir d’achat en fait partie. Trouver la bonne équation entre le coût de plus en plus élevé des prestations, les possibilités  d’un territoire, la qualité d’une programmation et la billetterie. Un dilemme bien compliqué. D’autant plus que les préventes sont souvent délaissées par les festivaliers et spectateurs. Ce qui représente une difficulté supplémentaire dans la planification et l’organisation.

Pour tout savoir sur les rendez-vous des 21 et 22 octobre prochains : https://cavalcade-prod.com/

L'interview de la rédaction / Morgan Juif

 

Lilian Renaud se produira prochainement dans la région. Alors qu’il prépare, avec d’autres artistes, un double album collectif, baptisé « L’héritage Goldman », qui découlera également sur une tournée dans les Zéniths de France,  et qu’il se projette déjà dans la réalisation d’un cinquième album, l’artiste franc-comtois n’en oublie pas pour autant ses fans de la région. Le 21 octobre, il interprétera les titres de ses deux derniers albums à la salle des fêtes de Villers-le-Lac. Le lendemain, c’est Renan Luce qui lui emboîtera le pas. Deux évènements à ne pas manquer, à l’initiative de LR Music et Cavalcade Production. Pour tout savoir sur la billetterie : https://cavalcade-prod.com/ . Rencontre avec Lilian Renaud.

Pourquoi ces concerts que vous interprétez localement sont-ils si importants pour vous ?

C’est très important pour moi en raison de mon attachement à la région et au soutien très fidèle que j’ai encore ici. C’est toujours avec bonheur que je joue dans le secteur.  C’est très fort depuis sept ans. Depuis 2015, et mon passage à The Voice, malgré les hauts et les bas, il y a toujours un soutien inconditionnel.

Comment expliquez-vous ce succès qui dure. Je m’aventure à une réponse, c’est parce que vous êtes l’enfant du pays ?

Je pense que c’est au-delà de l’enfant du pays. Peut-être que j’ai une voix, J’ai une façon aussi d’interpréter des textes. Mon univers plaît et touche certaines personnes. Tout cela construit un public et un attachement.

Pourtant, contrairement à vous, certains artistes cherchent plutôt à se détacher de leurs origines franc-comtoises pour espérer réussir ailleurs, et notamment à Paris.

J’assume complétement mes racines franc-comtoises. C’est une forme de respect par rapport à ma famille, à mes parents qui m’ont mis au monde ici, qui m’on construit ici. Je n’ai pas envie de renier ce que je suis. J’ai un attachement fort au monde paysan, au monde très populaire. Il n’y a pas si longtemps, j’ai fait un concours de chants à Froideconche en Haute-Saône. Un villageois a organisé un concours avec des chanteurs,  à la bonne franquette. Il n’y avait pas de paillettes. J’ai un attachement très fort aux hommes de la terre et aux valeurs qu’ils dégagent.

Quelle est l’actualité de Lilian Renaud ?

Avec mon quatrième album, j’ai fait pas mal de dates cette année. Il y en a encore quelques-unes avant la fin de l’année. Je collabore également à deux albums, qui s’appellent « L’Héritage Goldman ». Une belle tournée des Zéniths se fera avec Michaël Jones en 2023. En parallèle, il y aura sans doute la construction d’un cinquième album.

C’est difficile de vivre de la musique ?

Oui. Cela peut être très dur. Je suis néanmoins très privilégié car je suis parvenu à autoproduire mes deux derniers albums, qui ont plutôt bien marché. Mes concerts marchent plutôt toujours bien également. J’arrive ainsi à accumuler des petites sources de revenue. Ce qui me permet de pouvoir vivre de la musique. Je peux me lever tous les matins en me disant que j’en vis et que je peux payer mes factures avec cela.

Pensez-vous encore à une carrière nationale ou  internationale plus grande ? On a senti que la vie parisienne n’était pas forcément votre truc. Peut-on réussir en mettant de côté la capitale ?

Ma vie est en Franche-Comté. Sur « L’héritage Goldman », je chante une très belle composition qui s’appelle « Il y a ». « Je suis né ici et tout finira ici ». J’ai un peu l’intime conviction que ma vie est ici et qu’elle finira ici. Après évidemment, pour avoir connu de belles tournées nationales, c’est sûr qu’il y a toujours une forme de frustration quand les chansons ne parviennent pas aux oreilles des gens. Quand on est artiste, bien évidemment que l’on souhaite passer par un schéma plus important et réussir à toucher plus amplement. Je ne vais pas vous mentir. On a toujours envie de cela. Je fais au jour le jour. C’est tellement complexe. Il y a tellement de gens qui chantent, qui font de la musique, que pour se démarquer, c’est très compliqué.

Avez-vous des regrets ? Des choses que vous auriez faites différemment ?

Certainement. On apprend de la vie. La question est compliquée. De toute façon, les choses se sont déroulées différemment. Il est inutile de revenir en arrière. Si nous avions un pouvoir magique est revenir dans le passé, j’aurais agi différemment sans doute. Je prends les choses comme elles ont été. Je ne crois pas beaucoup au hasard. Tout ce qui passe, c’est peut-être fait pour quelque chose.

Quel regard portez-vous sur ces youtubeurs, tiktokeurs et autres influenceurs qui donnent l’impression que l’argent et la réussite sont faciles et semblent si éloignés, pour certains en tout cas, de la valeur travail ?

C’est assez perturbant. C’est une nouvelle façon de vivre. Il y a des gens qui, aujourd’hui, par le biais des réseaux sociaux, gagnent beaucoup d’argent. Alors que dans certaines familles, on explique qu’il faut faire des études pour réussir. Il y a un décalage. C’est l’époque. Jusqu’à où cette époque nous mènera ? Je ne sais pas. En tout cas, je n’ai pas l’impression de m’identifier à celle-ci, mais, en même temps, c’est la vie. On ne peut pas aller contre. Il y a certainement des choses positives à tout cela.

Revenons à la musique. Quelle prestation assurerez-vous le 21 octobre prochain à Villers-le-Lac ?

Je serai sur scène avec mes deux musiciens. Nous proposerons des shows français et anglais, issus de mes 3è et 4è albums. Ce sera très folk. Dynamique parfois, plus acoustique, piano, guitare, voix à d’autres moments. J’essaie de construire des shows où cela vit, où les émotions sont différentes. Des beaux moments de partage.

Pour tout savoir sur le concert du 21 octobre de Lilian Renaud à Villers-le-Lac : https://cavalcade-prod.com/

L'interview de la rédaction / Lilian Renaud

L’info est tombée ce mardi soir. La Ville de Besançon ne diffusera pas sur écran géant la prochaine Coupe du Monde au Qatar. « Les 6500 personnes mortes sur les chantiers des huit stades de foot construits pour l’occasion et  l’aberration écologique que représente cet évènement sportif avec ces stades à ciel couvert climatisés, à l’heure où le monde entier doit s’engager dans une sobriété énergétique » ne passent pas.

Le cross départemental des Sapeurs-pompiers du Jura se déroulera ce samedi 8 octobre, à partir de 13h, et jusqu’à 17h, au stade municipal de Hauteroche à Crançot. 307 sapeurs-pompiers, dont 132 jeunes sapeurs-pompiers, participeront aux différentes courses par catégories. Précisons que les cinq meilleurs concurrents femmes et hommes de chacune des catégories seront qualifiés pour le cross national qui se déroulera le 25 mars prochain à Reims.

Ce sont deux Français qui ont remporté ce dimanche le Marathon Series UCI de l’Extrême-sur-Loue à Ornans. 101 pilotes étaient partants. Axel Roudil-Cortina s’est imposé chez les hommes. Chez les filles, la victoire revient à Estelle Morel. Toutes compétitions et rendez-vous confondus, 2300 compétiteurs ont répondu présent ce week-end dans la vallée de la Loue.

Le club Doubs Sud Athlétisme participe à la journée nationale de la marche nordique ce samedi 1er octobre, de 9h à 13h, à la Malcombe, à Besançon. Un riche programme est proposé. Au menu : initiation à l’activité et animation technique et parcours de 3,5, 5,5 et 7,5 kilomètres. Cette initiative est gratuite. Elle sera animée par des entraîneurs diplômés par la Fédération Française d’Athlétisme. Les bâtons seront prêtés gratuitement.