Fermée depuis le 15 juillet dernier, la côte de Morre devrait rouvrir à la circulation ce vendredi 9 août. Ce chantier s’inscrit dans le cadre des travaux de sécurisation de la falaise. Durant cet été 2024, deux nouveaux tronçons sont concernés et sont traités dans le prolongement du talus proche du tunnel ferroviaire sécurisé l’année dernière.

Compte tenu de l’envergure des travaux, la collectivité a décidé d’en scinder l’exécution en trois phases sur trois coupures estivales de quatre semaines chacune, à savoir :

• Été 2024 : débroussaillage et purge de l’ensemble des talus et démarrage des ancrages

À noter que tous les travaux ayant une interférence avec la voie ferroviaire sont réalisés cet été pour profiter de la coupure de la voie SNCF.

• Été 2025 : poursuite de la réalisation des ancrages.
• Été 2026 : mise en place du grillage plaqué

Le Conseil départemental du Doubs dispose d’un diagnostic précis, qui a permis d’identifier plusieurs tronçons à traiter durant les prochaines années et de définir pour chacun d’entre eux les risques pour les usagers, classés de peu à très élevés.

Infos pratiques : précisons qu’une déviation a été mise en place par la voie des Mercureaux. Par ailleurs, l'ensemble des commerces de la commune de Morre et du quartier Rivotte à Besançon restent accessibles.

A compter de ce mardi 6 aout, la circulation, dans le cadre du chantier routier entre l’A36 et Devecey, va connaître une nouvelle évolution. Demain, mardi, les usagers pourront circuler partiellement sur la nouvelle RN 57. Cette configuration va permettre de finaliser les raccordements avec les chaussées existantes aux deux extrémités du chantier et de réaliser les travaux sur les bretelles Châtillon-le-Duc/Devecey vers Vesoul et Vesoul vers gare TGV. Cette nouvelle étape lance le compte à rebours vers l’achèvement des travaux, prévu pour la fin de ce mois de novembre.

Le chantier, consistant à rénover le réseau d’eau potable, est terminé à la Cluse-et-Mijoux, dans le Haut-Doubs. Les automobilistes et usagers sont rassurés. Leurs trajets seront beaucoup moins difficiles désormais. La circulation peut donc repartir à la normale. Les travaux avaient débuté le 13 mai dernier. Ils étaient « indispensables à l’alimentation en eau Â» de ce territoire du Haut-Doubs.

Jusqu’au 22 juillet, le Conseil Départemental du Doubs mène une opération de réfection des couches de roulement des chaussées, avec la technique des enduits superficiels, plus communément appelée « gravillonnage Â». Cette technique présente le désavantage de délivrer une quantité importante de gravillons sur la chaussée pendant plusieurs jours. Les automobilistes sont appelés à la plus grande prudence. Des mesures de circulation pourront être prises. Il conviendra bien évidemment de les respecter. Parmi les territoires concernés :

D 683 - Thise, Roche-lez-Beaupré et Deluz - Micro-coupures

RD 465 - Pouilley-les-Vignes et Miserey-Salines - Route barrée

RD 230 - Miserey-Salines et Les Auxons - Route barrée

RD 350 - Chevroz - Route barrée

RD 14 - Torpes - Osselle-Routelle - Route barrée

RD 13 - Quingey - Micro-coupures

RD 15 ET 15A - Le Val et Echay - Route barrée

RD 32 - Reugney - Route barrée

En parallèle des travaux SNCF sur le pont du Diable, le Conseil Départemental du Doubs procède actuellement au renforcement de la structure de la chaussée, au renouvellement des enrobés et à la suppression des masses rocheuses instables, situés en surplomb de la RD 437, entre les communes de Ville-du-Pont et Remonot, dans le Haut-Doubs. Un chantier qui a été avancé pour éviter une trop longue fermeture de la RD 437, prévue jusqu’au 30 août prochain.  

Une bonne nouvelle pour les automobilistes. La Communauté de Communes du Grand Pontarlier annonce la réouverture partielle, avec deux jours d’avance, de la RN 57, à hauteur de la Cluse-et-Mijoux,  dès ce vendredi 12 juillet au soir. A compter de cette date, les déviations initiales seront remises en place dans les deux sens de circulation,  entre la France et la Suisse.  Les travaux sous la voie SNCF et des traversées de chaussées sont désormais terminés. Rappelons que des travaux de rénovation du réseau d’eau potable sont actuellement menés sur ce territoire du Haut-Doubs. Ils se termineront le 3 août prochain.

Dans le cadre d’un exercice de sécurité dans le tunnel sous la Citadelle à Besançon, la circulation sera fermée à compter de ce mercredi 10 juillet, vers 10h, et, jusqu’à jeudi, en fin d’après-midi, vers 17h. Cet exercice obligatoire et également indispensable pour entraîner notamment les services de secours et de Grand Besançon Métropole à réagir le plus efficacement possible en cas d’incident, d’accident ou d’incendie.

Les travaux de sécurisation de la côte de Morre se poursuivent cet été. Comme chaque année, durant quatre semaines, Les zones identifiées à risque sont traitées. En 2024, ce sont donc deux nouveaux tronçons qui seront traités dans la continuité du talus proche du tunnel ferroviaire sécurisé l’année dernière. Ces secteurs seront traités en trois phases sur trois années consécutives. L’intervention est prévue entre le 15 juillet et le 9 août, sous fermeture totale de la circulation. La déviation habituelle sera mise en place par la voie des Mercureaux.

La Ville de Besançon indique que les feux tricolores de la Place Leclerc dysfonctionnent, en raison d’une défaillance du système qui les pilote automatiquement. Les techniciens sont mobilisés pour parer à la panne le plus rapidement possible, mais le matériel de contrôle de ce carrefour, le plus complexe de la ville, nécessite d’être changé. La prudence est de mise sur ce secteur, où la circulation n’est déjà pas des plus aisées.

La Communauté de Communes Jura Nord indique que, suite à une réunion de chantier qui s’est tenu le 2 juillet dernier, il a été acté que le pont de Salans, entre Salans et Saint-Vit pourrait rouvrir en mars 2025. Depuis février 2023, l’édifice fait l’objet d’une phase de rénovation massive. Stoppés en juin 2023, les travaux ont repris en janvier dernier. Le coût des travaux, qui prévoient également la création d’une passerelle dédiée aux déplacements doux, s’élève à 5 millions d’euros.