Six nouveaux conteneurs textiles ont été installés au centre-ville de Besançon par Grand Besançon Métropole. La population peut y déposer les textiles, linges de maison et chaussures. Les chaussures et vêtements collectés sont triés par des partenaires associatifs et revendus, pour les articles en bon état, en boutiques solidaires de seconde main. Les autres sont recyclés. En 2022, 846 tonnes de textiles, linges de maisons et chaussures ont été collectées.
Où trouver ces nouveaux conteneurs : parking Robelin ; 26 rue Marulaz ; rue Girod de Chantrans ; faubourg Rivotte (2 conteneurs) et avenue de la Gare d’eau.
Il est rappelé que les vêtements et linges de maison déposés doivent être propres et secs et les chaussures liées par paire dans un sac fermé de 30 litres maximum.
Jusqu’à la fin du mois de mars, la commune de Devecey présente à l’Annexe, un nouvel espace entièrement rénové, une exposition de la ville de Besançon sur l’écrivaine française Colette. Cette opération s’inscrit dans le cadre d’un projet culturel, à l’échelle de la métropole, autour de la lecture publique. Pour la collectivité, l’objectif est de diffuser la culture sur un large territoire.
« La grande bibliothèque intercommunale, qui sera construite dans les années à venir, va s’accompagner d’un schéma communautaire de lecture publique, dans lequel des animations et des réseaux nouveaux verront le jour entre les différentes médiathèques de ville et des 60 communes du territoire grand bisontin » explique Aline Chassage, adjointe à la Maire de Besançon, en charge de la culture. Et de poursuivre : « Cette action, conjuguée à la rencontre de samedi matin, préfigurent ce schéma de lecture publique ».
Car oui, cette exposition à Devecey s’accompagne également d’un temps spécifique qui se tiendra le samedi 17 février, à 10h, à la médiathèque. Il combinera des lectures de textes de colette et des informations sur sa vie et ses passages à Besançon.
L'interview de la rédaction / Aline Chassagne
Une extension du service de collecte de biodéchets au centre-ville de Besançon se développe. Cinq sites supplémentaires seront concernés à très court terme. Cette extension sera opérationnelle à partir du 5 février. L’association Trivial Compost assurera la tenue de deux permanences hebdomadaires sur chaque site : Place Pasteur, Place de la Révolution, Mairie, Square St Amour, Place du 8 Septembre et Battant. Chaque usager aura la possibilité de se rendre à la permanence de son choix. Les bacs seront ensuite transportés en mode doux jusqu’à l’extérieur de la boucle puis acheminés en véhicule utilitaire à la ferme Vaccaire de Torpes, où les biodéchets collectés seront compostés et valorisés sur les terres.
Les dates d’ouverture des premières permanences :
Rue Battant : lundi 15 janvier de 8 h à 11 h et vendredi 19 de 16 h à 19 h (À l’intersection avec la rue Mayence)
Place Pasteur : lundi 15 janvier de 16 h à 19 h et vendredi 19 de 8 h à 11 h
Place de la Révolution : lundi 22 janvier de 8 h à 11 h et vendredi 26 de 16 h à 19 h
Square Saint-Amour : lundi 22 janvier de 16 h à 19 h et vendredi 26 de 8 h à 11 h
Place du 8 septembre : lundi 29 janvier de 8 h à 11 h et vendredi 2 février de 16 h à 19 h
Esplanade des Droits de l’Homme : lundi 29 janvier de 16 h à 19 h et vendredi 2 février de 8 h à 11 h.
Ce mercredi, les élus de Grand Besançon Métropole ont inauguré un nouveau Ginko VéloPark. Il est situé au centre-ville bisontin, avenue Cusenier. Cet abri à vélos, sécurisé et couvert, offre une capacité de stationnement pour 30 vélos. Le coût de réhabilitation de l’endroit existant s’élève à 100.000 euros pour la collectivité. Sa gestion a été confiée à Keolis. Il est accessible à tous les usagers munis d’une carte Ginko Mobilités, au tarif de 2 euros par mois ou 20 euros par an. Les abonnés annuels du réseau Ginko peuvent en bénéficier gratuitement.
Le dernier conseil communautaire de l’année 2023 va notamment adopter le programme de l’Habitat 2024-2029. Ce document définit les objectifs à atteindre en la matière. La collectivité dispose d’un parc insuffisant qu’il convient d’agrandir et d’entretenir. L’objectif pour la collectivité est d’éviter « l’évaporation » de sa jeunesse vers des territoires voisins. Une nouvelle dynamique qui passe inévitablement par la rénovation des habitations et logements existants, mais aussi, et surtout, par la création de nouveaux logements.
Si la perspective de la mise sur le marché de 1.200 logements par an a été revue à la baisse, elle reste nettement supérieure aux préconisations de l’INSEE, qui en avait calculés 750 annuellement. Finalement, malgré des coûts de plus en plus élevés, notamment dus au prix des matières premières et du foncier, Grand Besançon Métropole a prévu la création de 900 nouveaux logements sur la période 2024/2029. Le tout également dans un respect total, immuable et intangible de la loi ZAN « Zéro Artificialisation Nette », qui contraint les collectivités à réfléchir leur expansion différemment, en utilisant le moins de surface possible.
Une juste répartition sur le territoire grand bisontin
L’implantation de ces futures installations ont été précisément identifiées sur le territoire bisontin. Il est prévu une déclinaison juste et équitable de ces logements sur les 68 communes de Grand Besançon Métropole. 50% d’entre eux verront le jour sur Besançon. Les autres moitiés apparaîtront dans la périphérie bisontine. Les communes veilleront à respecter le taux d’implantation de logements sociaux qui, jusqu’à présent, était insuffisant dans certaines contrées. Pour faciliter les déplacements, les zones périurbaines devront assurer pleinement leur mission.
L'interview de la rédaction : Pascal Routhier, vice-président délégué à l'habitat
Grand Besançon Métropole lance un appel à manifestation d’intérêt pour la mise en place de deux unités de méthanisation sur son territoire. Dans la cadre de son Plan Climat, la collectivité s’est fixée un objectif énergétique ambitieux, celui de devenir un territoire à énergie positive en 2050. Dans ce contexte, la production de biométhane local et renouvelable est une des trajectoires que les élus veulent saisir, via le processus de méthanisation. GRDF et la Chambre interdépartementale d’Agriculture du Doubs et du Territoire de Belfort sont associés dans ce projet.
Pour l’heure, l’implantation définitive de ces deux infrastructures n’est pas encore connue. C’est justement en fonction des réponses obtenues, de la localisation des développeurs et des facilités d’accès au site et de construction du réseau que cette décision sera prise. GBM , comme ses partenaires, veut développer le gaz vert sur son territoire. Les objectifs sont multiples, mais les élus communautaires veulent faire de ces réseaux de distributeurs des outils vertueux au service de la transition énergétique et prendre des décisions efficaces pour ne plus être dépendant des fournisseurs et avoir à subir ces hausses incontrôlées des prix, qui impactent les finances publiques notamment, depuis deux ans, avec la guerre en Ukraine.
L'interview de la rédaction : Anthony Nappez
Grand Besançon Métropole étudie un projet de création d’un site de bioproduction dans les biothérapies innovantes, en soutien à l’Etablissement français du sang, qui porte ce projet. Cette initiative devrait voir le jour sur le site des Hauts-du-Chazal, où des infrastructures performantes siègent déjà, comme le CHU, l’université de médecine et de pharmacie et d’autres établissements à la pointe dans ce domaine.
Les élus de la Ville de Besançon, de Grand Besançon Métropole et du Centre Communal d’Action Sociale ont décidé d’attribuer une prime exceptionnelle de pouvoir d’achat, prévue par le décret du 31 octobre dernier, aux agents territoriaux. Cette indemnité varie de 300 à 800 euros bruts, selon le niveau et la période de rémunération. Elle sera versée dès ce mois-ci aux fonctionnaires répondant aux critères établis. Cet effort budgétaire représente un coût de plus de 1 million d’euros pour la ville de Besançon, 530.000 euros pour Grand Besançon Métropole et 169.000 euros pour le Centre Communal d’Action sociale.
Grand Besançon Métropole procède actuellement à l’installation de 15 stations de tri sur le territoire de Planoise. Trois d’entre elles sont enterrées. Au total, la collectivité locale entend déployer 90 stations de tri sur ce territoire. En parallèle, des actions de sensibilisation et temps d’échanges sont prévus aux pieds des nouvelles installations afin de fournir toutes les informations utiles aux habitants et de les inciter à changer leurs habitudes en utilisant ces dispositifs.
Les éco-compteurs de Grand Besançon Métropole ont parlé. Deux sites avaient été identifiés. Entre mi-mai et mi-septembre, plus de 3.700 passages ont été enregistrés sur le secteur de Chapelle-des-Buis. 1.450 autres ont été relevés à Arguel. La collectivité prévoit de déplacer ces appareils en fonction des besoins. Un troisième sera prochainement mis en service pour différencier les pratiques pédestres et VTT. A travers cette démarche, GBM veut notamment mieux comprendre les pratiques outdoor.