L’ESBF, avec une formation diminuée, en raison des blessures et de la maladie, s’est inclinée sur le score de 29 à 37 hier, face à Metz, lors de la 15è journée de championnat en D1 féminine. Après leur ultime match de Coupe d’Europe de ce week-end, pour lequel elles n’ont plus rien à attendre, les Engagées iront affronter Saint-Amand le 24 février.
C’est avec un groupe décimé par les blessures et la maladie que l’ESBF se présentera, ce mercredi soir, au Palais des Sports, face à Metz, le leader incontesté de ce championnat de D1 féminine. Le club sait que la confrontation à venir sera difficile, mais, en même temps, le collectif doit se montrer à la hauteur dans ce genre de match pour tenter d’accéder à une place européenne. Rien n’est impossible, quatre points séparent la formation bisontine de la cinquième place. L’équipe doit être capable de « faire un coup » face à ces formation de haut du tableau.
« Metz est la meilleure équipe européenne, donc du monde. Nous n’abordons pas cette confrontation, comme un match à la vie à la mort, mais comme un moment où on ne peut que se sublimer dans ces moments-là » explique Sébastien Mizoule, le coach bisontin. Et de poursuivre : « si on ne se sublime pas, on va prendre une fessée. Metz, c’est l’Everest. Ce n’est pas le Mont Blanc ». Le technicien attend de ses joueuses, « un engagement total », mais aussi qu’elles soient également en capacité d’aborder cette rencontre « avec plaisir et envie ». Sébastien Mizoule explique que lorsque l’on dispute un tel match, la seule technique n’est pas suffisante. « D’autres ingrédients sont nécessaires ». « Une ambiance collective peut masquer les manques quantitatifs que nous connaissons actuellement. Il va falloir que l’on se serre les coudes » conclut-il.
Le coup d’envoi de cette rencontre sera donné à 20h au Palais des Sports Ghani Yalouz.
L'interview de la rédaction : Sébastien Mizoule
L’ESBF ne connaîtra pas les quarts de finale de l’European League. Les Bisontines ont été battues sur le score 20 à 18 face à Sofiok, en Hongrie, samedi soir. Une défaite de trop dans ce tournoi dans lequel, pourtant, elles avaient réalisé un démarrage prometteur. Le collectif va devoir désormais se concentrer sur son championnat, et tenter de décrocher une place européenne, et la Coupe de France, avec l’objectif de disputer une finale à Paris Bercy, comme l’an dernier.
Les Engagées n’ont pas réalisé la meilleure des affaires en s’inclinant sur leur parquet, hier soir, face à Dijon. Elles ont été battues sur le score de 30 à 35 dans le cadre d’une nouvelle journée de championnat en D1 féminine. La cinquième place européenne pourrait leur échapper définitivement après cette nouvelle contreperformance. La prochaine rencontre, celle du 11 février, représente également un nouvel enjeu. La victoire contre les Hongroises de Sofiok est capitale pour poursuivre l’aventure en European League et espérer jouer les ¼ de finale.
Il y a du handball ce mercredi soir. Dans le cadre de la 13è journée de championnat en D1 féminine, les filles de l’ESBF reçoivent Dijon. Les deux formations sont au coude à coude au classement. Elles présentent toutes les deux 24 points. Néanmoins, les Bisontines apparaissent à la septième position. Les Dijonnaises sont sixièmes. Après leur déconvenue en Coupe d’Europe ce dimanche, les Engagées doivent relever la tête ce soir, au Palais des Sports, si elles veulent encore évoluer à ce niveau la saison prochaine.
Dans le cadre des matches retour de l’European League, l’ESBF s’est inclinée sur le score de 31 à 21 face au Borussia Dortmund ce dimanche après-midi. Les Bisontines s’étaient déjà inclinées lors du match aller face à cette même formation. Cette défaite n’entame en rien les chances du groupe de Sébastien Mizoule de se qualifier pour les ¼ de finale de cette coupe d’Europe. La prochaine et avant dernière journée se jouera le 11 février, en Hongrie, face à Sofiok.
Une bonne nouvelle en provenance du Palais des Sports de Besançon. Hier soir, l’ESBF s’est qualifiée pour les demi-finales de la Coupe de France. Le groupe de Sébastien Mizoule a vaincu Nice sur le score de 27 à 26. Les Bisontines ont connu des difficultés durant cette période. A la mi-temps, elles étaient menées 11 à 17. Place désormais à la Coupe d’Europe, avec un déplacement ce dimanche en Allemagne face à Dortmund.
Le club de handball bisontin annonce la venue de l’internationale suédoise de 23 ans Malin Sandberg, en provenance de H65 Hoors, pour les deux prochaines saisons. Elle devrait évoluer au poste d’arrière droite. La taille de cette athlète (1,80 mètre), sa qualité de transmissions et sa force de frappe ont convaincu Sébastien Mizoule et son staff.
Ce mercredi soir, l’ESBF reçoit Nice pour une place en demi-finale de la Coupe de France de handball féminin. Avec cette rencontre, les Engagées débutent une période importante, avec une série de matches capitaux pour la suite de la saison. Coupe de France, championnat et Coupe d’Europe, les handballeuses bisontines apparaissent encore dans tous les tableaux, avec la ferme intention d’aller le plus loin possible. Pour Tom Garnier, l’entraîneur adjoint de Sébastien Mizoule, le groupe doit être en mesure de disputer toutes les confrontations annoncées.
Pour la rencontre de mercredi soir, seize joueuses seront présentes sur la feuille de match. Ce qui va permettre à deux jeunes du centre de formation de figurer dans le groupe élite. Une approche du très haut niveau qu’elles ne veulent surtout pas manquer. C’est le cas de la pivot Léa Cuenot. La jeune handballeuse de N1 féminine a conscience que les places sur le banc bisontin sont chères. C’est la raison pour laquelle elle prend avec sérieux et engagement l’échéance qui arrive. Pas question de passer à côté d’une telle opportunité de grandir encore.
Une expérience formatrice
Comme le souligne Tom Garnier, en appelant cette jeunesse prometteuse, les coaches préparent l’avenir. Participer à la vie du groupe, s’immerger dans le haut niveau, vivre ses émotions de l’intérieur, s’entraîner, porter le maillot, autant de situations et d’expériences qui concourent à la formation de ces jeunes joueuses en devenir.
L'interview de la rédaction / Léa Cuenot et Tom Garnier