A l’occasion de la disparition du comédien français Jean-Paul Belmondo, le Centre de Ressources Iconographiques pour le Cinéma va lui rendre hommage à travers une exposition d’affiches de ses films. Celle-ci se déroulera dans le Hall de l’Hôtel de Ville de Pontarlier du 5 au 31 octobre.
Jean-Paul Belmondo a attiré dans les salles, en cinquante ans de carrière, près de 160 millions de spectateurs ; entre 1969 et 1982, il a joué à quatre reprises dans les films les plus vus de l’année en France : Le Cerveau en 1969, Peur sur la ville en 1975, L’Animal en 1977 et L’As des as en 1982.
Le film a fait salle comble jeudi dernier, au plus grand bonheur du directeur, Cédric Louvet. Les 385 sièges de la grande salle du Mégarama étaient occupés. Une première depuis des mois. L’un des instigateurs de ce succès ? François Ruffin, fondateur et rédacteur en chef du journal Fakir, figure de proue du mouvement Nuit debout, et député dans la première circonscription de la Somme, sous la bannière de La France Insoumise. Après avoir passé la journée dans la cité comtoise, à 20H sonnait l’avant-première de son troisième film : « Debout les femmes ». Après « Merci Patron ! », comédie documentaire, puis « J’Veux du soleil » road movie retraçant le voyage des deux réalisateurs à la rencontre des Gilets jaunes mobilisés au bord des routes du pays en 2018, « Debout les femmes » se présente comme un « road-movie parlementaire » à la rencontre des femmes qui s’occupent de nos enfants, de nos malades, et de nos personnes âgées.
C’est parce que François Ruffin suit ces métiers depuis plus de 20 ans, d’abord en tant que journaliste, et depuis 2017 en tant que député, qu’une envie sociale l’a poussé à réaliser ce film, aux côtés de Gilles Perret. Mais aussi une envie cinématographique, instiguée par le Palais Bourbon. « L’Assemblée c’est un très beau lieu de cinéma. Il y a un décorum, des lustres, des rituels, des tambours qui sont battus. Il y aurait eu un meurtre à l’Assemblée nationale, ça m’aurait davantage arrangé, parce que j’aurais pu construire un polar autour de tout ça ! Il n’y en a pas eu et je n’en ai pas provoqué » rigole le député. « Donc quand j’ai eu la mission des métiers du lien, je me suis dit qu’il y avait quelque chose qui pouvait faire cinéma. Parce qu’on pourrait faire de l’intérieur-extérieur. On n’allait pas être enfermé dans l’Assemblée nationale où il y a du lustre mais où il ne se passe pas grand-chose. On pourrait avoir la parole des femmes dehors, regarder comment elles vivent, comment elles travaillent, puis ramener ça à l’Assemblée nationale, et voir ce qu’il se passera à l’intérieur si on remporte des victoires. Je pensais que dans ce mouvement intérieur-extérieur, il y avait une dynamique narrative », poursuit-il.
On essaye de se bagarrer à l’Assemblée pour leur construire un statut et un revenu. En étant basé sur la phrase d’Emmanuel Macron qui disait : « Il faudra se rappeler que notre pays repose tout entier sur ces femmes et ces hommes, que nos économies reconnaissent et rémunèrent si mal ». Un an après, rien n’a changé. On va encore se bagarrer, avec un film, avec des amendements, et une société qui, je l’espère, va se soulever » indique François Ruffin
Dans une salle au complet, où chaque siège carmin s’est trouvé un occupant, c’est Gérard Marion, le directeur du Festival Lumières d'Afrique de Besançon, qui joue le maître de cérémonie. Après avoir retracé brièvement la vie du natif de Calais, jonglant avec de subtils syntagmes, et au terme d’un discours fignolé, c’est sous les applaudissements que François Ruffin apparaît sur le devant de la scène. Cependant, ne souhaitant pas flâner avant la projection, et préférant échanger avec les spectateurs à la fin du film, le député se retire après quelques mots d’introduction. Les lumières s’éteignent, les premières scènes apparaissent sur le grand écran, plongeant directement les spectateurs dans le vif du sujet. A l’Assemblée nationale le 8 mars 2018, journée internationale des droits des femmes, François Ruffin fait face à l’hémicycle. « Ce matin, on a tapoté à la porte de ma chambre-bureau, au 101 rue de l'Université. J'étais encore au lit, je n’ai pas réagi […] Comme j'étais réveillé, je suis descendu au petit déjeuner. Quand je suis remonté, les tapis de douche ne trainaient plus dans la salle de bain, la cuvette des toilettes était récurée, les serviettes changées, les poubelles vidées. Le même miracle se produit tous les jours. Ce n'est pas l'œuvre d'une fée, non, mais de femmes ».
Cela faisait quelques mois que le Mégarama des Beaux-Arts n’avait plus vu une salle entière vibrant autant au rythme d’une projection. Un public retrouvé, un auditoire captivé, des rires qui s’échappent encore et encore. Puis des railleries, du dégoût, de la colère, de la douleur, de l’émotion. Les spectateurs passent par tous les états d’âme, vivent au gré de la projection, et laissent transparaître chacune de leur réaction. Cette communion entre le public et le grand écran provoque l’euphorie générale. Les spectateurs se lâchent, ne masquent aucune émotion. La grande salle rouge renaît enfin, après plusieurs mois de désolation. Le générique de fin s’achève, et c’est sous une standing-ovation que réapparaît François Ruffin sur le devant de la scène. Après de longues minutes sous les applaudissements, le député prendra la parole, puis échangera avec une salle souhaitant lui poser une pléthore de questions. Une soirée qui battait son plein, aussi bien pour l’homme politique encensé, que pour le cinéma qui a retrouvé de belles couleurs.
Interview de François Ruffin :
Jean-Paul Belmondo est mort. L’acteur français est décédé à l’âge de 88 ans. Avec plus de 80 films en soixante ans de carrière, « Bebel » a marqué le Septième Art. Difficile d’être complet, mais on retiendra de sa cinématographie des films comme « A bout de souffle », « l’As des As » ou encore « Un singe en hiver ».
Dans le Haut-Doubs, on retiendra son passage lors du tournage du film « Les Misérables » en 1995. Les habitants retiennent un homme disponible, qui séjournait à Oye-et-Pallet durant le tournage. Claude Bertin Denis, de l'association des Amis du Musée de Pontarlier, passionné de cinéma, décrit un « très grand du cinéma français ». « de la même trempe qu’un Jean Gabin et un Alain Delon ».
L'interview de la rédaction : Claude Bertin Denis
Elle aura duré quelques semaines, le temps de mettre au courant l’ensemble de la population, et selon les militaires c’est désormais chose faite. La population est suffisamment informée, et il n’y a plus d’excuse pour enfreindre les règles. « Nous sommes entrés dans une phase répressive, de fermeté, afin de veiller au bon respect de la loi. Mais toujours avec discernement, selon la situation » souligne le major Philippe Antoni, officier de communication et chef de cabinet communication RGFC. Ce jeudi, après avoir acheté leur billet, les clients du Mégarama d’Ecole-Valentin devaient donc se soumettre au contrôle des gendarmes, disposés de sorte que personne ne puisse accéder aux salles sans avoir présenté son pass sanitaire, accompagné d’une pièce d’identité. Et les clients ont joué le jeu, en respectant vigoureusement les nouvelles consignes mises en place. Preuve en est, aucun PV n’a été dressé ce jeudi par les gendarmes lors de ces contrôles.
Avec cette mise en place du pass sanitaire, de nouvelles sanctions sont entrées en vigueur. Pour rappel, une personne ne disposant pas de ce précieux sésame dans les établissements où il est obligatoire s’expose à une amende de 135 €. Et si cette violation est constatée plus de trois fois en 30 jours, la sanction pénale est portée à six mois d’emprisonnement… et 3 750 € d’amende. Même chose en cas d’utilisation du pass d’une autre personne. Les commerçants et les professionnels qui choisissent de ne pas contrôler ce pass encourent une mise en demeure et une éventuelle fermeture temporaire de l’établissement. Et si l’un d’eux est verbalisé plus de trois fois dans un délai de 45 jours, la sanction peut être portée à un an de prison et 9 000 € d’amende.
Major Philippe Antoni :
Au cours de l’année, “Les 2 scènes” propose du théâtre et du cinéma dans plusieurs lieux de la ville de Besançon. En ce moment, le programme “L’été du cinéma français 2021” se déroule au Petit Kursaal jusqu’au 8 septembre et accueille deux séances par semaine.
Le cinéma “Les 2 scènes” fonctionne par thème au cours de l’année. Plusieurs cycles sont ouverts au public pour satisfaire les amateurs de cinéma. “On croise tous les genres, tous les styles, toutes les époques”, confie Jean-Michel Cretin, programmateur du cinéma “Les 2 scènes”. Cet été, la Scène nationale de Besançon dispose du Petit Kursaal un soir par semaine, le mercredi, où deux séances d’un même film sont proposées, à 18h et 20h30. La particularité du programme “L’été du cinéma 2021” qui dure depuis le 30 juin, jusqu’au 8 septembre, est qu’il s’agit d’une sélection de films français distribués très récemment dans les salles. “Le choix des films est effectué par un groupe de spectateurs et moi-même dans le cadre d’un atelier de programmation”, poursuit Jean-Michel Cretin.
“Cette année encore, les spectateurs sont présents malgré l’épidémie”
Pour la deuxième année consécutive, le programmateur du cinéma “Les 2 scènes” se doit de composer avec le Covid-19. “Cette année encore, les spectateurs sont présents malgré l’épidémie”, se réjouit-il. Cependant, la question du pass sanitaire ne le fait pas sourire. Jean-Michel Cretin craint une baisse du nombre de spectateurs lors des prochaines séances. “On risque d’avoir un souci avec les plus jeunes qui ne sont pas encore vaccinés parce que ce sera difficile de les accueillir”, regrette t-il. Pour les personnes présentant le pass sanitaire, les prochaines séances sont prévues ce mercredi 28 juillet 2021 à 18h et 20h30. A l’affiche, “Seules les bêtes” de Dominik Moll, avec Denis Ménochet, Laure Calamy et Damien Bonnard.
Interview de la rédaction / Jean-Michel Cretin
Infos pratiques :
« Nous ne sommes pas contre le pass sanitaire, bien au contraire. Cette mise en place est juste beaucoup trop hâtive. Les délais imposés sont difficilement tenables. Nous avons été prévenus lundi 12, que le pass sanitaire devra s’appliquer dès le 21 juillet. Une semaine plus tard. Comment va-t-on s’organiser ? » s’inquiète-t-il. « Le délai est trop court pour nous, pour se mettre en place. Cela va demander des moyens humains supplémentaires pour le contrôle, mais aussi un investissement dans du matériel, donc de nombreux coûts supplémentaires. Nous allons avoir des pertes financières, c'est sûr » déplore Cédric Louvet. Et même si aujourd’hui la vaccination apparaît comme la seule solution pour endiguer cette pandémie, il est désormais impossible pour une personne qui ne disposerait d’aucune des deux doses vaccinales, de se rendre dans un lieu imposant le pass sanitaire, avant plusieurs semaines. Et très contrariant de procéder à un test PCR tous les deux jours, en devant à chaque fois, envisager quelques jours auparavant son intention d’aller retrouver les salles de cinéma. D’autant plus qu’il arrive que cela se fasse de manière imprévue. « Parfois, des clients qui se trouvent en ville passent devant le cinéma, et prennent l’envie soudaine d’assister à une séance. Tout comme on peut se motiver à aller boire un coup dans un bar sur un coup de tête, ou manger au restaurant. Certaines choses se décident parfois dans le feu de l’action. Et avec la mise en place aussi soudaine du pass sanitaire, toutes ces choses seront désormais impossibles » regrette le directeur du cinéma.
Effectivement, cette triste solution existe. Le pass sanitaire ne serait pas de mise pour les séances de moins de 50 personnes. Cette funeste issue est applicable pour les petites salles, mais des blockbusters sont en approche au Mégarama Beaux-Arts. Il paraît difficile et délicat, notamment vis-à-vis des distributeurs, d’accorder seulement une cinquantaine de place pour leurs productions. De plus, la mise en place du pass sanitaire intervient en plein festival de Cannes, cette période de l’année où le cinéma prend une place médiatique prépondérante, et convie les spectateurs à se rendre en salle. Et comme pour enfoncer le clou, la sortie de « Kaamelot - premier volet », tombe le jour fatidique de l’instauration du pass sanitaire. Un film tant attendu en France, suscitant l’euphorie et l’engouement des fans à travers tout le pays, affichant complet avec plus de 600 places vendues pour l’avant-première ce mardi soir. « Le milieu de la culture est mis à part, c’était déjà le cas pendant le confinement. On a été les premiers à fermer, et les derniers à rouvrir. On est une fois de plus mis de côté. Alors qu’on a toujours appliqué les protocoles sanitaires strictes. Et on n’a jamais vu de clusters apparaître dans les salles de cinéma » souligne Cédric Louvet.
Communiqué de presse :
« Madame, Monsieur, bonjour,
Ce message pour vous faire part de notre stupéfaction dans la violence des décisions prises par le Président ce lundi, qui sans ménagement et sans concertation a décidé d’étendre le Pass Sanitaire à nos activités dès la semaine prochaine et avec des sanctions extrêmement lourdes en cas de non-contrôle alors même que nous nous relevons avec difficulté des mois de fermeture imposée.
Bien que nous soyons pleinement solidaires et mobilisés dans la lutte contre la Covid, nous sommes stupéfaits du très bref délai qui nous est alloué dans la mise en place du pass sanitaire.
La mise en œuvre de cette mesure se heurte à de nombreuses questions essentielles : responsabilité des salariés des salles de cinéma, responsabilité des entreprises et des spectateurs, sanctions applicables, mesures d’ordre public, statut des salariés, coût et processus opérationnel de vérification, etc. Sur tous ces points les autorités sont à ce stade silencieuses, alors que les cinémas ont moins d’une semaine pour mettre en œuvre cette obligation inédite et complexe.
Cette mesure, prise avec effet quasi-immédiat et sans préavis informatif permettant à nos spectateurs d’anticiper la situation, vient briser la dynamique de reprise de notre activité et les perspectives économiques favorables du second semestre, indispensables après la longue fermeture des salles de cinéma. Elle fragilise fortement l’ensemble de l’exploitation cinématographique qui s’attelle pourtant depuis le début de la crise sanitaire à mettre en œuvre des protocoles sanitaires robustes et efficaces.
Nous le regrettons vivement. »
Amateurs de vins, les deux compagnons ont fait l’acquisition d’un « Jumpy » Citroën bleu, aménagé afin de pouvoir parcourir l’Europe, à la recherche de la plus grande cave à vin du monde. C’est en traversant l’Allemagne, l’Autriche, la Slovaquie, la Hongrie, la Croatie, la Serbie, la Roumanie, puis la Gagaouzie, qu’ils ont atteint leur but ultime : la Moldavie. Et plus particulièrement Milestii Mici, un royaume vinicole souterrain de 200km. Leur périple a débuté à Besançon le 24 juin 2019, mais a véritablement commencé à Donaueschingen, une ville allemande de 20.000 habitants située au cœur de la Forêt-Noire, et abritant la source du Danube. Ce fleuve étant le deuxième plus grand d’Europe, qui deviendra leur plus fidèle compagnon tout au long de cette expédition. Tout est parti de la volonté indomptable de Bertrand, de vouloir réaliser un film sur le vin, mais aussi sur la Moldavie. Objectif atteint, tout embarquant son partenaire de voyage, Anthony, il réalisera ce dont il rêvait : un road-movie sur le vin... et la Moldavie.
« J’avais une forte envie de faire un film qui parle de vin, et qui parle de Moldavie. Et avec un copain, Tony, on s’est dit que ce serait pas mal d’y aller en voiture, en faisant un road-trip. Et qu’on s’arrêterait dans chaque pays, rencontrer des gens qui font du vin, avec pour but ultime la plus grande cave à vin du monde : Milestii Mici »
« Le vin aussi c’est ça. C’est la compagnie des gens avec qui on le déguste. C’est un échange humain de boire du vin avec quelqu’un » révèle Bertrand. Ce documentaire est un récit de rencontres. Un partage entre deux mondes qui se découvrent, qui se confient, qui s’enchantent en plongeant en harmonie dans la robe d’une essence de raisin, bercé par l'éclat des verres qui s’entrechoquent. À travers ce road-movie, on a la sensation de se retrouver à table avec Siegfried, de trinquer avec Zoltan et Tibor, d’être suspendu aux lèvres de Mirjana, et captivé par les histoires de Mila, ou de Dieter. Et de tant d’autres protagonistes encore, aussi fascinants les uns que les autres, baignant tous dans une aura de bienveillance et d’hospitalité.
« C’était important de voir les locaux, déjà parce que c’est un plaisir de rencontrer des gens, et de découvrir des cultures. Et je ne connaissais pas ce qu’il y avait entre la France et la Moldavie, mis à part l’Allemagne. Le reste n’était que des découvertes. C’était vraiment passionnant. Avec le contexte actuel, on se rend compte que c’est quelque chose qui manque »
Le vendredi 13/03 à 20h aura lieu la projection du film "Danube - En route vers la plus grande #cave à #vin du monde" du bisontin Bertrand Vinsu au @megarama25 ? La projection sera suivie d'une dégustation vins et fromages au #MBAA?? ! Pour réserver ➡ https://t.co/6zjtibGAbJ pic.twitter.com/y4lgS9wbys
— Ville de Besançon (@villedebesancon) March 5, 2020
« Danube, en route vers la plus grande cave à vin du monde », sera sous-titré en roumain, en anglais, et en allemand, afin d’être distribué en Europe. Mais avant tout, c’est au Mégarama de Besançon qu’il sera diffusé dès le 8 juillet prochain, puis dans quelques salles de Franche-Comté, pour finir par se répandre un peu partout en France. Avec à chaque fois, la volonté de participier à une dégustation de vin avec les spectateurs après la séance, « parce que c’est chouette, et en bonne compagnie ! » indique Bertrand.
« Le vin c’est magnifique, je trouve que c’est un alcool très noble. Il y a le travail de la vigne qui est un travail passionnant. Et il y a tellement de saveurs différentes dans le vin. Il y a tellement de typicités dans les cépages. On a vu en Roumanie des gens qui travaillent le vin biologique avec des chevaux, c’est formidable de voir ça. Enfin y’a plein de façons d’imaginer, de créer et de déguster le vin » indique Bertrand Vinsu, le réalisateur. « En Autriche ils boivent du Spritz, qui est un mélange de vin blanc avec de l’eau gazeuse. Si on dit ça à un français ça va lui faire bizarre, mais en fait c’est délicieux. Surtout quand il fait chaud ! » signale le réalisateur.
Mais jeudi 8 juillet vous n’aurez pas besoin de « Spritz » pour vous rafraîchir. Il suffira de vous rendre en salle pour vous plonger en plein cœur de la source du Danube à Donaueschingen, puis de vous laisser porter aux quatre coins de l’Europe à travers le Jumpy de Bertrand et d’Anthony. Une odyssée vinicole au goût de proverbes autrichiens, de Purcari, et de douches solaires. « Danube, en route vers la plus grande cave à vin du monde », incontestablement un des meilleurs crus de 2021.
Interview de Bertrand Vinsu :
Depuis le 24 juin, et jusqu’au 29 juillet, le CRIC (Centre iconographique pour le cinéma des amis du Musée de Pontarlier) présente l’exposition « Franche-Comté, terre de cinéma » dans la hall de l’Hôtel de Ville de Pontarlier. Depuis plusieurs décennies, la région rend hommage au 7è Art à travers ses festivals, ses manifestations culturelles et ses documents précautionneusement conservés.
Disposant de plus de 100.000 affiches et quelques 300.000 photos, le CRIC dispose d’un véritable trésor qu’il sait partager avec le public. C’est donc tout ce patrimoine culturel qui est actuellement présenté dans la capitale du Haut-Doubs. Un hommage rendu au 7è Art et qui révèle toute la passion qui lie notre région au cinéma.