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Par le communiqué de Marc Paulin, le collectif départemental Doubs Debout!, rattaché au mouvement politique Debout! présidé par François Ruffin, apporte son soutien à la maire sortante de Besançon, Anne Vignot, ainsi qu’à son équipe et son projet. Il salue « six années de transformation de la ville autour des valeurs de solidarité, d’écologie, de justice sociale, de laïcité et de paix Â».

Dans un contexte politique tendu, le collectif rappelle « l’importance de l’unité des forces progressistes, en écho à l’initiative du Nouveau Front Populaire lancée par Ruffin en juin 2024 Â». Il appelle « les forces de gauche bisontines à se rassembler pour poursuivre le projet municipal engagé Â». « Ensemble et déterminé·es, tout est possible », conclut le communiqué.

Laurent Cagne, proviseur de lycée à Besançon et représentant local du mouvement L’Engagement fondé par Arnaud Montebourg, tient à faire part de son soutien à Anne Vignot dans le cadre des élections municipales à Besançon. Il affirme :

« Le mouvement que j'ai l'honneur de représenter à Besançon est fier d'annoncer sa participation dans le débat public aux côtés d'Anne Vignot. Maire sortante, sa légitimité est incontestable. Elle conduit une liste de rassemblement large à gauche et écologiste, porteuse d’un projet humaniste, social et économique. »

L’Engagement, membre fondateur de la Fédération de la Gauche Républicaine, milite pour la réindustrialisation des territoires, la transition énergétique, la défense de la laïcité et la réhabilitation des services publics. Laurent Cagne conclut : « Ce qui nous rassemble est plus fort que ce qui nous divise. »

À Besançon, un collectif de citoyens lance un appel à l’unité des forces de gauche et écologistes en vue des élections municipales de 2026. Face aux divisions partisanes, les signataires expriment leur inquiétude et appellent à une médiation entre formations politiques partageant un socle commun social, écologique et démocratique. Ils rappellent que « l’union est une condition de victoire, dans un contexte marqué par l’abstention et la progression des droites Â». Une rencontre citoyenne est prévue ce samedi 8 novembre à 11h au kiosque Granvelle pour débattre et mobiliser autour d’un projet commun.

À Besançon, la campagne municipale s’accélère encore avec l’annonce d’un front uni autour du candidat socialiste  Jean-Sébastien Leuba. Le collectif « Besançon Forte et Solidaire » regroupe désormais le Parti Socialiste, Place Publique, CAP21, le Parti Radical de Gauche et des membres de la société civile. Objectif : « incarner une alternative claire face à la montée des extrêmes et à la dispersion des forces progressistes Â».

Politique. Le candidat Ludovic Fagaut traverse sa première zone de turbulences médiatiques après la diffusion d’une photographie où il apparaît aux côtés du boxeur dolois Bilel Latrèche, condamné en première instance à huit mois de prison avec sursis pour violences conjugales. Le sportif  a fait appel de la décision du tribunal de Dijon. Dans ce contexte politique, Ludovic Fagaut organise ce soir un meeting de l’union de la droite, du centre et de la société civile, aux côtés du député Laurent Croizier et de la conseillère municipale Nathalie Bouvet. Rendez-vous, à 19h, au Petit Kursaal bisontin.

Ce lundi soir, dans un communiqué de presse, Anne Vignot appelle à l’union des forces de gauche et écologistes pour les municipales de 2026.  La Maire de Besançon défend le bilan d’un mandat marqué par les crises, mais aussi par des réalisations concrètes : investissements dans les écoles, les crèches, les mobilités, le logement, et soutien aux associations et à la culture. Elle met en garde contre les dérives autoritaires et les reculs sociaux, et affirme sa volonté de poursuivre une trajectoire ambitieuse, fondée sur la coopération locale et les valeurs humanistes.

Dans le Doubs, à l’approche des élections municipales, l’union de la gauche vacille. À Besançon, Pontarlier et Montbéliard, les forces progressistes peinent à retrouver le chemin du rassemblement, malgré des convergences fortes sur les enjeux locaux. Le Parti Communiste du Doubs tire la sonnette d’alarme. Dans un communiqué publié ce week-end, il appelle ses partenaires – écologistes, insoumis, socialistes – « Ã  dépasser les logiques partisanes et à renouer le dialogue Â».  Un appel à la raison, alors que la droite et l’extrême droite espèrent capitaliser sur les divisions.

Kevin Bertagnoli, chef de file de Génération·s à Besançon, réaffirme dans un communiqué l’engagement de son mouvement en faveur d’une union large de la gauche et des écologistes pour les municipales de 2026.

Soutenant la maire sortante Anne Vignot pour conduire cette liste commune, il déplore les ruptures de dialogue du PS et de LFI, "qui affaiblissent la dynamique populaire exprimée par plus de 1200 citoyens cet été".

Face au risque d’une coalition des droites, Génération·s appelle "à reprendre les discussions et à surmonter les désaccords pour construire un projet ambitieux, écologique et solidaire". « La division fait perdre, l’union fera gagner Besançon », conclut M. Bertagnoli.

Dans le contexte politique de division à gauche, à quatre mois des élections municipales à Besançon, la section bisontine du Parti Communiste Français appelle à une union de la gauche et des écologistes dès le premier tour des municipales 2026. Malgré les ruptures de dialogue du PS et le retrait de LFI, le PCF souhaite relancer les échanges entre les composantes de la majorité sortante, « pour préserver les avancées sociales et écologiques obtenues depuis 2020 Â».

La maire écologiste bisontine sortante Anne Vignot  réagit avec fermeté à la décision de La France Insoumise de quitter les discussions en vue d’une liste commune pour les municipales des 15 et 22 mars. « Nous regrettons cette rupture imposée par les instances nationales », déclare-t-elle, tout en réaffirmant sa volonté de maintenir une union locale des forces de gauche et écologistes.

Face à ce qu’elle qualifie de « calculs électoraux des états-majors parisiens », Anne Vignot défend un projet « collectif » et « solidaire » pour Besançon, estimant que les désaccords nationaux ne doivent pas dicter les choix locaux. Elle tend à nouveau la main à celles et ceux qui souhaitent « porter Besançon plus haut et plus loin », dans une dynamique « inventive, écologique et démocratique ».