Choix du secteur :
Se connecter :
 

Ce dimanche aura lieu l’élection de Miss Franche-Comté à l’espace Pourny de Pontarlier. Cléo Trouttet, 21 ans, originaire de Dompierre-les-Tilleuls, rêve de succéder à Julie Cretin. La jeune femme, titulaire d’une licence et scolarisée à l’Université Lyon 2 poursuit des études de journalisme. Elle s’apprête à passer les concours d’entrée lors de son année de Miss, afin d’intégrer l’ESJ de Lille. Polyglotte, Cléo parle anglais, italien, espagnol… et l’islandais qu’elle a pu apprendre lors d’un séjour sur l'île de glace et de feu. La rédaction s’est entretenue avec Cléo, à l’aube d’une aventure qui peut changer sa vie.

 

« Je vais participer le 11 septembre à l’élection de Miss Franche-Comté. Je suis actuellement la première dauphine de Miss Doubs, et je serai la candidate numéro 13 » confie Cléo. Une écharpe obtenue lors de son élection à Micropolis durant la foire comtoise en mai dernier, aux côtés de Diane Leyre, Miss France 2022, et des anciennes miss et dauphines des quatre départements de la région. Ce dimanche sera l’occasion de concrétiser cette belle aventure à l’espace Pourny de Pontarlier. Toutes les places ont déjà été vendues et le public votera pour les 5 finalistes. C’est ensuite le jury qui attribuera les places. « On va être jugé sur tout ce qu’on a fait depuis notre élection à Micropolis, depuis qu’on porte notre première écharpe. Mais également sur notre côté intellectuel, avec un test de culture générale, sur notre capacité à danser, être fluide, sourire, se tenir droite, notre bienséance en quelque sorte. Tous ces critères vont être très importants lors de l’élection » souligne Cléo Trouttet.

 

« J’aimerais porter au plus loin ma région, et surtout le Haut-Doubs, ma terre natale et celle où ma famille a toujours vécu. Je suis d’ailleurs la seule candidate qui provient du Haut-Doubs. Mais j’aimerais aussi porter la Franche-Comté à bout de bras, parce que c’est une magnifique région, que je trouve encore trop méconnue » 

 

D'où t'es venue cette envie de participer à cette élection ?

« Le second confinement a été très difficile. J’étais seule dans mon appartement, je ne sortais pas, et je ne voulais pas revivre un moment pareil. J’ai pris le taureau par les cornes, et je me suis bougée pour faire changer les choses ! Je me suis orientée vers l’Islande, parce qu’il n’y avait pas de confinement et de contraintes trop intenses. Je suis donc partie en Erasmus, du mois d’août jusqu’en décembre. J’ai d’ailleurs validé mon semestre avec 14 de moyenne. Et comme j’ai toujours été intéressée par les Miss, c’est là-bas que j’ai eu un déclic. De me lancer, d’arrêter d’avoir peur, de ne pas avoir confiance en moi. Je me suis dit que moi aussi, je pouvais tenter l’expérience »

 

Comment as-tu vécu cette aventure jusqu’à présent ?

« Au début, j’avais très peur. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre. Et puis finalement, je me trouve vraiment à ma place, j’aime beaucoup ce qu’on est toutes en train de faire. Je me sens bien, je me sens suffisamment mature, et je sais que j’ai les épaules pour cette aventure fabuleuse »  

 

Quelles seraient tes qualités principales ?

Certaines de mes qualités se transforment parfois en défauts. J’ai une profonde empathie, qui parfois me fait défaut, surtout avec les animaux ! J’ai aussi, quelquefois, du mal à cacher ce que je ressens. Ça se voit sur mon visage, je suis comme un livre ouvert, et de temps à autre, c’est difficile à porter. Sinon, je ne suis pas la meilleure danseuse, on n’a pas toutes pratiqué la danse, mais ça reste bon enfant, on rigole ensemble, c’est assez sympa et convivial. C’est vrai que ce n’est pas facile de danser en talons, se tenir droite et sourire. Ce n’est pas quelque chose d'inné. Il ne faut pas être trop rigide non plus, ce n’est pas évident ! Heureusement qu’on a des répétitions. Sinon, concernant le test de culture générale, ça devrait bien se passer. En préparant les concours de journalisme, on acquiert beaucoup de connaissances très diverses, ça aide pas mal ! J’aimerais d’ailleurs beaucoup faire du journalisme dans le domaine culturel, c’est un milieu qui m’intéresse énormément »

 

L’élection se tiendra le 11 septembre à l’espace Pourny de Pontarlier. Ce sont 13 candidates qui vont se mesurer au public et au jury, dans l’espoir de décrocher la couronne de Miss Franche-Comté 2022. Diane Leyre, Miss France 2022, sera présente. L’élection se déroulera en deux étapes. Le public sélectionnera sept candidates parmi les treize grâce à leurs votes. Le jury décidera ensuite qui des sept miss qualifiées aura l’honneur de représenter la Franche-Comté à l’élection de Miss France 2023.

 

Cléo Trouttet : 

 

Alimenté à partir de la combustion de déchets, le réseau de chaleur de Pontarlier fournit environ 75 bâtiments en chauffage et eau chaude sanitaire. En tant que propriétaire du réseau, Préval a engagé un programme d’extension pour répondre à la demande et permettre à davantage d’abonnés de profiter de cette énergie produite localement.

 

 

Réduire l’utilisation des énergies fossiles

Le réseau de chaleur fonctionne principalement avec une énergie locale dite « de récupération », provenant de la combustion des déchets. Le raccordement des bâtiments au réseau permet de limiter l’utilisation d’énergies fossiles, comme le gaz ou le fioul. Le prix des énergies renouvelables ou de récupération, produites localement, est moins impacté que les fluctuations des tarifs des énergies fossiles. L’abonnement au réseau de chaleur garantit une meilleure stabilité des coûts. En effet, la part du gaz ne représente que 20% maximum dans la formule de calcul du prix de l’énergie distribuée via le réseau de chaleur urbain, ce qui permet aujourd’hui de mieux contenir les augmentations du gaz. Par ailleurs, la taille et la gestion industrielle des installations permettent d’obtenir de meilleurs rendements de combustion et de plus faibles rejets que la plupart des installations classiques de chauffage. La centralisation de la production d’énergie des 75 abonnés permet de réduire fortement les émissions de gaz à effet de serre.

 

Quels bâtiments raccordables, sous quels critères ?

Préval poursuit l’extension du réseau depuis quelques années, en partenariat avec la Ville de Pontarlier et l’Ademe, selon le schéma directeur de 2019, qui fixe le cap du déploiement. Les choix des zones et des bâtiments raccordés s’effectuent sur différents critères : le tracé du réseau historique, les opportunités identifiées sur une même zone, la complexité des travaux, la configuration du bâtiment, un retour sur investissement cohérent. En 2022, le réseau de chaleur arrive au centre-ville dans le but de relier différents bâtiments municipaux (théâtre Bernard Blier, musée, hôtel de ville, médiathèque, sous-préfecture). Les travaux vont générer des fermetures temporaires de rues ou encore des tranchées pouvant perturber momentanément l’accès aux habitations, garages et commerces. Le centre-ville est impacté depuis le 16 août, et cela devrait s’étendre jusqu’au 9 septembre environ. Plusieurs outils permettent aux riverains de suivre l’évolution des travaux, notamment la page Facebook dédiée « réseau de chaleur Pontarlier », ou encore le site internet de Préval.

 

Les travaux 2022 poursuivent deux enjeux majeurs :

-          Remplacer les canalisations fonte datant de 1989, afin de prévenir d’éventuelles fuites et d’assurer les besoins futurs en énergie, comme c’est le cas pour la rue Marpaud qui alimente notamment l’hôpital.

-          Réaliser un bouclage du réseau, par le centre-ville pour sécuriser l’alimentation en énergie des abonnés, et également pour fournir chauffage et eau chaude sanitaire à différents bâtiments publics.  

 

Claude Gindre, président de Préval : 

 

 

Ce jeudi 1er septembre c’était la rentrée des classes, 203.511 élèves ont fait leur rentrée ce jeudi 1er septembre dans l’académie de Besançon, dont 95.000 dans le Doubs. Cette année plus de masques et des mesures sanitaires allégées au plus grand bonheur des élèves et des enseignants. La rédaction s’est rendue à Pontarlier, à l’école Charles Péguy, où le maire, son adjointe et le service éducatif effectuaient la traditionnelle visite des écoles.

 

 

« Revenir sur les fondamentaux »

Nathalie Albert-Moretti, la rectrice de l’académie de Besançon, faisait le point ce mardi sur la rentrée scolaire. « Une rentrée apaisée, maîtrisée et engagée » avait souligné la rectrice. En partie grâce à la levée des nombreuses restrictions sanitaires. Des propos partagés ce jeudi par Olivia Guyon, adjointe à l’éducation à la ville de Pontarlier. « La rentrée se passe bien, on a un magnifique temps, c’est toujours plus agréable. Tout se fait en douceur. C’est une rentrée sereine, normale, après ces années Covid. Enfin on a l’impression de revenir aux fondamentaux, à l’école ». L’intégralité des cours se feront désormais en présentiel, les activités sportives auront lieu sans restriction, et le port du masque n’est plus obligatoire même s’il reste recommandé pour les personnes vulnérables. « Ça va nous permettre à nous, mais surtout aux enseignants, aux familles et aux enfants, de se concentrer sur l’essentiel, sur les fondamentaux. On vient à l’école pour s’épanouir, grandir, apprendre. Désormais la priorité sera l’école, les apprentissages, un climat plus serein, le plus sain possible, pour permettre aux enfants de s’épanouir à l’école » ajoute Olivia Guyon.

 

Des effectifs complets à Pontarlier

Alors que l’on annonçait une rentrée compliquée au niveau des effectifs, que 4000 postes d’enseignants n’étaient pas pourvus à 10 jours de la rentrée, la rectrice a affirmé que dans les départements du Doubs, de Haute-Saône, du Jura et du Territoire de Belfort, la pénurie des enseignants était bien moindre qu’au niveau national. « Les enseignants sont là, devant leurs élèves, qui eux aussi sont là. Tout le monde est bien présent. En tout cas, nous n’avons pas cette problématique au niveau des écoles » explique l’adjointe à l’éducation à la ville de Pontarlier. Par ailleurs, les effectifs des élèves sont en hausse. « On entend parler d’une baisse démographique sur le département, mais sur le secteur de Pontarlier ça ne se ressent pas. Au global, nous avons plus d’élèves que la rentrée dernière, avec des variations en fonction des écoles. C’est un indicateur important, rassurant » confie Olivia Guyon.

 

Des cantines prêtes à accueillir tout le monde

Les places de cantine étaient aussi au cœur des préoccupations dans certaines grandes villes de France, les restaurants scolaires ne pouvant accueillir la totalité des élèves. Si tel était le cas à Pontarlier, ce n’est désormais plus d’actualité. « On donne une réponse positive à toutes les familles, on a la capacité d’accueillir tous les enfants. Effectivement on avait un problème de place, mais il a été résolu puisque maintenant on va permettre à des enfants de se restaurer au lycée Jeanne d’Arc de Pontarlier, notamment les enfants de l’école Cordier. On va continuer d’y réfléchir, parce que l’idée c’est de permettre de pouvoir assurer cette continuité » explique Olivia Guyon.

 

Quelles nouveautés dans les écoles cette année ?

A Pontarlier, des travaux s’effectuent chaque année, chaque été. Peinture, sol, rénovation, chauffage, et bien d’autres encore. Mais la grande nouveauté de cette rentrée, c’est l’équipement de toutes les écoles élémentaires d’ordinateurs portables. « On a mis en place des classes mobiles qui étaient attendues par les enseignants. Ça fonctionne en Wifi, ça va permettre aux enseignants de mettre en place d’autres activités par ce biais du numérique » confie l’adjointe à l’éducation à la ville de Pontarlier.

Un projet de cour à l’école élémentaire Joliot Curie devrait aussi voir le jour. « C’est un travail collaboratif qui va être mis en place avec les équipes enseignantes, les élèves, la maison de quartiers et les habitants. L’idée est de ne rien s’interdire, de s’imaginer la cour de demain, leur cour d’école, que ça devienne un lieu de vie, un lieu d’accueil pour les parents, et peut-être même un espace partagé. Je ne sais pas ce que donneront les résultats de leurs travaux. Les idées vont venir du terrain, de façon collaborative » souligne Olivia Guyon.

Enfin, dernière nouveauté qui intervient en partenariat avec l’Education Nationale, la mise en place de l’accueil des toutes petites sections, les TPS. « On peut accueillir jusqu’à deux fois quatre familles dans deux écoles maternelles différentes, l’école Vauthier et des Pareuses, donc potentiellement 4 places pour accueillir ces enfants-là. L’idée est aussi de pouvoir permettre à des enfants un peu plus jeunes de pouvoir intégrer une école un peu plus tôt, et acquérir certaines habitudes » explique l’adjointe à l’éducation à la ville de Pontarlier.

Ce mercredi avait lieu le concours du cheval de trait comtois à Pontarlier. Plus de 80 éleveurs étaient réunis à l’espace Pourny accompagnés de leurs bêtes. Seulement quelques heureux vainqueurs ont été sélectionnés pour le concours national de la race comtoise qui aura lieu les 8 et 9 septembre à Maîche. Pour cette finale, des chevaux venus de la France entière se mesureront les uns aux autres sur la base de différents critères.

 

Une première étape avant le concours national

Crinières tressées, poil luisant, démarche maîtrisée, les chevaux étaient tirés à quatre épingles ce mercredi à Pontarlier. Chacun leur tour, ils s’élancent sur la piste au pas, puis au trot, en paradant devant un public nombreux venu assister à cet évènement. Le jury, stylo dans une main et grille d’évaluation dans l’autre, scrute attentivement les moindres détails des sabots aux crinières. Plusieurs critères sont pris en compte : couleur de la robe, expression de la tête, encolure, membres ou encore déplacement du cheval. Après ce défilé, chaque bête se voit attribuer une note qualificative, ou non, pour le grand concours national de Maîche, prévu en septembre. Au total ce mercredi, 30 des 150 chevaux ont eu la chance de faire partie des heureux vainqueurs sélectionnés. Ils seront en compétition avec 300 autres chevaux venus de la France entière lors du grand concours national de Maîche. Enfin, six bêtes seront retenues pour participer au Salon de l’agriculture à Paris du 25 février au 5 mars 2023.

 

« Ces manifestations sont très importantes. Elles motivent beaucoup d’éleveurs et de public dans notre région. Cela permet également de faire vivre l’économie locale. Nous avons entre 300 et 400 repas le midi, servis par un traiteur. Et même si nous avons eu quelques averses ce matin, tout le monde est au rendez-vous pour cette nouvelle édition, dans la convivialité et la bonne humeur ! » Joël Parent, président de la section locale du cheval comtois de Pontarlier.

 

Retour en photo sur cette édition 2022 : 

 

 

Joël Parent, président de la section locale du cheval comtois de Pontarlier : 

 

 

  La ville de Pontarlier organise le dimanche 14 août un concert dans le cadre de ses Estivales au cours duquel se produira le groupe Trois Cafés Gourmand. Celui-ci aura lieu sous la Halle Emile Pasteur. L’entrée sera gratuite. La première partie verra la représentation de Sydney Balsalobre à 20h30, suivie de Trois Cafés Gourmand à 21h30.   

Du 25 juillet au 29 juillet, de 9h à 12h et de 13h à 16h, un atelier graff à destination des 14-18 ans sera proposé gratuitement à Pontarlier. Encadré et animé par un intervenant professionnel qualifié, Benjamin Locatelli, cet atelier se déroulera tous les jours. La fiche d'inscription est à télécharger sur le site internet de la Ville ou à retirer à l'accueil du Pôle Éducation, Jeunesse, Politique de la Ville, situé 69 rue de la république (en face de la Sous-Préfecture), ouvert du lundi au vendredi, de 8h30 à 12h et de 14h à 18h. L’inscription est obligatoire et le nombre de places est limité.

Le nouveau sous-préfet de l’arrondissement de Pontarlier, Nicolas Onimus, prendra ses fonctions le lundi 25 juillet à 18h à la mairie. Il marquera cette prise de fonctions par un dépôt de gerbe au monument aux morts de l’Hôtel de ville.

La fête nationale sera synonyme de festivités dans les villes de notre région. Plusieurs d'entre elles ont déjà annoncé leur programme.

 

A Pontarlier, les festivités débutent dès le 13 juillet avec le feu d'artifice qui sera tiré à 22 h 30. Le bal en plein air débutera lui à 23h. Le lendemain aura lieu la prise d'armes place d'Arçon à 10h45. Un quart d'heure plus tard, un défilé animera la cité pontissalienne. Il traversera la Rue de Salins, la Rue de la République, la rue de Vannolles puis se terminera sur la place Jules Pagnier.

A Besançon, le jour de la fête nationale démarrera dès 11h avec la traditionnelle cérémonie des Noces d'Or qui sera organisée au Kursaal. Le défilé de la cité bisontine s'élancera sur l'Avenue d'Helvétie dès 19 h 30. Un pique nique citoyen se tiendra ensuite à partir de 20 h 45 au parc Micaud. Dans le même temps, de nombreux concerts se tiendront sur la place de la Révolution et ce jusqu'au bout de la nuit. Le traditionnel feu d'artifice sera lui tiré depuis la tour carrée des Glacis à 22 h 30.

Enfin, la commune de Valdahon verra son traditionnel feu d'artifice tiré le 13 juillet rue des gouttottes à 22 h 45. Le lendemain, dès 9h, vous pourrez participer gratuitement aux courses et marches urbaines organisées place de Gaulle.

 

Owen Tchernenko et son entraineur Dorian Young

L’élève du collège André Malraux Owen Tchernenko a réalisé une grande saison au sein du club nautique pontissalien. Âgé de 13 ans, il a atteint les minimas pour les championnats de France Jeunes dans l'épreuve de 50m nage libre. Il partira à Pau lundi avec son entraîneur pour espérer obtenir un résultat. 

Une passion née très tôt

Comme nous l’apprend le jeune Owen, la natation le suit depuis sa plus tendre enfance. Il a débuté la discipline “dès l’âge de 3 ans en Guyane”. Après avoir longuement hésité entre le football et le sport nautique, il s'est finalement orienté vers ce dernier car "depuis petit, il se sent bien dans l’eau”. Arrivé à Pontarlier il y a 3 ans pour débuter son collège, le jeune a réalisé une “progression fulgurante” selon son entraîneur Dorian Young. Il nous explique : “il a commencé au club en septembre 2020 et ça a été le confinement assez rapidement donc on l’a un peu découvert cette année”. Owen possède surtout un physique impressionnant pour son âge : “il grandit de 3 cm tous les mois” nous confie son entraîneur. Fort de ces conditions physiques, le jeune nageur pontissalien a pu réaliser des très bons temps dès le début de l’année. Grâce au travail de Dorian et de toute l’équipe du CNP, Owen a pu arriver au meeting de Montélimar la semaine dernière avec un objectif en tête : réaliser les minimas pour les championnats de France. 

owen seul

Owen devant la piscine du CNP

“Le mental aussi important que les physique”

Lors de ce meeting de Montélimar, Owen a réalisé un très bon temps dès les séries du matin : 26’89 alors que les minimas pour le 50m nage libre se trouvent à 26’69. Tout l'enjeu de la journée a été ensuite de maintenir Owen dans une bulle de concentration afin de gagner quelques dixièmes l’après midi. Ce sera chose faite avec un temps record de 26’62. Le jeune pontissalien partira donc aux championnats de France Jeunes de Pau qui se dérouleront du mardi 12 au vendredi 15 juillet. En plus de l’épreuve de 50m nage libre située mercredi, Owen aura l’occasion d'avoir “une nage bonus”, c'est-à-dire le 100m nage libre dans lequel il s'élancera vendredi. D’ici là, pour son entraîneur et toute l’équipe du CNP, l’objectif sera de "peaufiner les détails comme sur le start (le départ) où il peut gagner de nombreux dixièmes de secondes”. Surtout, pour Owen Tchernenko, “le travail mental est aussi important que le physique”. Lui qui possède un physique très avantageux par rapport à ses concurrents du même âge doit se concentrer sur sa force mentale “si importante pour ne pas lâcher en pleine course”. Ainsi, Owen et Dorian travaillent autant sur “des exercices physiques que des exercices de méditation, de concentration”. 

owen potes

Owen au milieu de ses coéquipiers. Les résultats individuels se construisent aussi en équipe.

 

Pour Dorian Young, l’enjeu sera, pour les deux épreuves, “de finir dans les 16 dans les séries du matin ce qui pourrait nous rapprocher des meilleures places”. Owen Tchernenko n’a plus qu’à se lancer dans le grand bain.

De tels résultats nécessitent une équipe d'entraîneurs impliqués derrière. Le CNP, qui manque d’un entraîneur pour la saison prochaine, fait un appel à l’embauche. Si vous êtes intéressés, envoyez un mail à : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. 

 

L'interview de la rédaction / Owen Tchernenko et Dorian Young    

 
 
Cette édition 2022 du Marché de Noël proposera une toute nouvelle formule, mêlant tradition et évolution. Une nouvelle implantation, de nouvelles décorations et de nouvelles animations seront à découvrir dès décembre  prochain. Le Père Noël sera aussi présent au cœur d'une grande parade.

Installé avec succès place d'Arçon et rue de la République, depuis plus d'une dizaine d’année, le marché de Noël connaîtra en 2022 une nouvelle dynamique. Le Père Noël ne descendra pas du clocher de l'église Saint Bénigne cette année, mais il arpentera les rues du centre-ville, fièrement installé sur son char, au cœur d'une parade de Noël féérique et musicale qui émerveillera petits et grands. Il rejoindra ainsi une toute nouvelle maison du Père Noël revisitée, au sein du village traditionnel de Noël sur la place Saint Bénigne. Il sera au rendez-vous tous les week-ends et les mercredis pour écouter les vœux de chacun ou prendre la pose dans son studio photo.

 

Désormais, le marché se déploiera sur trois sites distincts mais complémentaires :

 

1. Place Saint Pierre, marché de quartier animé par les commerçants de la place

2. Village féérique et traditionnel autour de l’église St Bénigne, en cœur de ville. Une majorité de chalet sera déplacé sur la place St Bénigne afin de créer le village féérique de Noël dans un cadre exceptionnel. Pour renforcer cette ambiance de somptueuses nouvelles décorations pourront être admirées.

3. Enfin, le pôle de glisse ludique et convivial sur la place d’Arçon. Vous y retrouverez la patinoire, quelques chalets de restauration. La patinoire se dotera d’une nouvelle animation avec la possibilité de jouer au curling sur certains créneaux.