Les sapeurs-pompiers sont intervenus hier soir, vers 19h30, aux Hôpitaux-Neufs, à la suite d’un violent orage. Les secours ont procédé à l’épuisement d’une cave, d’un parking couvert et un assèchement au niveau du local électrique du magasin Intermarché. L’électricité, les groupes froids, et le système de caisse ont pu être remis en service. Ce qui n’entraînera pas de chômage technique.
Un motard devra s’expliquer le 4 septembre prochain devant le délégué du procureur dans le cadre d’une composition pénale. Le 23 juin, rue de l’Epitaphe, à Besançon, il a été vu sur la vidéoprotection municipale en train de faire du Rodéo. Le contrôle a permis d’établir que l’engin était faussement immatriculé. Lors de son audition, l’individu a reconnu partiellement les faits. L’exploitation des enregistrements de vidéosurveillance a permis de le confondre. De nombreuses infractions au code de la route ont été mises en évidence.
Hier après-midi, vers 16h45, à Villers-le-Lac, à proximité du Saut du Doubs, les sapeurs-pompiers ont porté secours à un chien, se situant à 5 mètres en contrebas d’un chemin de randonnée. L’animal a été récupéré par une équipe du Secours en Milieu Périlleux et en Montagne. Il n’était pas blessé. Il a été remis à son propriétaire.
Hier, en fin d’après-midi, les sapeurs-pompiers bisontins ont porté secours à un homme de 29 ans qui avait sauté dans le Doubs, à hauteur du pont Battant. Deux autres hommes se sont mis à l’eau pour l’aider. Après bilan et régulation, la victime a été transportée sur l’hôpital Minjoz.
Ce dimanche, vers midi, les sapeurs-pompiers se sont rendus à Rancenay, chemin de la double écluse, pour porter secours aux passagers d’un bateau de 14 mètres qui menaçait de couler. Six personnes se trouvaient à bord. Elles ont été mises en sécurité au moyen d’une embarcation. Les services de Voie Navigable de France se sont également rendus sur place.
A Besançon. Les sapeurs-pompiers sont intervenus ce dimanche 23 juin matin, vers 9h, rue Thomas Edison, pour deux feux de conteneurs à poubelles. Le premier s’est produit devant la société Statice, situé au 9 de la rue. Le deuxième s’est déclaré au niveau de la société Hintzy Distribution, implantée au numéro 8. Le feu et un début de propagation à la toiture ont pu être stoppés par les secouristes. Des actions de ventilation ont été pratiqués pour éviter l’évolution du sinistre.
Un jeune salarié de 26 ans devra s’expliquer le 1er octobre prochain devant la justice. Il a asséné un coup de téléphone sur le crâne de son patron, le gérant de l’enseigne « Home Sandwich » à Besançon. Une altercation a éclaté entre les deux hommes car le salarié demandait la somme de 1.000 euros que ce dernier lui devait. Aux policiers, le responsable, âgé de 40 ans, a expliqué qu’il lui devait 800 euros, mais qu’il ne pouvait pas lui donner car l’auteur de l’agression n’était pas titulaire d’un compte bancaire et qu’il ne pouvait pas délivrer cette somme en numéraire.
Un couple et un enfant, légèrement blessés, ont été pris en charge par les secours, ce matin, à Gendrey, dans le Jura. Leur véhicule a quitté la route et a effectué un tonneau. Les victimes ont été transportées sur un centre hospitalier. Neuf sapeurs-pompiers se sont rendus sur place.
Lundi, la police judiciaire de Lons-le-Saunier, avec l’appui d’une équipe cynophile de Besançon, a mené une opération de déstabilisation des points de deal au centre-ville de la capitale jurassienne. Cette opération et cette collaboration permettent aux forces de l’ordre de poursuivre leurs actions en matière de lutte contre les produits stupéfiants.
Un homme de 25 ans a été placé en garde à vue au commissariat de Besançon. Mardi après-midi, il a blessé un sexagénaire qui pratiquait la pétanque, avec un groupe d’amis, square Bouchot à Besançon. L’individu est venu causer du trouble au sein du groupe de joueurs.
Sans aucune apparente raison, il a lancé une boule sur la victime, la faisant chuter, et provoquant des blessures au niveau de l’arcade sourcilière droite, de l’épaule et d’un poignet. Lors de son interpellation, l’agresseur a évoqué des violences volontaires. Ce qui ne semble pas être le cas.