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Ne dit-on pas, « la liberté des uns s’arrête là ou commence celle des autres Â». Ce samedi après-midi, vers 16h, une centaine de manifestants anti-pass sanitaire a envahi la médiathèque Pierre Bayle au centre-ville de Besançon, invectivant certains agents. Anne Vignot, Maire de Besançon, « condamne cette occupation des lieux Â» et apporte « tout son soutien aux agents et aux usagers présents. Elle dénonce « un débordement inacceptable Â».

Les forces de l’ordre pontissaliennes constatent une augmentation des incivilités concernant le tri des déchets. Il est apparu que certains particuliers, pour réduire le coût de leur facture, se débarrassent illégalement de leurs déchets ménagers. Dernièrement, des individus, sans complexe, les ont jetés dans une benne appartenant à la mairie. Les faits ont été constatés rue Jean Mermoz. Les auteurs n’ont pas encore pu être identifiés.

Un jeune pontissalien de 18 ans a fait l’objet d’un rappel à la loi pour des faits de corruption de mineur. Il a été reconnu que cet individu avait envoyé des SMS insistants à un jeune homme de 17 ans. La plainte avait été prise par la brigade de gendarmerie d’Ornans. Le jeune harceleur a été entendu au commissariat de police de Pontarlier. Il a reconnu les faits et évoqué une plaisanterie, plutôt qu’une réelle envie de nuire.

Le 2 juillet dernier à Besançon, Mohammed Boumaaza avait renversé et grièvement blessé un policier de la brigade anticriminalité en scooter. Ce dernier est resté plus d’un an en convalescence, et se déplace aujourd’hui encore en fauteuil roulant. En premier instance, le prévenu avait écopé de 5 ans de prison ferme devant le tribunal de Besançon. Il avait alors interjeté appel. Ce jeudi 4 novembre, devant la cour d’appel du tribunal de Besançon, sa peine a été confirmée. Une réponse jugée « satisfaisante Â» pour le commandant Christophe Touris, à la tête de la sûreté départementale.

Un accident entre deux voitures s’est produit hier soir, vers 19h30, à hauteur d’Etalans. On déplore trois blessés. Les victimes, trois femmes, âgées de 52, 34 et 20 ans, ont été examinées sur place par un médecin et transportées sur l’hôpital de Besançon.

Jusqu'au 14 novembre, les cours au centre de formation universitaire d'orthophonie de Besançon sont suspendus. Cette décision a été prise par la présidente de l'Université de Franche-Comté, qui a saisi le procureur de la république de Besançon. Ce dernier a ouvert une enquête préliminaire pour harcèlement. Il invite les étudiants qui estiment avoir été victimes de harcèlement moral de la part de l'équipe pédagogique à se manifester, et prendre contact avec le commissariat de police de Besançon par téléphone.

 

Ce sont les maîtres de stage qui ont été les premiers à tirer la sonnette d’alarme. Le 14 octobre dernier, ils sont une cinquantaine à avoir signé un appel, qui a été transmis à la présidente de l’Université de Franche-Comté, mais aussi à des députés, à la direction de l’école et au président du syndicat national des orthophonistes, et à l’Agence Régionale de Santé. Ils racontent l’enfer vécu par ces étudiants, pour la plupart des femmes. Vomissements, crainte d’aller en cours, boule au ventre, troubles du comportement alimentaire, troubles du sommeil, troubles dépressifs, prise d’anxiolytiques et d'antidépresseurs, la liste est très longue.

Après la suspension des cours, trois membres de l'équipe pédagogique ont démissionné de leurs fonctions au sein de l'école d'orthophonie. Le directeur en fait partie. La présidente de l'Université, Macha Woronoff, a saisi le procureur de la république de Besançon. Ce dernier a ouvert une enquête préliminaire pour harcèlement. Seulement, pour voir ces signalements aboutir, il invite les victimes à se manifester par téléphone au commissariat de Besançon, afin de permettre des poursuites pénales. Une dizaine de signalements ont été reçus, mais certains sont anonymes et d’autres prescrits, car ils datent de plus de dix ans. Pour l’heure, une enquête administrative va être diligentée afin de faire le point sur l’organisation au sein de l’école d’orthophonie.  

Les proches de Madame Chantal Soulier sont toujours sans nouvelles. Cette personne, domiciliée à Ecole Valentin, transportée à l’hôpital Jean Minjoz, à la suite d’une chute dans sa commune de résidence, n’a plus donné signe de vie depuis le 29 octobre.

Elle a quitté l’établissement après y avoir été conduite. Ce jeudi, une nouvelle opération était menée pour tenter de la retrouver. Ce matin, les participants se sont donnés rendez-vous sur le parking d’une boulangerie à Franois. Cet après-midi, un nouveau rassemblement s’est tenu aux Tilleroyes.

Un individu, âgé de 22 ans,  a été interpellé par les policiers bisontins ce mercredi après-midi, vers 16h30, rue des Causses. Un autre a pris la fuite. Ces deux hommes ont été aperçus sur un point de deal. Ils effectuaient un échange de stupéfiants de main à main. L’individu interpellé a été trouvé porteur d’un couteau et de 430 euros. Ce dernier a reconnu que l’argent découvert sur lui provenait de la vente de produits stupéfiants. Il était toujours en garde à vue ce mercredi, en fin d’après-midi.

Un homme, âgé de 29 ans, devra s’expliquer le 28 février prochain devant le tribunal judiciaire de Besançon. Le 2 novembre, lors d’un contrôle routier, il a multiplié les infractions. Interpellé car son véhicule était démuni de la vignette du contrôle technique, il a utilisé une fausse identité pour échapper aux sanctions. Plus tard, les policiers ont constaté qu’il était au volant malgré une annulation du permis de conduire. Il a été placé en garde à vue.

Le 2 novembre dernier, vers 16h30, les policiers bisontins se sont rendus au centre commercial de Chateaufarine à la suite d’un appel dénonçant un homme, âgé de 20 ans,  qui aurait exhibé son sexe aux passants dans la galerie commerciale. Il a été intercepté par des vigiles. L’un d’eux a reçu un coup de poing au visage par cet homme. Ce dernier a été conduit au commissariat et placé en garde à vue. Il s’expliquera en janvier prochain devant la justice. La victime a déposé plainte. Aucun passant n’a été identifié.