Choix du secteur :
Se connecter :
 

Ce jeudi matin, vers 10h30, à Besançon, rue Thomas Edison, un jeune homme de 21 ans a été interpellé par une patrouille de police. Il a jeté une pierre sur un véhicule en circulation. La conductrice a freiné pour éviter l’impact, sans toutefois y parvenir complétement. Le caillou a touché la calandre de la voiture.

Un individu devait être jugé ce jeudi en comparution immédiate pour des faits de violence conjugale. Ces derniers remontent au 26 octobre dernier. Une femme a reçu des coups de poings et a été étranglé par son compagnon. Elle s’est réfugiée chez un voisin.

A leur arrivée, le concubin quittait les lieux pour rejoindre son domicile, situé quelques mètres plus loin. Alcoolisé, il a été interpellé, placé en cellule de dégrisement, puis en garde à vue. La victime a présenté un certificat médical avec trois jours d’ITT. Au cours de son audition, l’agresseur présumé n’a reconnu que partiellement les faits. Selon lui, la femme aurait été bousculée et se serait blessée en tombant sur du mobilier.

Un accident impliquant un poids lourd seul, transportant du béton à l’aide d’une toupie, a terminé sa course sur le côté à hauteur de la commune de la Chaux, sur la départementale 48, entre La Chaux et Bugny. Le conducteur est incarcéré à l’intérieur de son véhicule. Il est bloqué au niveau des membres inférieurs. Après avoir été médicalisé sur place, il sera évacué par héli25 sur un centre hospitalier

U accident, impliquant un poids lourd seul, transportant du béton, a terminé sa course sur le côté à hauteur de la commune de la Chaux, sur la départementale 48, entre La Chaux et Bugny. Le conducteur est incarcéré à l’intérieur de son véhicule.

Dans la nuit de mardi à mercredi, rue François Mitterrand, à Besançon, un automobiliste de 23 ans a été conduit au commissariat et placé en garde à vue. Au cours du contrôle, il est apparu que son permis de conduire avait été annulé judiciairement. Il était également en possession de deux grammes de résine de cannabis. Ce dernier a refusé de se soumettre aux vérifications de son alcoolémie ainsi qu’au dépistage stupéfiant.

Mardi, vers 16h, à Besançon, une patrouille de police secours a mis hors d’état de nuire un homme de 29 ans qui s’était illustré en dégradant un abri de bus à l’angle de l’avenue Helvétie et de l’avenue Denfert-Rochereau. Il a été interpellé à la sortie d’un bus. Il a été conduit au commissariat et placé en garde à vue. Il s’expliquera le 16 novembre prochain devant le tribunal judiciaire de Besançon en vue d’une composition pénale.

Un jeune homme de 19 ans a été placé en garde à vue à Besançon. Dans la nuit de mardi à mercredi, ce dernier, alcoolisé, a participé à une bagarre et a dégradé un véhicule dans le haut de la rue de Battant. Sous l’effet de l’alcool, il a également outragé les forces de l’ordre. Les faits qui lui sont reprochés sont : dégradation de véhicule, trafic de stupéfiants, non-respect de contrôle judiciaire, outrage et refus de se soumettre aux vérifications de son taux d’alcool.

La femme de 38 ans qui avait tenté de faire passer des produits sans les payer à la caisse d’un supermarché de l’agglomération pontissalienne en début de semaine, a été confondue dans une autre affaire. La semaine dernière, avec le même modus operandi, elle s’est fait remarquer au magasin Colruyt. Elle a été entendue par les policiers. Elle a reconnu les faits. Ces deux affaires seront classées lorsqu’elle aura régularisé sa situation.

A Morez, un collectif a vu le jour au début du mois d’octobre. Baptisé « Moréziens en colère », il s’inquiète de la situation de la ville. Les désaccords avec la municipalité en place portent sur le nouvel emplacement du marché, le développement économique de la cité jurassienne, sa propreté et l’insécurité notamment. Il est également demandé à l’équipe du Maire Laurent Petit de changer sa politique et de mieux prioriser les projets à venir. S’ils ne sont pas contre l’implantation d’une voie verte et d’une voie douce et la construction d’un hôtel de luxe, les opposants aimeraient également que la ville s’interroge sur le déclin du marché ou encore la fermeture annoncée de plusieurs commerces. Le premier de la liste est le « leaderprice ». D’autres pourraient subir le même sort, comme les enseignes Liddle et Bricomarché.

Actuellement, « Moréziens en colère » compte 250 membres. En 15 jours, le nombre de personnes qui ont rejoint le collectif a subitement augmenté. Ce qui prouve les réelles inquiétudes qui se manifestent. En parallèle, une pétition circule pour dénoncer le déplacement du marché. « En une semaine, elle a rassemblé 712 signatures » selon leurs auteurs.

L'interview de la rédaction / M. Malfroy

 

Un incendie s’est déclaré hier, vers 19h45, aux Ecorces (25). Il concerne une habitation. A l’arrivée des secours, le feu de toiture s’était propagé à une partie de la bâtisse. Quatre lances ont été établies pour éteindre les flammes. Les quatre occupants, indemnes, ont été relogés dans leur famille.