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A Valentigney, un sapeur pompier de 22 ans a été placé en garde à vue. Dans la nuit de vendredi à samedi, il  a été aperçu par ses collègues  en train de mettre le feu à un container.

Ces derniers nourrissaient déjà quelques soupçons à son encontre. Au cours de sa garde à vue, le pyromane a reconnu avoir mis le feu à au moins cinq poubelles en ce mois de juillet. 

Une belle journée s'annonce. Transats, crème solaire, serviettes de bain, ... seront de sortie ce dimanche. Ici au bord de la piscine à Andelot en Montagne (39) chez Marie et Rod.  

Tout au long de cet été, Plein Air vous propose de nous faire découvrir la région Franche Comté et ses couleurs estivales.

N’hésitez pas à nous faire parvenir vos plus beaux clichés réalisés dans la région. Les photos de paysage, insolites, amusantes, joyeuses, … à la piscine, en rando, en camping, au musée, autour d'un barbecue, au lac ou encore lors d’une fête villageoise… sont les bienvenues.  Ces photos peuvent vous mettre en scène ou évoquer un évènement. 

Pour ce faire, envoyez vos clichés à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.. Ils seront publiés sur le site www.pleinair.net.

Bonnes vacances à tous ! 

Ce matin, lors de l’inauguration de la fête de l’Absinthe, Patrick Genre, le Maire de Pontarlier, a évoqué  avec ironie, mais beaucoup d’agacement, la disparition prochaine de la ligne TGV Berne / Paris. 

Faisant allusion à la présence du tacot parmi les animations proposées durant la fête, le maire a déclaré « c’est un cadeau de la SNCF. A la place du TGV, il nous offre désormais tous les deux ans le tacot ».  

Cette boutade, qui n’en était pas une, n’est pas passée inaperçue. La preuve. 

A Mont de Laval (25), une mère de famille demande, au Conseil Général du Doubs, le retrait de la silhouette noire qui symbolise l’accident mortel de son fils de 35 ans, il y a quelques mois.

Rappelons que, depuis 2012, pour sensibiliser les automobilistes à la sécurité routière,  la collectivité  a entrepris l’installation de ces panneaux aux endroits où des personnes ont perdu la vie dans le  département. Pour cette mère de famille, obligée d'emprunter régulièrement cet itinéraire, le passage  devant cette silhouette est douloureux. Selon elle, il s’agit  « d’une représentation austère et douloureuse de la disparition de son fils ». Elle reproche également au conseil général de ne pas l'avoir avertie de son installation, trouvant «inadmissible qu'on ne demande pas leur avis aux familles avant d'installer ces choses-là.». 

Cette semaine, dans la presse nationale et régionale, le président du conseil général du Doubs, le socialiste Claude Jeannerot, a déclaré qu'il «ne répondrait pas à sa sollicitation» car ce dispositif s'inscrit dans le cadre d'une politique publique plus large en terme de sécurité routière. «Je comprends la douleur de cette maman, mais en tant qu'élu, j‘ai également une part de responsabilité. Une politique publique ne se décide pas au cas par cas.» Il a ajouté qu'il recevrait en personne cette mère de famille pour lui expliquer sa démarche.