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Le centre hospitalier intercommunal de Pontarlier a désormais son unité de chimiothérapie… Elle a été inaugurée en grande pompe ce lundi midi en présence notamment du Maire de la ville et du Sous-Préfet. Depuis le mois de mars, le CHI de Pontarlier collabore étroitement avec le CHU de Besançon… Désormais, les patients du Haut-Doubs mais aussi du Jura, n’auront plus besoin de se déplacer dans la capitale franc-comtoise pour recevoir des soins. Ce sont les équipes médicales, elles-mêmes, qui viendront s’occuper des malades du cancer au CHI.

L’espace chimiothérapie est installé au quatrième étage sur une surface de 780 mètres carrés. 1,2 millions d’Euros ont été investis dont 200.000 dans le matériel destiné à pratiquer les chimios. Le directeur de l’hôpital de Pontarlier, Olivier Volle, parle d’un « grand jour pour le CHI Â». Cette inauguration est « symbolique et importante Â», ajoute le maire de Pontarlier, Patrick Genre, qui est aussi le président du Conseil de surveillance de l’établissement. L’unité de chimiothérapie a pu être réalisée en libérant des espaces dans le cadre du rapprochement entre les établissements de Pontarlier, Mouthe, Levier et Nozeroy, qui composent aujourd’hui le CHIHC. Les patients bénéficieront d’un traitement de qualité avec la même équipe qu’ils trouveraient s’ils devaient se déplacer jusqu’à Besançon. « C’est donc moins de stress, moins de fatigue, et cela peut avoir une influence positive sur les chances de guérison Â», souligne Patrick Genre.

De son côté, Marine Jary, parle d’une « médecine de proximité Â». Cette oncologue – spécialisée dans les cancers d’origine digestive - partagera désormais son temps entre Besançon, Montbéliard et Pontarlier. L’unité de chimiothérapie fonctionnera à plein régime dans quelques jours avec un objectif d’ici deux ans de quarante chimios par semaine.

JJ/plein air

Un accident s’est produit ce lundi, en début d’après midi, à la sortie des Fins. Deux voitures sont entrées en collision. On déplore un blessé.

L'auteur des coups de feu dans le hall de "Libération", ce matin, aurait fait de nouveau usage de son arme moins de deux heures après les faits.

Selon plusieurs témoins, un homme, d'une quarantaine d'années, correspondant à son profil aurait tiré deux coups de feu vers midi à La Défense. Il est maintenant recherché du côté de l'avenue du 8e arrondissement.

Peu après, une prise d'otages a eu lieu sur les Champs-Elysées. D'après les premiers témoins, le preneur d'otages correspondrait au signalement du tireur.

Une femme de 39 ans a reconnu lundi avoir étouffé ses trois enfants, deux fillettes de 2 et 5 ans et un garçon de 3 ans, samedi soir à son domicile de Bar-le-Duc. Placée en garde à vue dimanche soir, la mère des enfants a indiqué les avoir "étouffés avec un oreiller samedi soir», selon le directeur départemental de la sécurité publique de la Meuse, Olivier Hédon.

Les corps sans vie des trois enfants n'ont été découverts par la police que dimanche soir, vers 21h00, gisant dans leurs lits. Les policiers avaient été prévenus par les services sociaux du Conseil général de la Meuse, qui avaient eux-mêmes été alertés par la famille d'accueil de l'aînée des trois enfants. En effet, la mère, qui devait ramener l'enfant dans cette famille de la Meuse dimanche soir, après un droit de visite et d'hébergement, ne s'était pas exécutée.

Le radar fixe, implanté en bordure de la RD 683, hors agglomération d’Amagney, a été dégradé. Les vitres ont été recouvertes avec de la peinture grise. Ce sont des gendarmes qui ont découvert ce préjudice ce matin, vers 10h15.

 

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