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La société Française de Médecine Vasculaire s’investit dans le dépistage échographique de l’anévrisme de l’aorte abdominale.

Ainsi, ce jeudi 21 novembre, les Médecins Vasculaires de Franche Comté organisent une journée de dépistage gratuit de cet anévrisme. Des consultations sont organisées à Pontarlier et Besançon. L’anévrisme de l’aorte est une dilatation de cette artère qui en grossissant peut se rompre. Ces complications médicales peuvent tuer autant que le cancer du sein chez la femme et le cancer de la prostate chez l’homme : il s’agit donc d’un enjeu de Santé Publique. En Grande Bretagne, le dépistage est obligatoire. En France, la Haute Autorité de Santé recommande depuis février 2013, un dépistage opportuniste c’est-à-dire que toute consultation médicale devrait orienter les patients vers le dépistage lorsque les patients sont à risque.

 Qui est concerné par ce dépistage ?

Cela concerne principalement, les hommes âgés entre 65 et 75 ans, avec un tabagisme actif ou ancien, et les femmes entre 60 et 75 ans. Mais aussi les hommes entre 50 et 75 ans ayant des antécédents familiaux d’anévrisme de l’aorte et les femmes entre 60 et 75 ans, fumeuses ou hypertendues. « En cas de détection d’un anévrisme, le Médecin Vasculaire explique au patient ce qu’est un anévrisme et ses conséquences. Une lettre sera ensuite adressée à son Médecin traitant qu’il devra recontacter. Les interventions chirurgicales ne sont à prévoir que pour un anévrisme supérieur ou égal à 50 mm Â» explique le docteur Lacoste. En 2012, la première opération de dépistage a été réalisée chez 6000 personnes dans 72 Centres, avec 350 Médecins Vasculaires impliqués : elle a permis de dépister 2 % d’anévrismes.

Les lieux de dépistage ? 

A Besançon : à la Clinique St Vincent, à la Polyclinique de Franche Comté et au CHU Jean Minjoz. A Pontarlier : au Centre Hospitalier.

Pour en savoir plus : www.sfmv-vesale.fr ou www. macirculation.com

Un homme s’est jeté sous un train, hier soir, peu après 21h, à Lons le Saunier. Les enquêteurs s’orientent vers la piste du suicide.

Le quotidien « Le Progrès Â» explique ce matin qu’une trentaine de passagers occupaient les wagons au moment du drame. Un bus a été mis en place pour leur permettre de poursuivre leur voyage.

L'homme, armé d'un fusil, qui a grièvement blessé un assistant-photographe dans le hall du journal "Libération" lundi matin ; avant de disparaitre dans la capitale, n’a toujours pas été retrouvé.

L’individu dont le signalement a été diffusé via des images de caméras de vidéosurveillance est aussi soupçonné d'avoir tiré sur la Société Générale à La Défense, et pris en otage un automobiliste pour se faire déposer sur les Champs-Elysées

L’homme recherché est âgé de 35 à 45 ans et de type européen. Selon l'appel à témoins diffusé par la police judiciaire, il a les cheveux poivre et sel, mesure entre 1m70 à 1m80.

Ce drame à Conliège dans le Jura… Une femme d’une cinquantaine d’années s’est immolée par le feu hier en pleine rue.

C’est un garçon de 12 ans qui a alerté les secours, il a assisté à cette scène en allant promener son chien. La quinquagénaire n’a malheureusement pas survécu… Elle était connue de la municipalité puisqu’elle encadrait notamment les enfants à la cantine. Dernièrement, elle avait annoncé à ses collègues son intention de mettre fin à ses jours.

Le combat d’un père à Villers-le-Lac… Ce trentenaire séparé de sa compagne a entamé une lutte pour récupérer la garde alternée de son fils… Pour cela, il organise une manifestation ce samedi 23 novembre à Besançon.

Cet homme, qui souhaite conserver l’anonymat, a créé un groupe facebook « Droit des enfants 25 Â»â€¦ Il se dit prêt à être le porte-voix des tous les pères qui sont dans la même situation que lui. Il précise que sa démarche n’est ni sexiste, ni personnelle. On a vu récemment des papas grimper sur des grues pour faire entendre leur cause… Pour ce Franc-comtois, être séparé de son enfant est un vrai déchirement. PLEIN AIR a reccueilli son témoignage. 

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