L’affaire Abdelhakim Dekhar a eu un écho en Franche Comté et notamment dans le Jura. Le chef d’entreprise Bruno Boulefkhad, qui manifeste son mécontentement depuis un an et demi maintenant, en s’installant devant les locaux des banques, qui, selon lui, ont contribué à ses difficultés financières et à la mise en liquidation judiciaire de ses sociétés, a dû quitter Paris et le siège social de la Société Générale, devant lequel, il manifestait depuis plusieurs mois.

Mr Boulefkhad explique que suite aux coups de feu tirés par le suspect à la Défense contre cette banque, les autorités ont jugé que « sa sécurité Â», n’était plus assurée. Le plaignant explique également qu’il a été entendu durant au moins quatre heures par les enquêteurs de la brigade criminelle et qu’il a collaboré pour l’identification du tireur, en visionnant de nombreuses photos et vidéos.

Bruno Boulefkhad poursuit sa mobilisation. Il était ces derniers jours à Lons le Saunier. Ce week end, il rejoint Quimper et la mobilisation des « Bonnets Rouges Â» bretons.

En raison des conditions météo, il a été décidé de reporter toutes les rencontres de football régional. En CFA2, Pontarlier ne jouera pas également sa rencontre, prévue ce samedi soir, contre Troyes.

Il en est de même pour le CAP rugby. Le match entre Pontarlier et le Creusot n’aura pas lieu. Cette rencontre pourrait se disputer le 9 décembre prochain.

Une assistance maternelle, âgée d'une cinquantaine d'années, a été placée en garde à vue au commissariat de Besançon. Elle est soupçonnée d'avoir drogué un nourrisson de deux mois dont elle avait la garde depuis quelques jours seulement.

Des traces de somnifère ont été retrouvées dans les urines de l'enfant. Ce sont les parents qui ont donné l'alerte en constatant que le bébé présentait des signes de somnolence inexpliqués.

( Source : Est Républicain)

Un homme de 41 ans devra répondre de son mauvais comportement en février prochain. Dernièrement, cet habitant du Haut Doubs a refusé de se soumettre à un contrôle d’alcoolémie effectué par la police de Pontarlier.

En plus de ces circonstances, cet automobiliste, déjà connu des forces de l’ordre, était en possession d’un permis de conduire non prorogé. Ce qui signifie qu’il n’avait pas effectué la visite médicale nécessaire pour obtenir un délai supplémentaire pour la validité de ce document.