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Selon une récente étude de l’Insee, la Bande frontalière du Doubs affiche une attractivité résidentielle certaine : la population y augmente, de nombreux travailleurs frontaliers mais aussi une population en provenance de Suisse s’y installent. En revanche, son tissu industriel est fragile.

En effet, de nombreux actifs sont venus s’installer dans ce territoire pour travailler de l’autre côté de la frontière. La bande frontalière accueille aussi une population en provenance de la Suisse voisine. 105 000 habitants vivent dans cet espace en 2010. Depuis 1999, la population s’est accrue de 13 %. Entre 2003 et 2008, 11 220 nouveaux habitants ont choisi de vivre dans cette zone frontalière du Doubs. Parmi eux, 41 % résidaient auparavant dans une commune de Franche-Comté extérieure à cette Bande frontalière. Ils sont jeunes pour la plupart, attirés par les perspectives d’emploi en Suisse. Près de 44 % des nouveaux arrivants proviennent d’autres régions, en particulier la Bourgogne, Rhône-Alpes, l’Alsace, la Lorraine, et même le Nord-Pas de Calais- avec vraisemblablement les mêmes perspectives ; un peu moins de 10 % viennent de Suisse et s’établissent au plus près de la frontière.

L’emploi industriel s’est étiolé

Dans cette zone, le dynamisme du travail frontalier masque une situation de l’emploi plus difficile qu’il n’y paraît. L’emploi s’est développé récemment essentiellement dans le secteur du commerce et de la réparation automobile, en lien avec l’arrivée de nouveaux habitants et de façon très localisée. En revanche, l’emploi industriel s’est étiolé : l’industrie a perdu 1 300 emplois entre 1999 et 2010. Alors que l’emploi a augmenté de 12,4 % dans le secteur agroalimentaire entre 1999 et 2010, il a baissé dans d’autres activités industrielles traditionnelles : le secteur de l’horlogerie et de la mécanique de précision a perdu 40 % de ses effectifs ; le travail du bois en a perdu 20 %. Les entreprises industrielles de ce territoire, oeuvrant dans des activités frappées par la mondialisation et une conjoncture économique défavorable, sont fragilisées. Elles subissent la concurrence exercée par les pôles industriels suisses tout proches avec lesquels, elles ne peuvent pas rivaliser, en particulier, en matière de salaires.

Dans le cadre de la Journée Mondiale contre le Sida qui aura lieu le 1er décembre et en partenariat avec la ville de Pontarlier, diverses actions seront menées par le service de Prévention Spécialisée de Pontarlier et par le Point Rencontre Jeunes Episode, de l'ADDSEA (Association Départementale du Doubs de Sauvegarde de l'Enfant à l'Adulte).

Les tests de dépistage du VIH à lecture rapide : Ce vendredi, de 10h à 12h et de 14h à 16h30, des tests de dépistage VIH à lecture rapide (30 minutes) seront effectués au Service de Prévention Spécialisée au 52 rue de Besançon à Pontarlier, en présence de professionnels de l'Association Aides. Ouverts à tous, ces tests sont anonymes et gratuits !

L'action de sensibilisation : exposition et discussion : Du lundi 2 au vendredi 6 décembre, le Point Rencontre Episode met en place au sein de sa structure, place Zarautz, une action d'information et de prévention gratuite articulée autour d'une exposition et de vidéos-projection. Cette action se déroulera, avec entre autres l'accueil de groupes scolaires et l'organisation de débats avec des professionnels de la santé. Elle s'adresse avant tout au public jeune : en France, un quart des jeunes de 15 à 24 ans connaît sa première relation sexuelle sans moyen de protection. Les objectifs sont donc de répondre aux interrogations, craintes, idées reçues en suscitant l'échange avec la jeunesse Pontissalienne.

Rappelons que le Point Rencontre Jeunes Episode est une structure associative à vocation éducative qui permet aux jeunes de 13 à 26 ans d'accéder à une écoute et une information multiple en rapport avec leur vie quotidienne. Sur le principe de la libre-adhésion et du respect de l'anonymat, la structure répond aux missions de la prévention spécialisée.

Pierre-Alain Frau portera le numéro 9… L’attaquant de 33 ans, vous le savez, est de retour dans le Doubs, à Sochaux, son club formateur. Il s’est engagé jusqu’à la fin de la saison. Une arrivée qui tombe à point nommé pour le FCSM, toujours dernier de la Ligue 1 et qui va devoir se battre pour le maintien.

Ancien joueur de Lille, Lyon ou du Paris Saint-Germain, "PAF" comme les supporters l’appellent, espère apporter son expérience au groupe d’Hervé Renard. Pourquoi pas jouer un rôle de cadre.

Pierre-Alain Frau pourrait être aligné dès samedi, lors du déplacement à Toulouse, pour le compte de la 15e journée.

Plus d'infos sur le site du FC Sochaux-Montbéliard

Le patron du Groupe PSA partira-t-il les poches pleines ? Oui, si l’on en croit les syndicats du groupe. Philippe Varin, qui sera remplacé dans les prochains mois par l’ex-numéro 2 de Renault, Carlos Tavares, partirait avec une retraite chapeau de près de 21 millions d’euros.

Un chiffre qui fait grincer des dents les syndicats qui se disent « Ã©cÅ“urés Â». Le coprésident du groupe écologiste à l’assemblée, François de Rugy a évoqué ce matin « un parfum d’indécence Â», alors que PSA est en proie à des difficultés…

De son côté, la direction du groupe tente de calmer le jeu. Prévu dans le contrat du PDG, l'argent est déjà provisionné sur un compte, explique-t-on. Il est à débloquer au moment du départ à la retraite du dirigeant, prévu pour courant 2014. Le montant versé à l'année représentera à peu près la moitié de la rémunération de Philippe Varin en tant que PDG, soit 650.000 Euros dans la limite de 21 millions.

Jean-François Humbert semble vouloir aller jusqu’au bout. C’est en tout cas l’impression qu’il donne dans les colonnes de "l’Est Républicain" ce mercredi. Le candidat dissident de la droite aux municipales à Besançon planche actuellement sur la constitution de sa liste.

Le sénateur apparenté UMP se réclame du centre et estime que « personne n’est propriétaire de l’appelation centre Â». Cela vise, si vous ne l’avez pas compris, l’UMP Jacques Grosperrin qui s’apprête à faire alliance avec l’UDI et le Modem dès le premier tour.

Par ailleurs, Jean-François Humbert pense avoir un avantage sur le candidat de la droite. « Une expérience de gestion Â», dit-il… Chose que ses adversaires n’ont pas, selon lui, excepté le maire sortant. Rappelons que Jean-François Humbert a été président du Conseil Régional de Franche-Comté de 1998 à 2004.

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