Choix du secteur :
Se connecter :

Pour l’heure, Trans’Organisation ne souhaite pas en dire davantage. Mais selon le journal « Le Progrès Â», la Trans’roller, qui se déroulait tous les ans, en septembre, dans le Haut Doubs, n’aura sans doute plus lieu. Un communiqué de presse sera envoyé demain à toutes les rédactions de la région.

Selon le quotidien jurassien, cette décision fait suite à la baisse, depuis cinq ans, des inscriptions et aux difficultés pour obtenir les autorisations nécessaires à la bonne organisation de l’évènement.

Le tribunal correctionnel de Marseille a condamné ce mardi Jean-Claude Mas, le fondateur de la société varoise PIP qui a vendu durant des années des implants mammaires frauduleux, à quatre ans de prison ferme et 75.000 euros d'amende  dans le premier procès de ce scandale. Contre les quatre autres prévenus, d'anciens cadres ou dirigeants de l'entreprise, jugés au printemps comme Mas pour tromperie aggravée et escroquerie, des peines de prison de trois ans, dont deux avec sursis, à 18 mois avec sursis, ont été prononcées.

Les victimes satisfaites de cette décision

De son coté, la bisontine Alexandra Blachere, Présidente de l'association de défense des porteuses de prothèses de la marque PIP, qui a assisté, ce mardi matin, au verdict, se dit très « satisfaite de cette décision, qui place les victimes dans leur rôles de victimes et qui reconnait enfin la culpabilité des prévenus » explique t'elle. Son seul regret est de ne pas voir Jean Claude Mas quitter le tribunal marseillais pour la prison. Rappelons que ce dernier a décidé de faire appel du jugement. Par ailleurs, selon les réquisitions du jour, les victimes seront indemnisées. Cette somme est comprise entre 6000 et 9000 euros en fonction des situations. Elle devrait être payée solidairement par les accusés ou par Jean Claude Mas uniquement. Cependant, en raison des appels, les plaignantes ne savent pas si les décisions seront maintenues. Sur les 7 113 parties civiles de ce procès, 4 à 5 000 plaintes ont été jugées recevables

L'avocat de Jean Claude Mas, le fondateur de la société PIP, a annoncé son intention de faire appel du jugement du tribunal correctionnel de Marseille qui l'a condamné, ce mardi, à quatre ans de prison ferme pour avoir vendu pendant des années des implants mammaires frauduleux.

A Besançon, deuxième jour d’audience ce mardi au procès du Café du théâtre devant la cour d’assises du Doubs… Un jeune prostitué de 24 ans est jugé, jusqu’à vendredi, pour avoir tué d'une centaine de coups de couteau en 2011 un patron de bar auquel il vendait ses services...

Ce matin, la cour a surtout entendu le second accusé, jugé pour proxénétisme aggravé… «Je ne suis pas un DSK de Besançon Â» a rétorqué Marouan Chkarmi, agacé par l’interrogatoire. Son avocat estime qu’il n’a rien à cacher dans cette affaire.

Le tribunal correctionnel de Marseille a condamné ce mardi Jean-Claude Mas, le fondateur de la société varoise PIP qui a vendu durant des années des implants mammaires frauduleux, à quatre ans de prison ferme et 75.000 euros d’amende et escroquerie dans le premier procès de ce scandale.

Contre les quatre autres prévenus, d’anciens cadres ou dirigeants de l’entreprise, jugés au printemps comme Mas pour tromperie aggravée et escroquerie, des peines de prison de trois ans, dont deux avec sursis, à 18 mois avec sursis ont été prononcées.

Sous-catégories