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Il n'y aura pas de coup de pouce, malgré l'insistance des syndicats. Le Smic,touché par trois millions de salariés en France, passera au 1er janvier de 9,43 à 9,53 euros brut de l'heure, soit l'augmentation légale de 1,1%, mais sans coup de pouce supplémentaire. C’est ce qu’ a annoncé hier le ministre du Travail Michel Sapin.

En net, pour les salariés aux 35 heures, cette augmentation devrait représenter environ 12 euros par mois, avec un salaire mensuel de 1.113 euros en moyenne.

La dernière session de l’année 2013 s’achève cette semaine devant les Assises du Doubs… Un homme est jugé pour avoir poignardé sa femme en juillet 2011 au pied d’un immeuble de la rue de Chalezeule à Besançon.

La victime âgée de 29 ans a miraculeusement survécu. Elle avait reçu une trentaine de coups de couteau. Décrit comme dépressif et rejetant la faute sur sa compagne, l’accusé a reconnu les faits hier à l’audience.

La grève illimitée se poursuit ce mardi sur le réseau des bus Ginko à Besançon.

L'ensemble des lignes urbaines 1 à 34 et des lignes de soirée A, B et C circuleront avec de « très légères perturbations Â», c’est ce qu’indique la direction. Les revendications portent rappelons-le sur les salaires…

L’opération devait durer 4 jours, puis une journée… Elle n’aura finalement duré qu’une douzaine d’heures. Le collectif « frontaliers ou citoyens soyons solidaires Â» a bloqué partiellement le trafic fret hier dès 4 heures du matin à la douane de Vallorbe.

Le barrage filtrant a finalement été levé peu avant 16 heures. Du côté des organisateurs, on se félicite de la portée médiatique de cette manifestation. D’autres actions sont annoncées dans les prochains jours. En attendant, les frontaliers bonnets rouges ne décolèrent pas. Jérôme Vayer est le porte-parole des collectifs, il en profite pour répondre aussi à tous ceux qui pensent que les frontaliers sont des privilégiés. « Nous ne sommes pas des nantis », affirme Jérôme Vayer au micro de Plein Air. 

Petite polémique à Besançon, à trois mois des municipales. La proposition du candidat de la droite et des centres Jacques Grosperriin de ramener le tarif du PV de stationnement à 11 Euros au lieu de 17, s’il est élu, a le mérite de faire réagir.

C’est le député écologiste bisontin Eric Alauzet qui lui adresse une longue réponse, dans un communiqué. Il rappelle que le tarif avait été porté de 11 à 17 Euros en 2011 par la majorité parlementaire UMP de l’époque dont Jacques Grosperrin faisait partie. Eric Alauzet juge par ailleurs cette propostion je cite « clairement attentatoire au civisme Â». Pour l'équipe de campagne de Jean-Louis Fousseret, « Jacques Grosperrin ne sait plus quoi faire pour faire parler de lui ».

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