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Les sapeurs-pompiers du Jura sont intervenus hier soir, vers 22h, à la Chaumusse pour un feu de cheminée qui s’est propagé au plancher d’une habitation. Une personne incommodée par les fumées a été prise en charge par les secours. Deux personnes ont été relogées. 13 sapeurs-pompiers se sont rendus sur place.

Le 13 octobre, une réunion d’information, portant sur l’enquête épidémiologique de Santé publique France sur les cancers pédiatriques dans le Haut-Jura, s’est tenue. Elle a permis de livrer les premières conclusions de l’expertise. Rappelons que 13 enfants de moins de 15 ans avaient été identifiés dans le périmètre, englobant les communes des Rousses, Longchaumois, Morez et Prémanon. Deux enfants de plus de 15 ans et un enfant ayant déclaré sa maladie en 2020 ont également été inclus dans l’enquête.

Il apparaît « qu’aucun facteur de risque environnemental commun n’a pu être établi à l’issue de ces travaux Â». Le rapport définitif de Santé publique France sera disponible en fin d’année. En attendant, une surveillance épidémiologique sera maintenue avec l’aide du Registre national des cancers de l’enfant et plusieurs acteurs de la recherche ou de la prise en charge onco-pédiatrique, en France et en Suisse.

Grand Besançon Métropole invite la population à la vigilance. Des personnes malveillantes, se présentant comme éboueurs ou agents de collecte du Grand Besançon, font actuellement du porte à porte pour vendre des calendriers.

Plusieurs usagers ont déjà alerté les services concernés. Il s’agit de démarches purement frauduleuses. En cas de doute, ne pas hésiter à contacter la Direction Gestion des Déchets au 03 81 41 55 35.

Un jeune homme de 18 ans a passé la nuit de mardi à mercredi, en garde à vue, au commissariat de police de Pontarlier. L’après-midi, lors d’un contrôle, il est apparu qu’il était au volant alors qu’il n’était plus en possession de son permis de conduire.

Le jeune contrevenant avait déjà été contrôlé pour des faits similaires à deux reprises. Il s’est vu remettre une convocation pour s’expliquer en février prochain devant la justice.

La présidente du Conseil Régional de Bourgogne Franche-Comté Marie-Guite Dufay, et des représentants de la Chambre Interdépartementale d’Agriculture Doubs-Territoire de Belfort travaillent actuellement sur l’élaboration d’un label de distribution. Pour les élus en charge de la mise en place de cette marque, il est capital que les agriculteurs et que les producteurs soient rémunérés très correctement. Ce label permettrait en plus d’indiquer aux consommateurs que les produits proviennent bien de la région. C’est à cette occasion que Marie-Guite Dufay visitait les locaux de la Boucherie Comtoise à Pouilley-les-Vignes ce mercredi 14 octobre.

Rémunérer correctement les producteurs

La présidente du Conseil Régional l’a martelé « c’est bien de faire du circuit court, mais c’est encore mieux de s’assurer qu’il rémunère correctement le producteur Â». C’est pour cette raison que la Région est tombée d’accord avec la Chambre Interdépartementale d’Agriculture Doubs-Territoire de Belfort, sur la création d’un label de distribution. Si sa dénomination reste encore incertaine, oscillant entre « Juste Prix Â» ou « Juste Bourgogne Franche-Comté Â», son but lui est bien précis : rémunérer correctement les producteurs.

Le rôle des consommateurs

Selon Marie-Guite Dufay, cela permettrait aux consommateurs, lorsqu’ils se rendent dans une grande surface qui joue le jeu, de voir que les produits sont d’origine locale, et surtout qu’ils soient rémunérateurs pour les producteurs. Ce qui n’est pas toujours le cas. Pour l’élue de la collectivité locale, c’est une façon de faire prendre conscience aux consommateurs « que leurs actes permettent de soutenir l’agriculture locale Â». Pour des consommateurs, qui de nos jours, sont de plus en plus sensibles à la qualité des produits avec lesquels ils se nourrissent, Marie-Guite Dufay souligne qu’ils doivent aussi « Ãªtre sensibilisés à la rémunération des producteurs Â». Cette cause rentre totalement en adéquation avec la Boucherie Comtoise de Pouilley-les-Vignes. La structure sortie de terre début 2019, ouverte un an plus tard, travaille exclusivement des bovins nés, élevés, abattus et transformés en Franche-Comté.

 

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