Un accident s’est produit ce vendredi, vers 18h, à Vuillecin, près de Pontarlier. Une voiture et un poids lourd se sont percutés, à hauteur du Pont Rouge. On déplore deux blessés. La circulation a été coupée dans les deux sens durant l’intervention des secours.
Dans l’affaire de la jeune musulmane tondue et battue par sa famille, Etienne Manteaux, le Procureur de la République de Besançon vient de demander un an d’emprisonnement pour les quatre personnes soupçonnées d’être à l’origine de ces violences. A savoir, ses parents, son oncle et sa tante. Pa ailleurs, Mr Manteaux a demandé « l’interdiction définitive du territoire national pour les parents ».
Aujourd’hui s’est ouvert le procès des parents de Selma, l'adolescente rouée de coups et tondue en août dernier à Besançon. Son oncle paternel et sa femme sont aussi accusés de « violences sur mineur en présence de mineurs et en réunion ». Lorsqu’elle a été prise en charge, la jeune fille présentait une côte cassée et de très nombreux hématomes, en plus d’un crâne complètement rasé. Selon la version de Selma, ses parents n'acceptaient pas qu'elle veuille se marier avec Dusan, un jeune homme chrétien de 20 ans d’origine serbe, qui habite dans le même immeuble à Besançon. Elle a ajouté également être victime de coups et de violences au quotidien de la part de ses parents.
Jugés aujourd’hui vendredi 23 octobre au tribunal correctionnel de Besançon, les parents de la jeune fille, l’oncle paternel et sa femme, réfutent les faits qui leur sont reprochés. Seul le père avoue avoir tondu sa fille, ce qui ne concorde pas avec la version de Selma, de Dusan son petit ami, et des parents de celui-ci.
La famille de la victime affirme n’avoir porté aucun coup à Selma. Son père souligne avoir agi sous le coup de la colère, en apprenant que sa fille a eu d’autres relations sexuelles avant son petit copain actuel et qu’elle était parfois maltraité par Dusan et ses sœurs. Il lui reproche également d’avoir fugué pendant plusieurs jours.
Après avoir écouté les deux plaidoiries, la présidente du tribunal va entendre les réquisitions d’Étienne Manteaux, le Procureur de la République de Besançon
Dans son bulletin d’information hebdomadaire, l’ARS précise que « la région Bourgogne-Franche-Comté n’échappe pas à l’accélération de la circulation du virus observée à l’échelle nationale ». La pression sur le système hospitalier se fait chaque jour un peu plus forte : le nombre de patients hospitalisés (470) a augmenté de plus de 60% par rapport à la précédente période de 7 jours.
Le nombre moyen d’hospitalisations par jour s’élève désormais à 50, dont plus de 6 en réanimation. A ce stade, près d’une dizaine d’établissements de santé de la région, dont les CHU de Dijon et Besançon, ont activé leur plan blanc.
En raison de la propagation grandissante de la pandémie, le CHI Haute-Comté a décidé de renforcer un certain nombre de mesures « afin de protéger les patients, les résidents et les professionnels de santé ». Ainsi, L’accès au Centre Hospitalier est fortement déconseillé aux visiteurs afin de limiter les risques de contamination. Les visites restent possibles dans la limite d’un visiteur par chambre dans le strict respect des mesures barrières. Les visites sont interdites dans le secteur médecine COVID et à la chambre funéraire auprès des défunts COVID.
Concernant les EHPAD du Larmont à Doubs, Levier & Nozeroy les visites restent possibles sur rendez-vous uniquement à 2 personnes maximum par jour et par résident. Concernant l’EHPAD, le service médecine SRR de Mouthe, les visites sont suspendues jusqu'à nouvel ordre. Selon la direction de l’établissement du Haut-Doubs, « la situation des résidents ne s’est pas aggravée et tous bénéficient d’une surveillance accrue de même pour les résidents asymptomatiques ». Enfin, il est précisé que ‘les contrôles vont être renforcés durant les visites, et que le non-respect d'une ou plusieurs de ces consignes entrainera l'exclusion immédiate de l'établissement, avec l'interdiction de visite du contrevenant sur 7 jours consécutifs »
