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Dans un communiqué de presse, signé par Patrick Genre, son président, la Fédération Hospitalière de France de Bourgogne Franche-Comté revient sur l’affaire concernant les dysfonctionnements au service dermatologie du CHU de Besançon, dénoncés par l’ancien chef de service.

Rappelons que ce dernier met en cause le fonctionnement de ce service et la prise en charge des patients atteints de cancer. La fédération apporte « son soutien à l’hôpital bisontin Â». Elle note que les déclarations de l’ancien responsable « ne sont pas étayées par le rapport d’inspection indépendante diligentées par les pouvoirs publics Â». A savoir : « que le CHU de Besançon ne prescrit pas à tort de chimiothérapies en onco-dermatologie Â».

La fédération regrette que les professionnels de ce service soient ‘injustement mis en cause Â». Elle annonce également qu’elle restera « particulièrement attentive aux développements de ce dossier».

Le CHU va porter plainte

De son côté, le CHU de Besançon a décidé de porter plainte pour diffamation contre le Professeur Philippe Humbert. Il appuie également sa décision sur les conclusions de l’inspection diligentée par l’Agence Régionale de Santé de Bourgogne Franche-Comté. La mission établit que les accusations publiques dont ce service a fait l’objet sont infondées.

L’équipe de futsal du lycée Les Augustins de Pontarlier participe ce vendredi à la finale des championnats de France de la discipline à Evreux. Les jeunes footballeurs pontissaliens ont réalisé un parcours remarquable dans cette compétition.

Avant de disputer cette ultime rencontre, les Hauts-Doubistes ont notamment vaincu une formation de l’académie de Reims sur le score de 8 à 6 en quart de finale. En demi-finale, ils sont sortis victorieux de leur opposition contre l’académie de Strasbourg.

Pour décrocher le trophée final, le lycée "Les Augustins" devra dominer l’équipe de Caen, que le collectif avait vaincu lors des matches de poules.

Dans le cadre de la semaine de la presse, trois classes de seconde du lycée Saint Bénigne de Pontarlier ont réalisé une émission de radio, qui a également été filmée. Le conducteur est varié et les sujets ont été choisis par les jeunes journalistes.

En amont de cette journée, un appel à projets a été lancé par Marie-Line Quelet, enseignante de Lettres et Histoire. L’initiative de Morgan Vauthier a finalement été retenue. Ce jeune homme, qui rêve de devenir ingénieur du son dans l’audiovisuel, a proposé d’installer un studio radio et vidéo et d’enregistrer ses petits camarades. Installé dans une partie du CDI, le studio est professionnel. Une table de mixage, trois micros, une caméra et des jeux de lumière animent les lieux. Tout a été prévu pour permettre une prise de son et d’images de qualité. Le travail sera visible très prochainement sur la chaîne Youtube de Morgan.

Préparer son papier pour le dire à la radio

Dans une salle de classe proche, réorganisée en salle de rédaction, les participants préparent leur sujet. L’heure approche. Bryan, Logan et Mathieu terminent leur papier. Dans quelques minutes, ils seront seuls devant la caméra et leur micro. Les jeunes font bonne figure mais une petite tension se fait sentir avant d’entrer en scène. Logan l’admet : « le plus gros du travail a consisté à écrire notre texte et à le rendre compréhensible Â». Avant de se présenter au micro, il a fallu trouver un sujet, chercher de la documentation, écrire le texte et apprendre à le dire. Un exercice bien complet. D’autant plus que les jeunes ont soigné leur intervention en choisissant un intermède musical. Un travail que le groupe d’ados a mené avec Anthony, un élève, qui a dû faire preuve d’imagination pour créer de courtes pauses musicales en lien avec les sujets proposés.

Une belle initiative qui a trouvé l’assentiment du groupe d’ados, « toujours prêts à vivre de nouvelles expériences éducatives Â» conclut mme Quelet, leur professeur.

Les chiffres du chômage pour le mois de février 2017 seront connus ce vendredi soir à 18h. En Bourgogne Franche-Comté, en janvier dernier, le nombre de demandeurs d’emploi de la catégorie A s’établissait à 131.250. Soit une augmentation de 0,8% (-3,5% sur un an).

Dans le Doubs, ce nombre augmentait de 1,1 % par rapport à décembre 2016. Sur cette même période, on constatait également une augmentation de 0,8% dans le Jura, 1,2% en Haute-Saône et 3,2% dans le Territoire de Belfort.