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Voilà un bon plan pour payer moins cher son Pass pour le Festival de la Paille, qui se déroulera les 28 et 29 juillet prochains à Métabief. Grâce à la carte avantages jeunes, ses titulaires peuvent bénéficier d’une réduction non négligeable. Le prix de vente du Pass week-end s’établit à 30 euros au lieu de 44 euros. Cette offre est limitée.

Pour en bénéficier, il suffit de se connecter sur son espace perso, ce lundi 10 avril à partir de 18h. Pour ce faire, cliquez sur ce lien : http://www.avantagesjeunes.com/caj_connexion.php

Depuis deux ans maintenant, le collège Philippe Grenier de Pontarlier utilise des boitiers réponses pour les épreuves ASSR1 et ASSR2 qu’il fait passer à ses élèves de 5è et 3è. A travers cette démarche, l’équipe éducative de l’établissement scolaire y voit un moyen de former ses élèves au code de la route qu’ils passeront dans quelques années.

Ce mardi après-midi, les élèves de 3è étaient convoqués à cette épreuve. Après avoir brillamment obtenu leur ASSR1 en 5è, les ados passaient leur ASSR2. Une attestation importante car sans elle, ils ne pourront pas s’inscrire au permis de conduire. Durant une demi-heure, les candidats ont répondu à vingt questions portant principalement sur leurs déplacements à pied et en deux roues. Il ne s’agit pas d’une épreuve du code de la route mais d’un contrôle de leur capacité à analyser une situation et à s’adapter en fonction d’un obstacle et d’une problématique.

« Ca me plaît bien Â»

Comme tous les ados de leur âge, les collégiens de Grenier ne sont pas impressionnés par le boîtier qu’ils utilisent. Bien au contraire. Tout en ayant conscience de l’enjeu, ils y voient une démarche ludique. « C’est simple. J’aime bien Â» explique Baptiste. « Il y a plus d’avantages qu’avec le papier. Je préfère appuyer sur des boutons que cocher des réponses dans une case Â» complète Amina. Cette nouvelle technologie rend également la correction plus rapide. Quelques minutes seulement après le départ des jeunes, nous apprenions que tous les élèves de la classe de 3è3 avaient réussi leur épreuve. Ce qui signifie qu’ils ont répondu correctement à au moins dix questions sur les vingt proposées.

Ce mardi, à Métabief, Domaine skiable de France organisait un temps de rencontre et de formation à destination des responsables techniques des stations de ski du massif du Jura et des Alpes du nord. Seize professionnels ont répondu favorablement à l’invitation. Un responsable de la Carsat (Caisse d'Assurance Retraite et de la Santé au Travail) était également présent. L’objectif de cette rencontre annuelle est de permettre à ces responsables d’échanger sur leurs pratiques en termes de sécurité au travail.

Durant cette journée dans le Haut-Doubs, les participants ont dressé le bilan de leur saison et évoqué les accidents et incidents survenus. L’intérêt étant de trouver collectivement des solutions et mettre en place des outils qui permettent d’éviter et d’anticiper les accidents qui perturbent la bonne marche du service et représentent un coût non négligeable pour les entreprises ou les collectivités locales.

Six accidents cet hiver à Métabief

Cet hiver, 120 personnes ont été recrutées à la station de Métabief pour assurer différentes missions. Pour éviter au maximum les blessures, une attention toute particulière est donnée à la formation des salariés et à la sécurité au travail. « Une formation accueil s’effectue avant le début de la saison. Elle permet de former nos gens sur leur poste de travail. En cours de saison, nous vérifions les acquis et proposons, en fonction des besoins et de la réalité du quotidien une formation complémentaire Â» explique Pascal Bousillon, directeur d’exploitation. Durant la dernière saison hivernale, six accidents sans gravité ont été enregistrés à Métabief. « Ce sont des accidents liés aux déplacements de nos salariés sur le domaine skiable et des chutes de plain-pied Â» conclut Mr Bousillon.

Deux hectares de végétation sont partis en fumée hier, en fin d’après-midi, à Crenans (39). Il s’agit d’un feu de friche accidentel qui s’est propagé à des roseaux, dans une tourbière. On ne déplore aucun blessé.