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Maëlys est toujours introuvable. La petite jurassienne, âgée de 9 ans, a disparu dans la nuit de samedi à dimanche alors qu’elle participait à un mariage avec ses parents.

On a appris dans la journée qu’un deuxième homme, âgé également de 34 ans, avait été placé en garde à vue ce vendredi matin. Hier, une première personne a été interpellée à son domicile.

"Il s’agit de confronter les déclarations de ces deux individus", a expliqué la procureure de la République de Bourgoin Jallieu. La garde à vue du premier homme est toujours en cours.

Les pompiers du Doubs sont intervenus vers 13h45 pour un feu de camion citerne à l’Isle-sur le-Doubs. Le sinistre est survenu rue du Moulin. Nous n’avons pas davantage d’information pour le moment.

Dans le Haut-Doubs, les élus et les familles croient toujours au maintien de la sixième classe de l’école maternelle qui regroupe des enfants domiciliés au Touillon-et-Loutelet, Métabief, Saint-Antoine, les Hôpitaux-Neufs et les Hôpitaux-Vieux. En juin dernier, les locaux apprenaient qu’une classe était menacée. Dans la foulée, le collectif s’est organisé pour conserver les moyens alloués.

Tout au long de l’été, élus et familles sont allés à la rencontre des habitants du secteur pour connaître précisément les effectifs et confirmer les inscriptions. A l’image de Sébastien Populaire, le maire de Touillon-et-Loutelet, les habitants sont confiants et entendent bien conserver cette classe menacée.

Lundi matin, un inspecteur se rendra sur place pour compter les élèves. Si l’effectif est suffisant, l’épilogue sera heureux. Sinon, la sanction tombera. Les personnes mobilisées ont déjà fait connaître leur désir de conserver ces moyens pour le bien être de leurs enfants et la qualité de l’enseignement.

C’est le grand jour. Partout en France, les 900.000 enseignants, exerçant de l’école maternelle au lycée, ont repris le chemin des cours ce vendredi. Une journée consacrée à l’organisation de cette nouvelle année scolaire. Un temps également au cours duquel tous les adultes de l’établissement se retrouvent et font connaissance avec leurs nouveaux collègues. A Pontarlier, au lycée les Augustins , cette journée a débuté par une assemblée générale qui a permis de dresser le bilan de l’année écoulée et de se projeter sur celle à venir. Ensuite, les enseignants ont travaillé par matière sur les programmes et les projets. Si l’équipe de direction, composée du directeur de l’établissement, du conseiller principal d’éducation, des deux enseignantes responsables pédagogique et de la responsable de l’internat ont travaillé sur cette rentrée bien avant les professeurs, les premières réflexions ont débuté en juillet dernier, à la fin des cours. Autant de semaines de travail pour composer les emplois du temps et organiser l’administratif et la scolarité. Aux Augustins, on met tout en Å“uvre pour accueillir le mieux possible les jeunes. Lundi, collégiens et lycéens débuteront l’année en musique. Le lendemain, les 150 élèves de seconde participeront à une grande journée d’intégration en plein cÅ“ur de la nature.

« Toujours un peu de stress Â»

Les adultes ne le cachent pas, ils sont très impatients d’accueillir les élèves qu’ils encadreront tout au long de l’année scolaire. Néanmoins, malgré leur professionnalisme et leur expérience, ils expriment aussi un peu de stress. Même, Thierry Giacoma, le Conseil Principal d’Education, qui vivra cette année sa 30è année d’exercice au sein de cet établissement scolaire.

La maison des lycéens

C’est l’un des grands projets de cette nouvelle année scolaire. Dans quelques jours, les jeunes investiront la nouvelle maison des lycéens. Un tout nouvel endroit que l’établissement veut convivial et animer. Des espaces consacrés aux études, avec mise à disposition d’ordinateurs, seront bien entendus proposés, mais les adolescents pourront également s’y détendre et échanger et discuter avec l’équipe de surveillants dont le bureau a été installé en son sein. Un espace extérieur est également prévu. Pour l’heure, les travaux ne sont pas encore terminés mais d’ici les prochaines vacances de la Toussaint, les lycéens y auront accès.

C’est confirmé. Ledus France, filiale française de l’actionnaire du FC Sochaux Montbéliard, a été placée en liquidation judiciaire pour cessation de paiement.

« La procédure avait été ouverte en juin dernier à la suite d'une assignation de l'Urssaf pour une créance impayée Â» écrit L'Est Républicain dans son édition de jeudi.

La requête de l'Urssaf à l'encontre de Ledus France concernerait plusieurs dizaines de milliers d'euros d'impayés.

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