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Il y a du football ce vendredi soir. Dans le cadre de la 19è journée de championnat en ligue 2, le FC Sochaux Montbéliard (7è) reçoit Clermont Foot (4è). Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 20h.

Durant les vacances de Noël, la situation de l’hôpital de Pontarlier, liée à l’épidémie de coronavirus, a suscité des inquiétudes. Aujourd’hui, Olivier Volle, le directeur de l’établissement pontissalien, pointe « une activité covid encore soutenue Â». Néanmoins, contrairement au début de la deuxième vague, le nombre de patients simultanément hospitalisés est en baisse. Alors que l’on enregistrait une cinquantaine de patients à cette période, leur nombre est redescendu à une vingtaine ces derniers jours. Ce qui pourrait être une bonne nouvelle, ne l’est pas forcément. Dans le Haut-Doubs, on craint un rebond des contaminations après les fêtes de fin d’année. Sur ce point, tout le monde à les yeux rivés sur la semaine prochaine, qui révélera ses conclusions sur ce point.

Arrêts maladie chez les soignants

La structure doit également gérer les absences de personnel, résultant d’arrêts maladie. Jusqu’à présent, elle y parvient, mais la situation sur ce point reste fragile. Pour l’heure, les cas de Covid-19 recensés à l’hôpital sont moins graves que ceux enregistrés précédemment. « Nous avons essentiellement une activité Covid de médecine. Nous n’avons pas d’activité covid de soins continus Â» conclut Mr Volle.

Le parquet de Besançon et la police de Pontarlier lancent ce jeudi 7 janvier un appel pour recueillir d’autres témoignages potentiels de victimes d’un ostéopathe pontissalien de 29 ans. Il est soupçonné de viols et d’agressions sexuelles pendant les séances de soins. Une patiente a porté plainte au mois de juillet, avant d’être rejointe quelques mois plus tard par deux autres victimes. Le pontissalien encourt jusqu’à 20 ans de réclusion criminelle si les faits sont avérés.

3 premières victimes

Les premiers faits remontent à juillet 2020. Une femme âgée de 40 ans explique que lors d'une séance, elle a ressenti un acte de pénétration vaginale avec les doigts, lors d'une manipulation de l'ostéopathe. Elle est alors entrée dans un état de sidération total, selon ses mots, et n’a pu exprimer un seul mot au professionnel. C’est seulement deux jours plus tard, après avoir réalisé ce qu’il s’était passé, qu’elle est allée porter plainte. Quelques mois plus tard, deux autres femmes rapportent avoir subi des agressions sexuelles de la part de ce même ostéopathe. Cette fois-ci, il s’agirait de caresses marquées au niveau du pubis, ainsi qu’une autre pénétration digitale.

Des pratiques « thérapeutiques Â»

Lorsqu’il a été convoqué au mois d’août pour répondre de son premier acte, le professionnel de santé a contesté les faits de pénétration. Il a expliqué que dans un cadre thérapeutique, il aurait procédé à des appuis au niveau du périnée entre la zone vaginale et anale, selon le procureur de la République de Besançon, Etienne Manteaux. Seulement, deux mois plus tard interviennent les plaintes successives des deux autres victimes, venant accabler un peu plus l’ostéopathe. Il conteste formellement à nouveau tout acte de pénétration. Le professionnel de santé admet des actes d’attouchement au niveau des zones intimes mais sans finalité sexuelle, uniquement dans un but thérapeutique selon lui. Le mis en cause reconnaît seulement ne pas avoir recueilli le consentement de ses patientes, avant de pratiquer des appuis près des parties génitales.

Un appel à témoin

L’accusé a été présenté hier au magistrat instructeur, puis placé sous contrôle judiciaire avec interdiction d’exercer son activité. Il encourt jusqu’à 20 ans de prison pour viols et agression sexuelle, en raison notamment d'une circonstance aggravante : il agissait en temps que personne ayant l'autorité. Le parquet de Besançon et le commissariat de Pontarlier souhaitent connaître de potentielles autres victimes de cet ostéopathe de 29 ans, exerçant dans un cabinet regroupant trois autres professionnels. 

Le numéro du commissariat de Pontarlier à contacter est le suivant : 03.81.38.51.10. 

Après un an et demi de travaux, l’opération de mise en accessibilité de la gare de Lons-le-Saunier est terminée. Désormais, tous les usagers peuvent se déplacer du parvis jusqu’aux quais et trains en toute facilité et autonomie.

Le coût global du chantier s’élève à 4,4 millions d’euros, financés par l’Etat ( à hauteur de 3,3 millions d’euros) et la région Bourgogne Franche-Comté (1,1 million d’euros).

A Besançon. Le groupe de sécurité et de proximité du quartier Planoise a interpellé un jeune homme de 22 ans. Les faits se sont produits mercredi matin. A la vue des policiers, le jeune homme, qui était entrain de fumer un joint, s’est réfugié dans un immeuble, situé Avenue Île de France.

Le contrevenant a été interpellé, non sans difficulté, au 1er étage. Il a été placé en garde à vue. Au cours des investigations, il est apparu qu’il faisait l’objet d’une fiche de recherche pour une notification de jugement. L’individu a été laissé libre avec une ordonnance pénale.

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