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Brigitte Klinkert, ministre déléguée auprès de la ministre du Travail Élisabeth Borne, était en visite aujourd’hui dans le Doubs afin de soutenir les acteurs de l’insertion, et renforcer l’accompagnement des Français les plus éloignés de l’emploi. Parmi les sites visités, retenons le garage solidaire de l’association « La roue de secours Â», ainsi que la Mission locale du Grand Besançon Métropole.

Un mineur d’environ 16 ans a été interpellé le 21 janvier, vers 16h30, à Pontarlier, au volant d’une voiture. Bien évidemment, il n’était pas en possession de son permis de conduire. Un adulte de 24 ans se trouvait à ses côtés. Les deux individus ont été placés en garde à vue.

Au cours de son audition, le majeur a reconnu qu’il savait qu’il s’était rendu complice d’une conduite sans permis. Ce dernier devra s’expliquer le 1er avril prochain devant le tribunal judiciaire de Besançon. Quant au mineur, il s’est vu remettre une convocation pour comparaître devant un juge des enfants, en vue d’une mise en examen.

Ce week-end se tiendra la 3ème édition du festival 1895 minutes. Fondé en 2019 par des étudiants de l’IUT Information-Communication de Besançon, le concept est très simple : demander aux participants de réaliser un court-métrage en 1895 minutes, soit l’équivalent de 31h et 35 minutes, en suivant un thème précis. A l’issue du temps imparti, les travaux réalisés seront ensuite présentés à un jury, qui élira et récompensera le court-métrage victorieux.

Une origine bisontine historique

1895 minutes, c’est l’équivalent de 31h34 et 48 secondes. Le temps qui sera à disposition des candidats pour la réalisation de l’intégralité de leur court-métrage. Mais 1895, c’est aussi la naissance du cinéma, et l’invention du cinématographe par les frères Lumière, nés à Besançon. Un clin d’œil éloquent aux précurseurs du 7ème art, à l’origine des premières projections cinématographiques cette même année.

Un week-end intense

Le thème du festival sera tiré au sort très tôt samedi, aux alentours de 4h du matin. Le chronomètre sera alors enclenché, et les participants auront jusqu’au dimanche midi, pour réaliser leur court-métrage. Scénario, écriture, storyboard, chaque facette de la production devra être exploitée en suivant le thème dévoilé. Les étudiants devront stimuler leur créativité et leur passion, mettre en commun leurs idées et leurs valeurs, afin de proposer un contenu susceptible de convaincre et de conquérir au mieux le jury. Ses membres sont d’ailleurs annoncés au compte-gouttes cette année, et pour l’heure trois sur cinq ont été révélés : Sasha Gasteiner, photographe et vidéaste suisse, Mary Ruffinoni, photographe présente à Paris et Besançon, et Cédric Louvet, le directeur du Mégarama de Besançon.

Comme tous les vendredis, le rectorat de Besançon fait le point sur la situation épidémique dans l’académie de Besançon. A la date du jeudi 21 janvier, une structure scolaire, le collège René Goscinny à Vadoie (90), est fermée.

31 classes étudient à distance (dont 19 au collège René Goscinny) et bénéficient de la continuité pédagogique. Au total, 321 élèves et 44 personnels sont cas confirmés à la Covid-19 en cumul sur les 7 derniers jours dans l’académie de Besançon.

Ce vendredi, le BesAC se déplace à Saint Vallier, actuel leader de la poule B de nationale 1 masculine, à exæquo avec Chartres. La partie ne s’annonce pas des plus faciles pour les Bisontins, qui affrontent une formation en pleine confiance.

Cette dernière a remporté ces deux derniers matchs. A Besançon, tout le monde attend une réaction du clan bisontin. D’autant plus après la performance réalisée lors de sa dernière confrontation, face à Kaysersberg. Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 19h.

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