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Une bonne nouvelle dans le domaine des études supérieures en Franche-Comté. L’Ensmm apparaît dans le 1er tiers du classement annuel des meilleures écoles d’ingénieurs de France.

L’établissement figure en 41è position sur 130. Beaucoup mieux encore, l’école est classée 8è dans la catégorie internationale. Est-il utile également de rappeler l’excellent taux d’insertion dans le monde du travail des jeunes diplômés.

Au fil des mois qui passent, ils se construisent une petite notoriété. Nicolas Legendre et Germain Miny, amis d’enfance, tous deux âgés de 36 ans, se sont lancés dans la réalisation de vidéos où ils s’amusent de l’actualité. Pour ces deux rugbymen maîchois, l’objectif est de vivre pleinement une passion qu’ils ont en eux depuis leur adolescence et de distraire les Francs-Comtois, en cette période bien morose. « Nous avons de bons retours. Les copains se moquent gentiment, mais les gens sont plutôt contents de pouvoir regarder des trucs qui se font sur le Plateau Maîchois Â» explique Nicolas Legendre.

Nicolas et Germain, nos Mathieu Madenian et Thomas VDB du Haut-Doubs, ont ainsi décidé d’utiliser leur temps libre forcé, en raison de la pandémie actuelle, pour développer ce projet, qui pourrait prendre une direction plus professionnelle dans les mois à venir. L’idée de se lancer dans le court-métrage a jailli. D’autres initiatives encore plus ambitieuses ne sont pas exclues. Pour l’heure, de nouvelles vidéos seront prochainement mises en ligne. Pour rendre le résultat le meilleur possible, le duo s’équipe. Ainsi, le manche à balai, qui servait de perche pour la prise de son, a cédé la place à des moyens plus adaptés. « On est en train d’écrire des petits films. Maintenant que l’on a mis les pieds dedans et que l’on a quelques compétences, on essaie de faire les choses un peu plus sérieusement" explique l'un d'eux.

Pour suivre les aventures de nos deux comparses, rendez-vous sur la page Facebook : cinédiscount ou shadowmoses36. Il est également possible de se rendre sur leur chaine YouTube : cinédiscount.

L’ESBF annonce la venue de Sabrina Zazaï au sein de son effectif la saison prochaine. L’ailière droite évolue actuellement à Mérignac. C’est un retour aux sources pour Sabrina Zazaï, qui a passé cinq années, de 2012 à 2017 au sein de l’effectif bisontin. Son palmarès est également intéressant.

Sabrina a été championne de France de Division 2 avec l’ESBF. Elle a ensuite pris la direction de Toulon en 2017 où elle a été finaliste de la Coupe de France en 2018. Son aventure à Toulon a pris fin en 2019, pour rejoindre le club Hongrois de Fehervar pour une saison. C’est en 2020, qu’elle prend la décision de revenir jouer en France, dans le club de Mérignac Handball.

Comme chaque semaine, le rectorat de Besançon communique sur la situation épidémique dans l’académie de Besançon. Selon l’administration, aucune structure scolaire n’est fermée.

Néanmoins, 15 classes à distance bénéficient de la continuité pédagogique : 9 dans le Doubs, 3 dans le Jura, 2 en Haute-Saône et une dans le Territoire-de-Belfort. Il est précisé que, selon des chiffres de ce jeudi, 338 élèves et 44 personnels sont cas confirmés à la Covid-19 en cumul sur les 7 derniers jours.

Ce jeudi, les élus municipaux se sont réunis à la Chambre du Commerce et de l’Industrie de Besançon pour le premier Conseil Municipal de l’année 2021. Un conseil sous haute tension, rendu singulier par les présences exceptionnelles du préfet Joël Mathurin et du procureur général Étienne Manteaux, venus répondre aux questions des élus sur le débat sécuritaire.

Pour la première fois, le préfet du Doubs Joël Mathurin, et le procureur de la République Étienne Manteaux, ont été invités à participer à un Conseil Municipal. Suite aux nombreux faits-divers constatés à Besançon ces derniers mois, les deux protagonistes sont venus répondre aux questions des élus sur la sécurité bisontine, et notamment planoisienne. Plusieurs chiffres factuels sortent des diverses interventions du procureur général et du préfet. Un recul de la délinquance est constaté (- 11%), mais pas dans tous les domaines. Le trafic de stupéfiants et les violences faites aux femmes sont en hausse en 2020. Concernant le trafic de stupéfiants, le procureur explique cette hausse par la différence entre les malfrats actuels, et ceux présents sur le territoire bisontin il y a quelques années. Auparavant, la plupart des tirs étaient rares et ponctuels, car les auteurs étaient originaires du quartier, et craignaient des représailles envers eux ou leur famille. Désormais, de plus en plus de malfrats sont extérieurs à la ville et n’ont donc aucun scrupule à mettre celle-ci à feu et à sang. Pour ce qui est des violences conjugales, le préfet alloue cette augmentation à la libération de la parole. De plus en plus de femmes osent dénoncer les violences qu’elles subissent, et de plus en en plus d’actions sont mises en place pour les aider.

Une convention qui fait débat

Après l’intervention du préfet et du procureur, les élus de la majorité, Benoit Cypriani en tête, ont pu présenter leur nouvelle Convention Police Municipale - Police Nationale. Une convention dont les axes majeurs reposent sur le renforcement de la Police de Proximité, sur la prévention des comportements addictifs, et sur la lutte contre les incivilités. Cette convention a comme attendu été vivement critiquée par l’opposition, personnifiée par Ludovic Fagaut. Le leader du mouvement Besançon Maintenant souhaitait le recrutement et l’armement des policiers municipaux, il n’en sera rien. Après une suspension de séance causée par un haussement de ton entre Ludovic Fagaut et Christophe Lime, Nicolas Bodin a pu apporter quelques éléments factuels justifiant le choix de la municipalité en place. L’élu socialiste a rappelé qu’il n’y avait pas de corrélation entre le nombre d’attentats et l’armement de la police, comme le sous-entendait Ludovic Fagaut. Nice, ville la plus sécuritaire de France, est la deuxième ville après Paris ayant subit le plus d’attaques. Nicolas Bodin a en revanche confié qu’il était en faveur de la proposition du procureur de mettre en place davantage de caméras mobiles. Après près de trois heures de débat, la convention a logiquement été adoptée (40 votes pour ,11 abstentions, 4 votes contre).

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