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La qualité de l’eau revêt un enjeu particulier. Depuis de nombreuses années déjà, les collectivités se mobilisent et investissent pour que la ressource en eau soit la moins polluée possible avant son traitement et sa distribution. Plus globalement, l’agence de l’eau confirme que ces investissements se sont également accompagnés d’une prise de conscience des milieux industriel et agricole. « Nous avons constaté que les principales pollutions, celles rejetées par les villes et les industriels, ont beaucoup diminué. La présence d’un certain nombre de polluants, comme l’ammoniaque le phosphore par exemple, a été divisée par 5 ou 10. Ce qui est encourageant Â» explique Laurent Roy Directeur général de l’agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse. Dernièrement, c’est le préfet du Doubs qui a dressé un bilan positif quant à la qualité des installations mises en Å“uvre par les municipalités pour traiter l’eau distribuée à leurs concitoyens. L’Agence Régionale de Santé a également reconnu une présence moindre de polluants au niveau des sources de captage. Le fruit d’un travail et d’un engagement avec les administrations concernées, comme par exemple les chambres d’agriculture. Ce qui a permis de faire évoluer les pratiques, en trouvant par exemple des solutions de substitution au glyphosate et aux pesticides et prévoir les aménagements nécessaires pour sécuriser les points d’eau.

Un sol karstique

Si la situation s’est considérablement améliorée, tout n’est pas encore réglé. L’enjeu est d’autant plus important que la Franche-Comté, de par sa situation géographique, concentre des rivières karstiques qui n’ont aucune protection naturelle. Obligeant ainsi les autorités à faire preuve de beaucoup de vigilance. Mr Roy rappelle que la Commission européenne a demandé à ses états membres que toutes les masses d’eau de l’Union soient en bonne état d’ici 2027. Le chantier est colossal et les résultats dépendront aussi de l’engagement de tous. En Bourgogne Franche-Comté, pour l’heure, 1/3 des masses d’eau superficielles sont en bonne santé. Le chemin est encore long.

Ce samedi 14 avril, la Fédération Française des Motards en Colère (FFMC) appelle les automobilistes à se réunir partout en France. L’objectif est de faire entendre leur voix contre l’abaissement de la vitesse à 80km/h en juillet prochain.

Dans le Doubs, à Pontarlier le rendez-vous est donné à 12h à l’Espace Pourny.

A Montbéliard les automobilistes ont rendez-vous à 13h au parking rue des Vosges.

Les deux cortèges rejoindront ensuite Besançon. La FFMC demande une meilleure formation des usagers de la route et un entretien du réseau. Ils dénoncent une volonté de réduire "les conséquences" d'accident, et non pas la volonté de "sauver des vies".

En Basket, en Nationale 2, il ne reste que trois journées de championnat avant la fin de la saison.
Demain, Besançon va jouer un match décisif. Les bisontins actuellement deuxième accueillent Feurs, l’équipe en tête du championnat.

Les deux équipes ont le même nombre de points. Si les bisontins veulent accéder à la tête du championnat, ils devront gagner, ce samedi face à Feurs.

Le coup d’envoi du match est prévu à 20h.

Selon France Inter, des cas de contamination mortelle à la salmonelle ont été repérés en 2015 et 2016 entrainant une dizaine de décès et 80 malades, après avoir mangé de ces fromages au lait cru. Précision apportée à ce reportage, les victimes étaient principalement des personnes âgées, déjà fragilisées par d’autres maladies, la résidant en Franche-Comté.

A Maiche comme partout dans le pays, le décès de Véronique Colucci attriste beaucoup et marque la fin d’une époque.

L'ex-femme de Coluche avait repris les rênes de l'association en 1986 à la mort de son ex-mari. Cette année, elle avait reçu la Légion d'Honneur, pour son engagement humanitaire. Elle était l'une des 71.000 bénévoles des Restos, Présidente de 1998 à 2003, membre du Conseil d'Administration pendant 32 ans, devenue Présidente d’Honneur.

Celle qui avait porté le spectacle des Enfoirés était l'âme des Restos et laisse un grand vide dans le cÅ“ur des bénévoles comme le confirme la responsable de l’antenne de Maiche Marie-Noelle Monnin : « C’est un nom qui disparait, la fin d’une époque Â». Un peu comme si cette grande famille perdait une mère après avoir perdu en 1986 le père fondateur.

Malgré tout, la mission continue ici comme ailleurs pour épauler les bénéficiaires, environ 80 « souvent des personnes seules ou des familles monoparentales Â» que l’association accompagne non seulement par la distribution de denrées alimentaires. « Nous faisons aussi du micro-crédit et du soutien au retour à l’emploi Â».

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