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Installé depuis de nombreuses années dans les territoires ultra-marins, notamment dans l’Océan Indien, il est désormais présent dans 42 départements, chiffre qui a doublé ces deux dernières années. D’où cette surveillance renforcée dont l’objectif est double. Il s’agit à la fois de ralentir la progression de l’implantation du moustique tigre dans les départements et de limiter le risque d’importation et de circulation des virus dont il peut être le vecteur en métropole.

« Dans un contexte d’épidémie de dengue sur l’île de La Réunion et d’échanges réguliers entre ce territoire ultra-marin et la métropole, il existe un risque d’importation de ce virus qui pourrait être à l’origine d’un début de cycle de transmissions « autochtones » (c’est-à-dire des cas de personnes piquées et contaminées en métropole) de la maladie en métropole. En effet, le moustique tigre s'infecte en piquant un voyageur malade et transmet secondairement le virus à des personnes non immunisées lors d'une prochaine piqûre. Ainsi, un cycle de transmission autochtone est généré et peut être à l'origine d'un ou plusieurs foyers épidémiques Â» explique notamment les représentants de l’Etat.

Les autorités sanitaires recommandent donc aux personnes se rendant à La Réunion, de se protéger contre les piqûres de moustique, y compris en journée, en utilisant des répulsifs pour la peau et les vêtements, et en portant des vêtements longs et amples.

« Si une personne présente dans les 7 jours suivant son retour en métropole des signes évocateurs de la dengue (douleurs articulaires, douleurs musculaires, maux de tête, éruption cutanée avec ou sans fièvre, conjonctivite), elle doit consulter un médecin et continuer à se protéger contre les piqûres de moustiques, y compris en utilisant si possible une moustiquaire, afin de ne pas transmettre la maladie en métropole, si le moustique tigre est présent dans le département Â».

Dans le cadre d’une vaste opération d’information, de sensibilisation et de recrutement au don de moelle osseuse, les bénévoles de la Sapaudia Franche-Comté vont actuellement à la rencontre des Jurassiens. Cette action s’inscrit dans le cadre d’une opération décentralisée qui se déroulera le 30 mai prochain à Lons-le-Saunier.

Actuellement, il y a dans les hôpitaux français plus de 2000 malades atteints de leucémies ou autres maladies graves du système sanguin en attente de greffe de moelle osseuse. En France, il n’y a que 280.000 donneurs potentiels alors que les chances de compatibilité entre un malade et un donneur ne sont que d’une sur un million.

Ainsi, des temps d’information sont prévus le 15 mai lors de la collecte de sang à Clairvaux-les-Lacs et les 22 et 23 mai à Lons-le-Saunier. La grande opération décentralisée de don de moelle osseuse est programmée le 30 mai prochain dans la capitale jurassienne.

Difficile aujourd’hui d’échapper à la dématérialisation des procédures administratives. Autrement dit, pour la déclaration d’impôt comme pour une carte grise et bien d’autres démarches, y compris avec des organismes privés, fini le papier, place au numérique.

Certains s’en félicitent, d’autres le regrettent. Question d’époque ou de génération parfois. Toujours est-il que tout le monde ne dispose pas d’un ordinateur avec connexion à Internet ou alors de suffisamment d’aisance pour remplir ces dossiers sans aide.

C’est pourquoi un point relais informatique a été créé à Morteau dans les locaux de la MJC. Un lieu public ouvert à tous les habitants de la communauté de communes du Val de Morteau. Ils peuvent être accompagnés s’ils le souhaitent par des agents du centre médico-social, de la MJC ou du Centre communal d’action sociale (CCAS) de Morteau.

Plus d’un millier de personnes a manifesté ce mardi 1^er mai à Besançon. Un rassemblement s’est tenu sur le parvis de la gare Viotte, avant de battre le pavé en ville. Retour en images sur cette mobilisation.