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Dans l’industrie, les entreprises franc-comtoises recherchent des jeunes en apprentissage. 365 contrats sont à pourvoir en CAP, Bac Pro ou BTS.

Rappelons que l’apprentissage industriel est ouvert aux 15/30 ans. Les statistiques concernant l’intégration dans la vie professionnelle des jeunes ayant obtenu un diplôme sont éloquents. 91% d’entre eux décrochent un emploi à la fin de leur formation.

L’IUMM de Franche-Comté rappelle que le CFAI, le Pôle Formation Franche-Comté (CFAI), accueille tous les mercredis les jeunes désireux de s’informer sur les métiers de l’industrie et évaluer leurs capacités à intégrer le secteur industriel.

Pour ce faire, il est possible de s’inscrire sur www.cfai.org ou 03.81.41.39.83. Par ailleurs, ce mercredi 4 juillet sur le site de Besançon et le 5 juillet à Dole, de 16h à 19h, une opération « job-dating Â» est prévue, avec la participation de 20 entreprises locales qui recrutent.

A Besançon, on parle déjà de la prochaine rentrée scolaire. Rappelons que la Ville a opté pour un retour à la semaine de quatre jours dans les écoles publiques. Concernant, le temps scolaire, à la rentrée de septembre,  les petits écoliers auront classe de 8h15 à 11h45 et de 14h à 16h30 pour les écoles élémentaires , de 8h30 à 12h et de 13h45 à 16h15 pour les écoles maternelles éloignées du site de l’école élémentaire et de 8h20 à 11h50 et de 13h50 à 16h20 pour les écoles maternelles sur le site de l’école élémentaire.

L’offre périscolaire

Les enfants seront toujours accueillis à 7h30 le matin et jusqu’à 18h le soir. Cet encadrement se décline en trois temps : le matin, le midi et le soir. Le découpage des temps périscolaires de l’après-midi est modifié ainsi que les heures auxquelles les parents peuvent venir chercher leurs enfants. En maternelle, un temps d’activité de ¾ d’heure est suivi d’un temps plus libre à compter de 17h30 ; Les parents peuvent venir chercher leurs enfants entre 16h30 et 16h45 puis à compter de 17h30 et jusqu’à 18h. En élémentaire, la durée du temps d’activité est variable : 1/2 heure les lundi / jeudi et 1 heure les mardi /vendredi. Le lundi et le jeudi, les enfants pourront également réviser leurs leçons.  

80 places supplémentaires à la cantine

Dès la rentrée prochaine, 80 places supplémentaires seront ouvertes dans les restaurants scolaires. « Consciente de ne pouvoir accueillir tous les enfants Â», la Ville de Besançon souligne qu’elle « a engagé une réflexion pour mieux répondre aux besoins des familles sur le temps de midi Â». Et de poursuivre : « Toutefois, les contraintes matérielles et réglementaires visant notamment à assurer la sécurité des enfants conduisent à limiter le nombre de places à l’accueil de midi Â».

Et le mercredi ?

Le mercredi désormais libre, les familles qui le souhaitent pourront bénéficier de l’offre des accueils de loisirs bisontins. Ces différentes structures proposent un accueil à la demi-journée ou à la journée entière (avec ou sans repas) sur le temps du mercredi dès la rentrée de septembre.

L’Agence Régionale de Santé de Bourgogne Franche-Comté vient de confirmer son projet régional de santé. Un document de 800 pages qui définit les politiques à venir en matière de santé sur le territoire bourguignon et franc-comtois. Il traduit la stratégie nationale de santé à l’échelle de la région. Ce PRS est le fruit de plus de 20 mois de travaux qui ont impliqué un millier d’acteurs, et notamment les élus.

A l’ARS, malgré la contestation que suscite ce document, on explique qu’il répond « aux défis majeurs de notre société Â» : le vieillissement de la population, l’augmentation des maladies chroniques, les besoins de prise en charge des problématiques de santé mentale, l’évolution de la démographie des professionnels de santé et l’impact des questions environnementales sur la santé.

Ainsi, pour transformer notre système de santé actuelle afin qu’il s’adapte aux réalités du terrain, le Projet Régional de Santé 2018-2028 joue la carte de la prévention, de l’ambulatoire, de l’inclusion ou encore du numérique. Olivier Obrecht, le directeur général adjoint de l’ARS Bourgogne Franche-Comté, réfute la baisse des moyens qui sont dénoncés mais évoque plutôt une utilisation différente , « privilégiant la meilleure prise en charge possible des patients Â». « Il n’y a pas moins de moyens. Chaque année, le parlement vote une progression des dépenses de santé. Elles évoluent au même rythme que la richesse nationale. Il y a néanmoins des nécessités d’accompagner les évolutions techniques et thérapeutiques et le progrès technologique. Certains éléments étant couteux, cela nous oblige à repenser certains dispositifs d’offres de soins Â» explique Mr Obrecht.

Et de poursuivre  : « Il n’y a pas d’hôpitaux à deux vitesse. Il y a différents hôpitaux avec des rôles différents Â». C’est ce que l’ARS appelle « la graduation des soins dans les territoires Â». « Il y a des hôpitaux de proximité qui doivent être la réponse au plus proche des lieux de vie des gens pour des activités de médecine, de soins de suite et de réadaptation, voire d’hébergement de longue durée, et des hôpitaux avec des plateaux techniques plus spécialisés qui, eux, sont nécessairement plus concentrés car beaucoup plus coûteux et nécessitant des compétences de pointe regroupées dans des endroits donnés Â». En région Bourgogne Franche-Comté, les dépenses de santé s’établissent à 8,5 milliards d’euros cette année . Soit une augmentation annuelle de 2,3%. 

Après l’hommage national rendu hier à Simone Veil pour son entrée au Panthéon, la ville de Besançon a décidé de mettre à l’honneur cette grande dame.

L’esplanade St-Etienne de la Citadelle changera de nom pour devenir l’esplanade Simone Veil. 5ème femme à entrer au Panthéon, la Ville souhaite être reconnaissante de son courage et son travail.

L’inauguration aura lieu le 8 septembre prochain, pour l’anniversaire de la libération de Besançon.

A l’heure où les écoliers se préparent à profiter de leurs vacances en effectuant leur sortie scolaire de fin d’année, les élèves de CM2 du Barboux ont vécu un séjour pas comme les autres.

Moins futile, beaucoup plus marquant sans doute. en compagnie de leur institutrice Lucie Robert, ils ont en effet découvert les vestiges des tranchées et la citadelle souterraine à Verdun, les champs de bataille et bien sûr le site des Eparges, un village particulier pour ces enfants.

En effet, depuis peu, il est jumelé avec leur commune du Barboux. Un rapprochement qui fait suite à l’aide financière apportée après la première guerre mondiale par les habitants du Haut-Doubs pour aider le village meusien à se reconstruire.

En se rendant sur les lieux, ces enfants ont vécu un moment fort, au cœur de l’histoire à l'occasion du centenaire de l'armistice. Un voyage préparé en classe depuis des mois.

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