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La montagne, qu’elle soit haute ou moyenne, offre de nombreuses activités désormais y compris en saison estivale. Randonnées, VTT, alpinisme, escalade, canyoning, via ferrata... « Nombre de ces activités nécessitent un minimum de connaissances et d’entraînement, alors ne surestimez pas vos capacités et n’hésitez pas à recourir à des professionnels (guides, moniteurs…) Â» précise la fédération nationale des sapeurs-pompiers qui tient à sensibiliser le grand public.

Ils insistent sur le fait qu’il est indispensable de se préparer, s’équiper et rester vigilant. Partir en randonnée sans prévoir l’équipement adapté, ne pas porter de casque lors d’une escalade, surestimer sa condition physique, autant d’erreurs fréquentes qui entraînent des accidents. Pourtant des réflexes simples peuvent être adoptés.

Pour le VTT par exemple : « Choisir le vélo adapté à l’activité pratiquée, bien régler le vélo et vérifier sa mécanique, préparer une trousse de réparation (pompe, rustine, dérive-chaîne, maillon rapide, etc.), choisir une tenue adaptée aux conditions météorologiques qui peuvent changer rapidement, se munir de protections, notamment d’un casque adapté à l’activité pratiquée, apprendre les bons gestes avec un professionnel ou dans un club puis pendant la sortie choisir des pistes adaptées à son niveau, veiller à maitriser sa vitesse en toutes circonstances, ne pas se surestimer et adapter son itinéraire, baisser la selle avant d’aborder une descente pour diminuer le risque de chute, respecter les autres usagers, s’équiper d’une sonnette afin d’avertir les autres usagers, respecter les balisages et les propriétés privées Â»

Des conseils qui s’accompagnent d’un rappel en cas d’accident : Appeler le 112 pour alerter les secours : « Se présenter, se localiser via votre téléphone portable ou autres moyens (carte, GPS…), décrire la situation et répondre aux questions du professionnel en ligne Â». 

Depuis le début d’année, la ville de Morteau cherchait un nom de baptême pour sa future salle socio-culturelle qui naitra dans les murs de l'ancienne halle ferroviaire. En cours de travaux, en avril 2019 si tout va bien, elle pourra accueillir des événements comme des concerts en recevant jusqu’à 1200 personnes debout ou des rendez-vous familiaux avec alors jusqu’à 350 convives assis.

146 propositions ont été reçues faisant référence au train, à l’horlogerie, à l’histoire locale ou à la culture et c’est finalement le conseil municipal qui a tranché retenant parmi toutes les idées issues de cette consultation le nom de…L’escale !

A compter du 1er septembre prochain, le réseau Ginko fait peau neuve. Une réorganisation des déplacements et des itinéraires verra le jour pour mieux répondre aux réalités du quotidien et s’attacher à conquérir de nouveaux usagers. Pour le Grand Besançon, le coût de fonctionnement annuel des transports s’élève à 60,8 millions d’euros. Une augmentation de 2,2 millions d’euros annuelle a été consentie par la collectivité.

Née de la réflexion des élus du Grand Besançon, de Keolis le nouveau gestionnaire et des réunions publiques organisées sur le territoire concerné, un nouveau plan de circulation verra bientôt le jour. Les responsables ont voulu un réseau hiérarchisé, avec 7 lignes fortes, composées de deux lignes de tramway, quatre Lianes (ligne A Niveau Elevé de Service, de 3 à 6), et d’une ligne de boulevard, la N°7. A cela s’ajoute, un maillage plus fin du territoire assuré par cinq lignes urbaines ( numérotées de 8 à 12) et des lignes complémentaires , qui desserviront des quartiers plus éloignés et des communes proches ( numérotées de 20 à 24). Pour les circuits à forte densité, la fréquence des passages et les amplitudes de service ont été améliorées. Selon le Grand Besançon et Keolis, 90% de la population de Besançon se trouvera à proximité d’une ligne du réseau Ginko : A 300 mètres d’un arrêt de bus et à 500 mètres d’une station tramway.

Les nouveautés

Plusieurs nouveautés verront le jour.

La desserte pour la gare SNCF Viotte sera renforcée. Cela se traduira pour une amélioration de la fréquence des tramways aux heures de pointe, l’adaptation des horaires de départ ou de passage des bus et trams à ceux des trains et un renforcement de la desserte en soirée jusqu’à 21h30 sur la ligne T2.

L’offre de transport restera « attractif Â» pendant les petites vacances scolaires. Ce qui n’était pas le cas jusqu’à présent. Il en sera de même le week-end. Le samedi par exemple, les Grands Bisontins pourront compter sur un tram ou un bus toutes les 10 à 15 minutes au maximum.

Pour mieux répondre aux usages locaux. Il a également été décidé d’élargir la desserte de soirée, en proposant des horaires plus adaptés en fin de semaine. Ainsi, du jeudi au samedi, des bus et trams circuleront jusqu’à 1h du matin. Le service cessera à 23h30, les autres jours de la semaine.

Les lignes périurbaines ont également été développées avec quinze nouvelles communes desservies à compter de septembre prochain. On notera par exemple les créations d’une ligne 53, qui desservira la commune de Saint-Vit à destination de Micropolis et 61, via Pirey, Pouilley-les-Vignes, Serre les Sapins et Franois, avec une connexion au pôle d’échanges de Temis au Nord et aux Hauts du Chazal au Sud.

Dans le même temps, on note l’apparition de certains services comme « Ginko Cliniques Â» qui permettra de se rendre sans difficulté à la clinique Saint-Vincent et à la polyclinique de Franche-Comté tous les dimanches et jours fériés au départ de « Témis ou de « Micropolis Â».

Une palette de services pour se déplacer

Soucieux de toujours et encore améliorer la qualité de service, le Grand Besançon a souhaité également mettre en place un certain nombre d’initiatives. Ainsi, des parkings relais, au nombre de cinq, des Ginko VéloParks, des abris sécurisés pour stationner son vélo, ou encore des tarifications combinées avec d’autres services ( VéloCité, Citiz, TER) sont mis en place.

Les tarifs

Michel Loyat rappelle que le réseau Ginko n’a pas augmenté ses tarifs depuis deux ans. Ainsi, cette année, l’augmentation prévue se base uniquement sur l’inflation. Elle ne concernera pas les tickets à l’unité, mais les abonnements.

Malo a bientôt trois ans, il est atteint du syndrome d’Usher type 1. Ce petit garçon vit à Frasne dans le Haut-Doubs. Ses parents ont très vite découvert la surdité de Malo

Aujourd’hui son syndrome d’Usher type 1 risque de toucher la vue de ce petit bonhomme.

Pour éviter le pire, ses parents ont besoin de réunir 25 000 euros pour rejoindre Cuba et faire opérer Malo.
A Levier, certains se mobilisent pour ce petit garçon. Demain soir un concert solidaire est donc organisé au Lycée Lasalle à Levier au profit de Malo.

Deux concerts sont organisés par le Camping de la Forêt demain soir avec Gumboots, et Ivanov.

En parallèle de cette soirée, des activités pour les enfants seront organisées ainsi qu’une exposition photo. Si la météo le permet, une montgolfière prendra son envol pour faire briller des étoiles dans les yeux des enfants.

« Jonathann Daval a des choses à dire », avait déclaré son avocat, Me Schwerdorffer, avant le récent interrogatoire de son client.

Depuis les aveux du mari d’Alexia Daval retrouvée morte en octobre dernier dans un bois près de Gray, les avocats n’ont eu de cesse, souvent par presse interposée, de souhaiter que toute la vérité éclate enfin, n’hésitant pas à mettre en avant des zones d’ombre restant à éclaircir.

Aujourd’hui, une semaine après l’audition de Johnatann, c’est un véritable coup de tonnerre qu’annoncent nos collègues de BFM TV et du Parisien indiquant que le mis en cause a évoqué devant le juge « un complot familial Â». Une façon d’impliquer « dans une certaine mesure Â» les parents de la jeune fille qui justement sont aujourd’hui même avec leur autre fille au palais de justice pour rencontrer le juge d’instruction en compagnie de leur avocat Me Florand .

 

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