Un accident de la route s'est produit peu avant 17h au Petit Paris sur la RN57.
Une voiture et un poids lourd sont impliqués. Deux blessés sont à déplorer. Le premier gravement blessé était incarcéré dans son véhicule à l'arrivée des secours. Le second blessé est plus légèrement touché.
La circulation est coupée dans les deux sens de circulation.
Les secours sont sur place.
Le chantier de démolition et de reconstruction de la cité des 408 à Besançon amorce une nouvelle étape. Ce lundi après-midi, a été officiellement lancée la phase de déconstruction des immeubles. Dans un premier temps, cela concerne le bâtiment 13, dont la fin prévisionnelle des travaux est envisagée pour janvier 2019. Puis s’enchaîneront les opérations sur les bâtiments 29 (entre le 1er septembre 2018 et fin septembre 2019) et 15/27 (entre le 1er octobre 2020 et fin septembre 2021). Les trois bâtiments devraient être démolis d’ici la fin de l’année 2021. Le coût de cette opération est de 9,5 millions d’euros. Pour l’heure, la phase de reconstruction n’est pas envisagée avant 2030 pour ne pas venir en concurrence avec les autres projets en cours dans la cité. En attendant, cet espace sera renaturé. Ce sont les remblais des travaux, qui serviront à combler le parking souterrain, situé sous la dalle des immeubles, qui donneront naissance à des prairies et des jardins provisoires.
Grignotage et écrêtage
Ces travaux de déconstruction se réalisent avec beaucoup de précautions. Les matériaux sont triés pour ensuite être recyclés. Pour répondre à la nouvelle réglementation en vigueur, le chantier a consisté à désamianter et à vider le bâtiment avant de débuter le grignotage de la structure béton, qui se décline en deux techniques. Une phase qui consiste à installer plusieurs petites pelles mécaniques en raison de la proximité du centre commercial et une autre de grignotage à la pelle pour les zones les moins critiques.
Les travaux commencent aujourd’hui pour la nouvelle maison médicale de Pontarlier. Dans une zone géographique ou le secteur de la santé est en tension, cette maison médicale aura pour objectif d’accueillir de nouveaux médecins pour une longue durée.
Ce projet de 4,6 millions d’euros sera situé à proximité de l’église St Pierre. Les travaux ont commencé aujourd’hui, et devraient prendre fin en juin 2019 pour une ouverture au public dans les mois suivants.
En attendant de pouvoir accueillir les patients vacants, la mairie propose une solution transitoire avec le cabinet médical éphémère.
17 cabinets médicaux, 1 salle d’urgence, ainsi que la médecine du travail seront installés dans cette nouvelle maison médicale.
Un accident de la route s'est produit peu avant 17h au Petit Paris sur la RN57.
Une voiture et un poids lourd sont impliqués. La circulation a été coupée dans les deux sens de circulation.
Les secours sont sur place.
Durant trois semaines, à compter du 27 juillet, sept jeunes doubistes, âgés entre 18 et 20 ans, issus de la section des scouts et guides de France de Planoise, vont partir au Népal, dans le but de construire un restaurant social qui permettra, grâce à l’argent récolté, à des jeunes népalais, âgés entre 8 et 16 ans, de suivre une scolarité.
Investis dans le scoutisme depuis une dizaine d’années, Justine, Antoine et Simon ne cachent pas leur plaisir de pouvoir vivre cette aventure avec leurs quatre autres amis. Si l’on en croit leurs propos, le plus dur n’a pas été d’organiser ce projet, mais de convaincre leurs parents de les laisser partir. Ils expliquent que « le pays n’est pas dangereux », la seule inquiétude en cette période de l’année est d’ordre climatique, le Népal étant en pleine saison des moussons actuellement. « De toute façon, les scouts ne nous auraient pas laissé partir s’il y avait un danger » précisent-ils. Il faut dire également que ces sept jeunes se connaissent très bien puisqu’ils ont vécu de nombreux camps ensemble. Certains sont devenus « chefs » et encadrent à leur tour des séjours.
Ce projet s’inscrit dans le cadre des camps de solidarité internationaux, que chaque scout peut organiser lorsque l’âge de la majorité est venu. Cela fait deux ans que le groupe prépare ce séjour. Avant de partir, ses membres ont dû nouer des contacts avec des Népalais, présenter leur projet à leur mouvement et préparer au mieux leur départ, en réalisant les démarches administratives nécessaires et en organisant des actions d’autofinancement. Le coût de ces trois semaines s’élève à 10.000 euros. Les seuls frais de transport se montent à 6400 euros. La réalisation de travaux (débroussaillage, travaux manuels, services lors de mariages…), des dons, un apport personnel de 150 euros et un emprunt auprès des scouts de France ont été nécessaires pour boucler le budget.
Sur place, grâce aux contacts du grand frère de Simon, les jeunes ont pu échanger facilement avec l’institutrice de l’école et planifier leur rencontre avec des personnes ressources, qui les conseilleront notamment dans la réalisation des travaux à effectuer. En fonction de leurs compétences, ces jeunes étudiants prévoient également de donner des cours et de faire du soutien scolaire.
Justine, Antoine et Simon le promettent, à leur retour, ils organiseront une soirée pour remercier ceux qui les ont aidés et rendre compte de ces trois semaines sans doute très éprouvantes mais au combien riches et formatrices.
