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La disparition des eaux du Doubs dans le défilé d’Entreroches ces derniers jours amène inéluctablement une autre question : celle de l’alimentation en eau potable dans les années à venir. Car, quelles que soient les causes de cet épisode spectaculaire dans le Haut-Doubs, une chose est certaine, « l’or bleu Â» va se raréfier.

« Nous sommes tous responsables et la prise de conscience doit être collective Â» explique Alexandre Cheval de la Fédération de Pêche du Doubs. « Tous les consommateurs, petits ou gros, doivent être responsabilisés Â».

En commençant d’abord par respecter l’arrêté en vigueur concernant notamment l’arrosage, le lavage des voitures ou encore le remplissage des piscines… En menant ensuite une réflexion sur la marchandisation de cette denrée rare que va devenir l’eau. « Ne doit-elle pas être gérée directement par la collectivité avec un volume fixe attribué chaque année par individu et un coût très élevé en cas de dépassement Â».

Beaucoup de questions se posent et doivent selon ce spécialiste être débattues si l’on veut ne pas en arriver à des solutions plus radicales comme il y a quelques années dans le Sud de l’Italie. Là, plus d’eau au robinet dans la journée pour préserver la ressource. Ce qui a bien fait comprendre à chacun que l’eau ne coulera pas forcément toujours dans les maisons.

Lundi 30 juillet 2018 en fin d'après-midi, des dégradations ont été constatées sur une quinzaine de sépultures au cimetière Saint-Roch.

Suite à ces actes de vandalisme et dans le cadre de l'enquête de police actuellement menée, la Ville de Pontarlier cherche à entrer en contact avec les familles concernées par les dégradations.
Si votre famille a été touchée par cet événement, n'hésitez pas à contacter la Mairie qui pourra vous aider dans vos démarches et notamment à déposer plainte : Pôle Citoyenneté : 03 81 38 82 18.

Toute personne susceptible de détenir des informations est invitée à contacter le commissariat de Police au 03 81 38 51 10.

Tout ou presque a été dit sur l'épisode caniculaire qui touche la France en général et la Région en particulier depuis quelques jours. Une chaleur écrasante qui fait quelques heureux et indispose surtout un grand nombre.

Pour remonter le moral de ceux qui attendent avec impatience la fraicheur, il n'est pas inutile de rappeler que les derniers flocons ne sont pas si lointains avec un dernier soubresault hivernal début mai... et que dans le secteur du Haut-Doubs et du Jura notamment, il n'est pas rare d'avoir les premières températures négatives en septembre. Rappelons-nous aussi que le plan grand froid a même été déclenché l'hiver dernier.

Alors patience. S'il fait plus de 30 degrés aujourd'hui, il n'est pas impossible que dans les semaines à venir, le thermomètre baisse de 30, 40 voire même 50° quand l'hiver aura pointé son nez!

Les critères sont drastiques, c’est là le prix de l’excellence. La bible, c’est le standard de la race établi en 1909. Les chevaux doivent avoir un dos bien horizontal, une poitrine profonde, de bonnes proportions entre avant et arrière mais aussi une belle allure que ce soit au pas ou au trot, et enfin de bons aplombs et des articulations fortes.

On les ferre donc soigneusement, on les entraine à faire un galop d’essai et à marcher au licol, puis à courir et à présenter correctement. Bien entendu, il y a les shampooings, l’entretien de la crinière, le lustrage de la robe…la queue est nattée et les sabots la plupart du temps peints en noir. Bref, tout doit être parfait.

L’instant est solennel, important économiquement aussi, car ceux qui sortiront primés prendront évidemment de la valeur. Et cette élite sera garante de la pérennité d’une race qui après un retour réussi, a un bel avenir devant elle.

"Comme sur de nombreux sites, à Dole, dans le Jura mais aussi un peu partout en France, les cours d’eau sont des sites naturels dangereux en raison de la présence de forts courants, de tourbillons et de trous d’eau même en proximité des berges où on a pied" précise la mairie de Dole qui a décidé depuis hier de fermer  la gravière en contre bas du Moulin des Ecorces.

"La baignade ainsi que plonger depuis l’arche ou la passerelle des poètes sont formellement interdits" comme le stipule l'arrêté municipal 2913-0879 du 22 juillet 2013 et ce en raison des risques de noyade inhérents au site. 

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