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Objectif, alerter les autorités sur la situation des exploitations agricoles déjà fortement fragilisées par des crises qui perdurent pour plusieurs productions. « Il faudra notamment pouvoir adapter les systèmes de production en créant des réserves d’eau ou en agrandissant les bâtiments pour le stockage des fourrages Â» explique le syndicat.

Le secteur agricole constate en effet d’année en année le changement climatique avec pour 2018 un été très chaud et très sec qui compromet fortement la situation dans de nombreuses exploitations d’élevage, mais aussi l’implantation des prochaines cultures en particulier pour le colza. « Cependant, les situations sont très contrastées sur l’ensemble de la région. Les quelques pluies d’orage ont été très hétérogènes. Des mesures d’urgence seront à prendre pour les exploitations les plus touchées par cette canicule et cette sécheresse, mais cette situation met aussi en évidence l’urgence de réadapter les systèmes pour les rendre moins vulnérables à ces évolutions du climat Â».

Le mois de juillet a été particulièrement chaud et ensoleillé, avec dans certains secteurs l’absence totale de pluie. Pour la Région, ce sont la Haute-Saône, une partie de l’Yonne et de la Côte d’Or, les plaines et les premiers plateaux du Doubs et du Jura qui ont été les plus touchés, dans une moindre mesure la Nièvre, la Saône-et-Loire et le Territoire de Belfort.

« Si d’ores et déjà pour certains secteurs l’impact est considérable avec un affouragement comme en hiver pour les animaux dans les prairies jaunes comme des paillassons. La récolte du maïs fourrage, prévue cette semaine dans certains secteurs, est bien compromise avec des rendements dérisoires. Par exemple, le secteur de Besançon, avait reçu moins de 22 mm d’eau au 20 juillet, … Tout n’est pas encore joué et cela va dépendre, pour les petites régions les moins touchées pour l’instant, du temps qu’il fera au mois d’août Â».

« La qualité du sol est une des priorités de la Ville de Besançon. C’est grâce à lui que la plante est nourrie correctement, peut ainsi s’épanouir et résister. Les parterres des espaces végétalisés de la Ville abritent un véritable milieu vivant : les vers de terre, les bactéries ou encore les champignons constituent une alternative efficace aux engrais chimiques et aux arrosages intensifs Â» explique la mairie qui explique également pratiquer depuis plusieurs années le zéro-phyto.

« c’est ainsi qu’il est aujourd’hui possible d’installer ces parterres de fleurs et de plantes mellifères constitués à 50% de plantes indigènes Â» . Ces plantes résistent particulièrement bien à un environnement sec et permettent d’embellir les espaces publics. Elles maintiennent de quoi nourrir les insectes qui, en ces temps secs, voient leur alimentation disparaître. Bons sols et plantes adéquates sont indispensables pour s’adapter

La Ville de Salins-les-Bains dresse le bilan du chantier du carrefour Barbarine actuellement en cours. Selon la cité, « les travaux progressent conformément au calendrier établi, et l'entreprise Roger Martin qui travaille à la voirie à même un jour d'avance Â». Elle fait également savoir que « le chantier s’interrompra le 4 août pour reprendre le 16 août. Il est rappelé que l’entreprise « a non seulement mobilisé 3 équipes au lieu d’une seule sur cette première phase de travaux, mais aussi réduit de moitié ses congés d’été (de 3 semaines à une semaine et demi) pour tenir la date programmée de fin de chantier du 11 novembre Â».

Concernant les voiries départementales (rue Gambetta, av. A. Briand, rampe Barbarine) : Les bordures de trottoirs sont posées et l’enfouissement des réseaux (eau, électricité, assainissement) est achevé. L’enrobé sera posé sur les trottoirs la semaine du 20 août et le 27 août, le conseil départemental du Jura enrobera les chaussés dont il a la charge. Elles seront mises en circulation, feux tricolores fonctionnant, pour la rentrée scolaire le 3 septembre. Le 19 juillet dernier, un test de giration a été effectué en conditions réelles pour le passage des bus : le résultat est très positif et n’implique que quelques rectifications à la marge. Un autre test se déroulera en septembre sur la partie communale des voiries (accès aux écoles).

Concernant le Monument aux Morts : Les fondations qui accueilleront le Monument, ainsi que les stalles destinées à l’énumération des Morts pour la France ont été coulées par l’entreprise Pateu Robert devant l’Arbre de la Laïcité. Elles sont entrées dans la période de séchage obligatoire de 28 jours. Le terrassement alentours est prévu au cours de la semaine du 20 août. Après avoir été échafaudé début août, le Monument lui-même va être démonté bloc par bloc du 28 au 31 août, tout comme les plaques commémoratives actuellement à l’arrière. Il sera remonté début septembre, puis rejointoyé et nettoyé.

Concernant les espaces verts : L’entreprise FCE (Franche Comté Environnement) débutera ses travaux préparatoires la semaine du 20 août pour que la nouvelle esplanade puisse accueillir la cérémonie du 11 novembre prochain.

A Pontarlier, un nouveau centre nautique verra le jour en 2020, à proximité de l’Espace Pourny.

De nouveaux équipements ainsi que des infrastructures plus modernes seront proposées aux associations et habitants de Pontarlier. 

Il y aura notamment, un bassin sportif, un pentagliss, un espace bien-être, ou encore des bassins d’activités. 

Certaines infrastructures sont encore à l’étude telle qu’une rivière nordique, ou une plage aqualudique.

A partir de demain, la plage de Oye-et-Pallet sera sans surveillance pour faute de sauveteurs. Cette année comme depuis quelques temps maintenant, le recrutement des sauveteurs devient de plus en plus difficile pour la Communauté de Communes des deux Lacs.

Depuis trois ans afin d’attirer les sauveteurs, la communauté de communes augmente le salaire proposé et organise en partenariat avec la commune de La Cluse et Mijoux le logement de ces sauveteurs qui peuvent venir parfois de loin.

Cette année 7 maîtres-nageurs ont été recrutés. Auparavant ils effectuaient les deux mois d’été, désormais les jeunes embauchés demandent à travailler un mois sur les deux, ou alors cinq semaines. De ce fait, la plage de Oye-et-Pallet ne sera plus surveillée dès demain et jusqu’à la fin de l’été par manque de personnel.

Il est donc conseillé aux baigneurs de se rendre sur les plages surveillées des Grangettes et de Remoray qui elles restent surveillées jusqu’à la fin de l’été.

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