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La question de la pédophilie au sein de l'Eglise est très sensible partout dans le monde. En Suisse voisine, une commission  Â«Abus sexuels dans le cadre ecclésial» a d’ailleurs été mise en place au sein de la Conférence des évêques.

Parmi les nouvelles mesures en matière de prévention qu’elle propose, figure la mise en place de cours ou d’évaluations pour les séminaristes « afin de saisir d'éventuels comportements incompatibles avec la fonction de prêtre Â».

Les évêques devront aussi décider si les abus dans l'Eglise catholique qui seraient poursuivis d'office dans le monde séculier seront systématiquement dénoncés à la justice explique la presse suisse sachant que les victimes devenues adultes ont aujourd’hui un droit de veto en la matière. Situation souvent mal comprise par le grand public. « L'Eglise veut y mettre un terme et va introduire l'obligation de dénoncer à la justice les cas où des indices laissent penser qu'il pourrait s'agir de délits notamment les actes à caractère sexuel Â». ce qui est déjà le cas quand les victimes sont encore mineures.

Dans le cadre de sa politique de développement, le CA Morteau Handball organise cette saison chaque semaine une séance réservée aux enfants de l’ADAPEI, des adolescents qui seront une quinzaine à s’initier à la discipline.

« L’idée nous est venue l’an dernier après avoir participé à une journée consacrée au sport adapté explique Oussama Jaziri, directeur technique du club et diplômé pour superviser ce type de formations.

« les séances auront lieu à l’école Pergaud chaque mercredi matin de 10h à 11h30 et l’objectif à terme et d’intégrer ces enfants aux entrainements de nos différentes équipes Â». Un volonté d’inclusion au sein du club et avant tout d’apprendre à des enfants quels qu’ils soient à vivre ensemble.

La principale info de ce lundi est la rentrée des classes. En ce 1^er jour d’école, Jean-François Chanet, le recteur de l’académie de Besançon, s’est rendu dans différents établissements scolaires du Doubs pour rencontrer les équipes éducatives et les parents afin d’évoquer cette nouvelle année scolaire et échanger sur des thématiques bien précises. Il en sera encore de même demain.

Ce lundi matin, à Besançon, au lycée Victor Hugo, les thèmes de la sectorisation des lycées bisontins et de la mixité sociale dans ces établissements scolaires furent évoqués. Une table ronde était organisée. Elle a permis de mettre en lumière des dysfonctionnements et de convenir que des améliorations devaient être envisagées pour éviter de trop grandes disparités. Les écarts sont bien réels. Alors que les effectifs du lycée Victor Hugo, situé dans le quartier Planoise, affichent 40% de jeunes issus de milieux défavorisés, les lycées Pasteur et Nicolas Ledoux enregistrent des pourcentages moindres. Il en va de la réussite des élèves et de notre vie en société.

Pour Jean-François Chanet, « il est important de mettre en place une organisation administrative autre, permettant l’effacement progressif de ces barrières, en instaurant une autre logique de sectorisation Â». C’est ce qui a été mis en place au sein de l’éducation nationale pour cette nouvelle rentrée scolaire. Mais cela passe aussi « par un travail partenarial entre l’état et les collectivités locales et en instaurant « une égale attractivité entre les lycées Â» ajoute Mr Chanet.

« Actuellement, certains établissements scolaires, comme Pasteur, disposent de formations fortes qui les rendent plus attractifs Â» explique Nathalie Faivre, professeur d’allemand et représentante du syndicat Snes FSU. A Victor Hugo, le lycée souffre aussi de son emplacement géographique, en plein cÅ“ur d’un quartier populaire. Ce qui suscite de nombreuses inquiétudes dans les familles. Enfin, « il est également remarqué que certaines familles parviennent à contourner la carte scolaire mise en place en jouant sur l’offre des options Â» ajoute Mme Faivre, qui milite pour une vraie mixité sociale dans les lycées et les collèges de Besançon et d’ailleurs.

C’est une des mesures phares de la Ministre des Solidarités et de la Santé ces derniers mois : les huit vaccins autrefois recommandés pour les enfants de moins de trois ans sont devenus obligatoires à compter du 1er janvier 2018 s’ajoutant ainsi aux trois vaccins quo l’étaient déjà.

Aujourd’hui donc, sauf contre-indication médicale, dès lors que les enfants nés après le 1er janvier 2018 rentrent en collectivité ou vont être gardés par une assistante maternelle, ils doivent être à jour de tous leurs vaccins obligatoires et leurs parents en donner la preuve.

Pour les enfants allant à l'école donc ceux nés avant 2018 pour qui l’obligation ne porte que sur les trois vaccins diphtérie, tétanos et poliomyélite (DTP), les nouveaux n’étant toujours que recommandés.