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Un accident s'est produit sur l'A36, à hauteur de Champagney (25), dans le sens Beaune/Mulhouse. Il implique dix voitures et deux poids lourds. D'importantes difficultés de circulation nous ont été signalées, allant jusqu'à la formation de plusieurs kilomètres de bouchons. 19 personnes sont impliqquées, dont deux blessés légers, transportés à l'hôpital de Besançon.

Depuis 2018, il existe en Bourgogne-Franche-Comté une plateforme permettant à chacun de signaler les atteintes à l’environnement dont il est témoin. Elle s’appelle « Sentinelles de la Nature Â» et se décline sous la forme d’une application et d’un site internet dont le principe est simple : prendre une photo en décrivant l’atteinte à l’environnement constatée. Les informations remontent ensuite jusqu’aux personnes compétentes qui décideront de la manière dont elles sont traitées.

 

Une plateforme facile à prendre en main

Cette plateforme vient compléter le dispositif déjà existant « Cartes Vertes Â», qui vise à mettre en évidence les points favorables à l’environnement. Que ce soit en termes d’initiatives ou d’acteurs locaux qui contribuent à améliorer la biodiversité, la santé et le bien-vivre. La plateforme « Sentinelles de la Nature Â» est accessible en téléchargeant l’application via son smartphone ou directement sur le site internet. Le fonctionnement est simple, il suffit de prendre une photo, de décrire l’atteinte à l’environnement constatée en remplissant un court questionnaire, pour que ces informations soient centralisées à l’échelle régionale. Un modérateur va ensuite enquêter sur l’affaire en mesurant l’impact et la réalité du signalement. En fonction de ces critères, il sollicitera alors les élus locaux, les services de l'État ou interviendra directement auprès des personnes concernées, afin de dénouer la situation et de sensibiliser à l’impact de ces atteintes à l’environnement.

Des nouveaux élus responsables

« Ce sont des outils participatifs, où chacun peut s’associer. Et selon les régions, cela varie. En Bourgogne-Franche-Comté nous sommes quelques dizaines, et nous sommes assez peu mobilisés en termes de communication sur ce sujet Â» souligne Pascal Blain. Mais ce n’est pas le cas pour toutes les régions. Certains territoires sont même très bien organisés depuis deux ans, et collectent plusieurs centaines de signalements chaque année. « Notez bien que les élus sont aux premières lignes dans ces questions d’atteintes à l’environnement et donc c’est vers eux qu’on va se retourner Â». Pascal Blain indique ensuite que les édiles récemment élus en juin dernier, les femmes en particulier, sont très sensibles à ces questions-là, en bousculant les habitudes de « laisser faire Â». Le référent régional de « Sentinelles de la Nature Â» explique qu’aujourd’hui il y a une véritable volonté de rechercher les responsables, de les sensibiliser, de les amener à remettre les lieux en état, quitte à aller en justice s’il le faut. 

 

Un mouvement de grève est annoncé ce mardi dans les collèges du département. Il est notamment organisé une opération « collège mort » à Roulans, mais également au collège Proudhon à Besançon. A ce sujet, les professeurs, assistants d'éducation et personnels du collège bisontin se rassembleront de 10h à 12h devant l'établissement.

Alors qu'à Roulans, la mobilisation porte sur la carte scolaire, à Proudhon, on dénonce le manque de moyens financiers et humains attribués par l'éducation nationale. A Besançon, selon les syndicats, « les moyens sont en constante diminution, malgré des besoins qui ne cessent de s'accroître ».

L'athlète Ophélie Claude-Boxberger comparaît ce lundi 15 mars devant l'Agence française de lutte contre le dopage pour s'expliquer sur son contrôle positif du 18 septembre 2019. Cette affaire est très complexe puisqu'elle mêle dopage, affaire familiale et règlement de comptes.

La franc-comtoise encourt une suspension de huit ans. Rappelons qu'Ophélie Claude-Boxberger a déposé plainte pour « viol aggravé et « empoisonnement ». Elle clame son innocence et accuse Alain Flaccus, le compagnon de sa mère, de lui avoir inoculé de l'EPO à son insu. Après avoir reconnu les faits, ce dernier est revenu sur ses aveux. Si elle se confirme, cette condamnation mettrait un terme à la carrière de la jeune femme.

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