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Mercredi, Ludovic Fagaut, vice-président du Département du Doubs en charge du sport et de l’éducation, a remis les prix « Doubs parrainage Â» 2019. Cette cérémonie, qui s’est tenue à l’Hôtel du département, a récompensé les collèges les plus engagés à l’UNSS.

Les collèges Diderot et Saint-Joseph de Besançon, Claude Girard de Châtillon-le-Duc, Georges Pompidou de Pouilley-les-Vignes, Emile Laroue de Frasne, Sainte-Jeanne d’Arc de Morteau, Jean Bosco d’ Orchamps-Vennes, Louis Pergaud de Pierrefontaine-les-Varans et Philippe Grenier de Pontarlier font partie des heureux élus.

« Doubs parrainage Â» permet d’accompagner les associations sportives des collèges participant à au moins quatre championnats départementaux ou actions phares de l’UNSS avec une rotation tous les quatre ans environ.

Dans le Doubs, 8000 collégiens sont inscrits à l’UNSS. Les quinze établissements scolaires primés ont reçu un bon d’achat d’une valeur de 200 euros, soit 3.000 euros au total.

Les pompiers bisontins sont intervenus hier, vers 18h15, rue de Dole, pour un accident impliquant une voiture. Le conducteur a fait un malaise et a terminé sa course dans le grillage au bord de la chaussée. La victime, consciente, a été transportée sur l’hôpital de la ville.

Après les salles consacrées aux cultures urbaines à Saint-Claude, à l’escalade à Léo Lagrange et aux sports de combat à Planoise et la réhabilitation de la piscine de Chalezeule, la Ville de Besançon vient d’inaugurer sur le complexe sportif du Rosemont les nouvelles installations et équipements rénovés et lancer les derniers projets de cette fin de mandat.

Sur ce site, où se côtoient plusieurs associations sportives, une salle de convivialité a vu le jour, les installations du boulodrome et du club de BMX ont été revues et la société de tir de Besançon bénéficie de cibles électroniques nouvelle génération. Prochainement, ce sont quatre nouveaux vestiaires qui sortiront de terre. Pour Jean-Louis Fousseret, le Maire bisontin, et Abdel Ghezali, l’élu en charge des sports, il est important de proposer aux associations et clubs sportifs locaux des installations suffisantes et de qualité. Les élus ont bien conscience que d’autres investissements seraient nécessaires, mais les budgets ne sont pas extensibles.

Patrick David, le président du SC Clémenceau, pense que « les Bisontins peuvent être fiers des installations sportives que propose la ville Â». Selon le responsable associatif, la qualité des infrastructures concoure aux bons résultats des clubs, mais aussi à l’engagement des bénévoles. Pour Mr David, « le sport contribue aussi à renforcer le lien social » dans la cité.

La gendarmerie du Jura recherche depuis mardi soir Lucas Renoud, un jeune homme de 21 ans, qui n’est pas rentré d’une promenade réalisée dans le secteur des cascades du Hérisson le 18 juin.

Lucas est de corpulence mince, mesure 1m88, a les yeux marrons et les cheveux châtain clair. Il est porteur d'un pantalon de survêtement noir, d'un tee shirt noir, de baskets NIKE blanches et grises, d'une paire de lunettes noire.

Pour tout signalement ou  information susceptible de faire avancer les recherches, la gendarmerie vous invite à composer le 0800.00.47.12. 

C’est un fléau inquiétant. C’est sans doute la raison pour laquelle les parlementaires s’en sont emparés. Ce mercredi, une proposition de loi a été déposée à l’assemblée nationale pour lutter contre la haine sur les réseaux sociaux. Le 2 juillet, les députés devraient voter une loi obligeant les réseaux sociaux ( Facebook, twitter, …) à retirer en moins de 24 heures tous les propos haineux, qu’il s’agisse de racisme, d’homophobie ou encore de paroles déplacées à l’encontre des personnes handicapées, … . La liste pourrait être encore longue.

Ce mercredi après-midi, en plein cœur du centre-ville de Besançon, l’association SOS racisme, qui vient également de lancer une grande opération nationale sur cette violence verbale, interpellait les passants , et notamment les collégiens et les lycéens. Cependant, cette déviance ne concerne pas que les adolescents, de nombreux adultes s’illustrent également dans ce domaine.

« Les personnes derrière leur ordinateur n’ont pas toujours conscience de la gravité de leurs propos Â» explique ce responsable de SOS racisme, qui rappelle que la justice sanctionne ces dérapages verbaux.

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