Choix du secteur :
Se connecter :

Guillaume Nicod a remporté la troisième édition du concours international de la meilleure terrine de lapin. Elle s’est tenue le 21 septembre, lors du marché de Sens. Une cinquantaine d’amateurs, apprentis et professionnels ont pu faire goûter au jury leur terrine. Des jurés titrés pour certains meilleurs ouvriers de France ou champions du monde dans leur domaine. Et c'est de la catégorie professionnelle que Guillaume Nicod est ressorti vainqueur.

C’est le chef traiteur (également représentant du concours) avec qui il travaille qui l’a incité à participer au concours, le premier pour le cuisinier originaire de La Longeville.

C'était il y a un an, le 24 septembre 2018, un homme s'était introduit dans un commerce de Doubs peu après 12h, alors que le rideau était partiellement baissé. 
Une fois dans l'enceinte du magasin, l'individu avait menacé avec une arme, les clients encore présents et les employés. Il était alors reparti à pied avec 1 000 â‚¬ en poche. 

Deux jours plus tard, un individu qui habitait non loin de cette zone commerciale voulait arroser son terrain avec sa citerne. Il a alors constaté que le passage de l'eau était bloiqué par des vêtements, des chaussures et une arme. La police s'était alors rendue sur place afin d'effectuer des prélèvements et saisir les objets. 

Après avoir effectué les examens nécessaires, les policiers pontissaliens ont pu découvrir le profil génétique du suspect qui était connu des forces de l'ordre. 
Au cours de l'été, ils ont interrogé les différents témoins en présentant la photo du braqueur présumé. 

C'est hier que l'intervention a eu lieu. Une unité d'élite du Raid de Strasbourg et de Nancy constituée de 12 personnes se sont rendues à son domicile au petit matin. Interpellé, l'homme a été placé en garde à vue et entendu. 

Après plusieurs heures de garde à vue, l'homme est passé aux aveux. Il a été déféré aujourd'hui au Tribunal bisontin. Il a écopé de 4 ans de prison ferme.

Peut-être  enfin une bonne nouvelle pour la famille Varlet ?  Ce lundi 30 septembre, elle rencontrera la cheffe de cabinet du ministre de l’intérieur et deux directeurs de l’IGPN et de l’IGNN.

C’est lors de la grève de la faim de Giovanni, le frère d’Aurélia, à Paris, que le papa, Patrick Varlet, a reçu un appel téléphonique du ministère de l’intérieur. La famille espère savoir si le meurtrier, Didier Grosjean, a reçu une protection de la part d’un policier pontissalien et d’un gendarme de la brigade de Frasne.

Le 3 septembre fût une journée symbolique pour la lutte contre les violences conjugales, notamment avec les lancements du numéro d’écoute gratuit (39 19) et du Grenelle dédié au sujet. Le gouvernement en a profité pour annoncer dix mesures « d’urgence Â».

Et ce Grenelle se poursuivra le vendredi 27 septembre dans le Jura. À l’initiative du procureur de la République Lionel Pascal et du Préfet du département Richard Vignon, élus locaux, associations et partenaires territoriaux vont pouvoir réfléchir, autour d’ateliers, à différentes problématiques. Elles seront au nombre de trois et porteront sur la définition « d’être victime Â», comment entourer un enfant témoin et/ou victime de violences conjugales ou comment l’auteur de ces violences peut être appréhendé.

Des propositions découleront de cette journée de réflexion. Elles s’ajouteront aux mesures déjà énoncés ainsi qu’au plan gouvernemental qui sera présenté le 25 novembre, journée internationale en faveur de l’élimination des violences faites aux femmes.

 

 

Rappel des dix mesures :

-          Un millier de places supplémentaires de logement d’urgence

-          Une plateforme pour localiser les hébergements les plus proches

-          La « Garantie Visale Â» ouverte aux victimes, leur offrant une caution pour se loger

-          L’autorité parentale de l’agresseur pourra être suspendue

-          Des procureurs référents spécialisés dans les violences conjugales

-          La mise en place rapide (sous 48h) d’un bracelet électronique après avoir alerté les forces de l’ordre

-          Possibilité de porter plainte directement dans les hôpitaux

-          Un RETEX (retour d’expérience) mis en place et effectué après chaque féminicide. Il s’agira de regrouper les professionnels concernés pour comprendre ce qui n’a pas fonctionné

-          Une « grille d’évaluation du danger Â» sous forme de questionnaire, utilisée par gendarmes et policiers pour leur permettre d’adapter les moyens de protection à la situation

-          Un audit réalisé tout au long de l’année 2020 dans plus de 400 commissariats concernant la prise en charge des femmes victimes de violences conjugales

Le Festival Détonation démarrera demain soir à Besançon. L’occasion pour la rédaction de Plein Air de faire un point sur les engagements sociétaux du Festival avec Simon Nicolas organisateur de l’évènement.

Plein Air : Le Festival fait partie du dispositif Ici c’est Cool, en quoi est-ce que ça consiste ?

Simon Nicolas : Nous entendons souvent des problèmes que les festivaliers peuvent rencontrer partout en France quand il s’agit de harcèlement, de racisme ou encore d’homophobie. Ici à Détonation, nous n’avons je l’espère jamais eu de problèmes de ce type, mais nous souhaitons quand même nous engager pour palier à d’éventuels comportements dangereux.
Le dispositif Ici C’est Cool lance une campagne de sensibilisation auprès des festivaliers sur le respect des autres, mais aussi pour prévenir les violences à caractère sexiste, raciste, homophobe au cours des concerts.
Nous souhaitons que le Festival reste un moment convivial pour tous, et que la fête reste un moment de fête pour l’ensemble des festivaliers.

P. A : Le Festival accueille un public relativement jeune. Qu’est-ce que vous proposez concernant la sécurité routière par exemple ou sur d’autres sujets ?

S. N : Nous travaillons avec une association de prévention des risques liés aux soirées qui aura un stand sur le Festival.
De nombreux bénévoles essayeront d’apprendre au public à faire la fête mais faire la fête bien et intelligemment, donc en gardant un comportement sécuritaire pour soi et pour les autres.
C’est très important que chacun puisse profiter de sa soirée en évitant les abus.

P. A : En coulisse, vous essayez aussi d’avoir un impact moindre sur l’environnement ?

S. N : Détonation essaye d’avoir une démarche écoresponsable. Cette année le tri sera évidemment mis en place sur le festival, nous avons aussi prévu de distribuer des cendriers de poche. Mais là où nous pouvons agir le plus c’est auprès des équipes techniques.
Ce sont des petits gestes, mais nous avons choisi de bannir les contenants à usage unique. Les équipes techniques sont donc équipées de gourdes, les restaurateurs s’engagent aussi à distribuer des contenants recyclables.
Nous souhaitons aussi que chaque festivalier vienne à pied, à vélo ou en bus au festival pour réduire leur impact environnemental.

Sous-catégories