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Dimanche prochain, à 14h, au gymnase des Orchamps, les U18 du Grand Besançon Doubs Handball vont disputer un match capital pour leur qualification pour le championnat de France. Il ne fait quasiment pas de doute que le groupe de Karim Bensedira disputera, cette année, encore, cette grande échéance nationale, mais le match contre Nancy est  aussi un test sur l’état de forme du collectif, car les choses sérieuses approchent à grand pas. Rappelons que les Nancéens sont les dauphins des Bisontins et qu’ils auront sans doute à cÅ“ur de les malmener.

Ce samedi, les jeunes pousses du GBDH se sont imposés sur le score de 27 à 21 à Belfort. « Ce fût laborieux en attaque. On s’est bien comporté en défense, avec 21 buts encaissés, mais on était en échec sur nos attaques et sur le gardien adverse Â» explique le coach bisontin. Et de conclure : « Néanmoins, l’essentiel est là, la victoire et la consolidation de notre place de leader Â».

Le Besac n’a pas réussi la passe de trois. Hier soir, aux Montboucons, les basketteurs bisontins se sont inclinés sur le score de 72 à 76 face à Pont-de-Cheruy. Le groupe de Nicolas Faure peur avoir des regrets. La victoire leur a échappé de peu. Avec 16 points, les Bisontins sont onzièmes au classement.

Ligue 2

Lens 4 – 0 Sochaux

National 2

Jura Sud 1 – 1 Moulins/Yzeure Foot

Belfort 2 – 3 Lens (2)

National 3

Sochaux Montbéliard (2) 3 – 1 Morteau Montlebon

Racing Besançon 1 – 1 Dijon (2)

Jura Dolois 3 – 0 Roche Novillars

Auxerre (2) 4 – 1 Valdahon Vercel

Sens 1 – 3 Besançon Football

Pontarlier 1 – 3 Gueugnon

Ce samedi après-midi, à Besançon, l’Ensmm, l’école nationale supérieure de mécanique et des microtechniques, remettait à ses étudiants ingénieurs leurs diplômes. Pour cette nouvelle promotion, plus de 200 jeunes ont reçu leur sésame à Micropolis, où une grande messe était organisée.

Pour eux, pas d’inquiétude quant à leur avenir professionnel. Selon des statistiques de la structure bisontine, 77% des ingénieurs trouvent un emploi en moins de 1 mois, 53% avant l’obtention du diplôme. 25% de ces jeunes travaillent à l’étranger, dont les 2/3 en Suisse. Pour cette promotion, l’épilogue est encore plus éloquent, puisque 100% des diplômés ont été embauchés en moins d’un mois. Ce qui prouve la qualité de la formation et de son adéquation avec les attentes et les besoins des entreprises. D’ailleurs pour répondre au mieux au monde du travail, l’Ensmm fait évoluer sans cesse le contenu de ses formations, avec des nouveaux apports théoriques et pratiques dans les domaines des sciences humaines, de l’économie, du juridique et du social.

Des partenariats à travers le monde

Actuellement, l’Ensmm de Besançon compte 50 partenariats avec des pays étrangers. Aujourd’hui, les élèves boursiers représentent 30% des effectifs. 18% sont des filles. Soulignons que ces désormais ingénieurs ont décroché leur diplôme après cinq années intenses d’études. Deux années dans des classes préparatoires scientifiques après le lycée, un concours d’entrée national et trois années de formation à Besançon, alternant apports théoriques et pratiques, sans oublier les savoir être. Des compétences indispensables pour ces ingénieurs qui partageront leurs savoirs et le fruit de leur réflexion avec d’autres professionnels et techniciens.

Plusieurs centaines de personnes ont participé ce samedi, en fin d’après-midi, à Besançon, à une marche, à l’appel du collectif « Nous Toutes Â» pour dénoncer les violences faites aux femmes. Au cours de cette marche, le nom de femmes qui ont perdu la vie sous les coups de leur compagnon ont été cités. Au total, depuis le début de l’année, en France, 137 personnes n’ont pas survécu à leurs blessures. Elles étaient 124 l’année dernière.

A Besançon, comme ailleurs, les manifestants attendent des réponses du gouvernement et notamment les conclusions du Grenelle, lancé en septembre dernier, et qui devaient être présentées lundi par Edouard Philippe. Dans le même temps, les différentes associations engagées dans cette cause disent « ne pas se faire trop d’illusion Â».

A Solidarité Femmes, on reconnaît qu’après le décès de Razia, une femme tuée en pleine rue, à Besançon, en octobre 2018, par son compagnon, des mesures ont été prises, « mais il y a encore tellement à faire Â». Ce lundi, dans les locaux de l’association bisontine, le Préfet du Doubs signera le plan départemental de lutte contre les violences faites aux femmes.

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