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Cela fait trois mois qu’il est fermé. À Morez, le Musée de la lunette rouvrira ses portes le samedi 6 juin et chaque week-end de 10h à 12h et de 14h à 18h jusqu’au mois de juillet. Par la suite, les conditions d’accueil du public devraient être de nouveau optimales. Sans les préciser, la municipalité affirme que des « aménagement sont mis en place pour respecter les consignes sanitaires liées au Covid-19 Â».

Actuellement, le musée abrite l’exposition « Les Lunettes en voient de toutes les couleurs Â», évoquant les techniques de coloration et les métiers spécifiques de la lunetterie.

Outre la réouverture des bars, cafés et autres restaurants, le mardi 2 juin était également synonyme de top départ pour StopCovid. Pour rappel, l’application du gouvernement sert à retracer les personnes avec qui nous aurions eu un contact physique dans un délai de 14 jours en cas de contraction du virus. Ce projet avait fait l’objet d’un vif débat, tant dans l’opinion publique qu’au sein même du corps politique.

Certains voient dans cette application une méthode efficace de lutte contre un éventuel rebond de l’épidémie : « il ne faut pas voir le mal partout, l’application peut être utile pour sauver des vies en remontant jusqu’à la source si l’épidémie venait à repartir Â» nous explique Thomas, commerçant.

Sécurité ou liberté ?

L’application ne devrait cependant pas connaître un succès retentissant. De nombreux citoyens doutent des enjeux réels d’une application de traçage, et mettent en cause l’éthique d’une telle méthode quelles que soient les circonstances : « J’en ai vaguement entendu parler, mais je ne suis  pas forcément pour. J’ai l’impression que ça va plus nous surveiller qu’autre chose, et que ça enfreint nos libertés individuelles Â» argumente Siloé, étudiante.

Un outil politique plus que sanitaire ?

Un avis partagé par les gilets jaunes, qui craignent également que le gouvernement s’en serve pour espionner leurs moindres faits et gestes : « Je n’ai pas du tout confiance. Sur le principe pourquoi pas, mais je n’ai pas confiance (n.d.l.r. : envers le gouvernement) pour moi et pour mon réseau Â», ajoute un gilet jaune présent ce mardi devant le tribunal de Besançon, pour manifester pour la liberté d’expression.

Il n’y aura pas d’alliance entre le parti d’Anne Vignot et celui de Claire Arnoux pour le deuxième tour des élections municipales. Selon la dirigeante écologiste, les conditions imposées par la France Insoumise « ne permettent pas de gouverner la ville de Besançon en cas de victoire Â».

D’après Anne Vignot, le parti de Claire Arnoux ne souhaite pas voter le budget, et les partisans de la France Insoumise souhaitent être présents sur la liste, sans pour autant avoir de délégations, ce qui est un frein pour la dirigeante écologiste, « qui a besoin d’élus qui prennent des responsabilités pour affronter la situation actuelle Â».

Rappelons qu’à l’issue du premier tour, Anne Vignot avait obtenu 31,2% des suffrages, et Claire Arnoux 8,2%, ce qui permettait une éventuelle fusion.

 

Deux lignes ont été mises en place pour le démarrage de la nouvelle saison des bus touristiques menant au massif du Chasseral. Départ le 6 juin. Le bus au départ de Nods ( depuis la Neuveville) circulera trois fois par jour, les week-ends et les jours fériés. La ligne Saint-Imier-Chasseral circulera tous les jours jusqu’au 25 octobre. Une troisième option est effective pour atteindre le massif du Chasseral, le bus Bienne-Les Prés-d’Orvin circule quant à lui toute l’année.

 

Avec le déconfinement et la reprise des activités, garder une distanciation sociale est plus qu’essentiel. Des panneaux ont été mis en place ce mercredi 3 juin à l’entrée des 19 zones de rencontre définies sur le centre-ville de Besançon. Leur rôle est de rappeler les règles de partage de l’espace afin que piétons, cyclistes et automobilistes adoptent les bons réflexes. Par ailleurs un marquage provisoire a été réalisé sur le trottoir de chaque école pour accompagner au mieux la reprise des cours.

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