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La maison de luxe Hermès a annoncé ce mardi la création de deux nouveaux ateliers de maroquinerie en France à partir de 2016. Ces deux établissements spécialisés dans la maroquinerie artisanale seront basés à Héricourt (Haute-Saône) et près de Montbéliard (Doubs). Par ailleurs, la maison de luxe prévoit l’installation d’un atelier de luxe dès le début de l’année prochaine à Etupes (25).

Hermès dispose depuis 1996 d'une manufacture de maroquinerie à Seloncourt (Doubs). L'ensemble, ainsi constitué, emploiera, à terme, près de 600 artisans, en comptant les 210 salariés de la maroquinerie de Seloncourt.

L’automobiliste de 44 ans, impliqué dans l’accident mortel de Novillars, survenu vendredi dernier, a été mis en examen pour homicide involontaire. L’homme conduisait sous l’emprise de l’alcool et de stupéfiants. Rappelons qu’une femme de 51 ans n’a pas survécu à ses blessures. 

Ce mardi matin, le Greta du Haut Doubs recevait les 26 candidats engagés dans une formation horlogère. Les résultats sont au rendez vous. Toute la classe a obtenu son CAP et le certificat d’opérateur en horlogerie de la convention patronale de l’industrie horlogère suisse. Cette formation transfrontalière mise sur pied par les autorités et les milieux horlogers français et suisses, sous l’égide de la Conférence Transfrontalière (CTJ), engageait le Conseil Régional de Franche Comté, Pôle Emploi, le service de l’emploi du canton de Neuchâtel, la convention patronale de l’industrie horlogère suisse, la chambre française de l’horlogerie et des microtechniques et le ministère de l’éducation nationale. 

Une formation professionnelle de 9 mois 

Lancé en octobre 2012, et dispensé à Morteau, ce temps de formation s’adressait à des personnes françaises et suisses à la recherche d’un emploi. Il a permis à ces apprentis d’appréhender les rudiments du métier comme le réglage et le montage de mouvements  et la vérification et le contrôle de l’état des pièces, les fonctions et les performances d’un mouvement.  La majeure partie de ces neufs mois d’apprentissage s’est déroulée au centre de formation. Cependant, un stage de six semaines s’est tenu en entreprise de l’autre côté de la frontière. Les jeunes ont alterné cours pratiques (21h par semaine) et théoriques. Pour certains, une remise à niveau en français, mathématiques  et anglais était également au programme. 

Un emploi en Suisse 

Dans leur grande majorité, ces jeunes diplômés souhaitent rapidement trouver un emploi, de préférence de l’autre côté de la frontière. Si les propositions salariales suscitent de l’intérêt, force est de constater également que les offres sont plus nombreuses chez nos voisins suisses. « La Suisse est un eldorado. Il ne faut pas se le cacher. Cependant, à l’image de la société Péquignet à Morteau, il y encore quelques bonnes boîtes en France » explique Margaux. Après les traditionnelles vacances horlogères, entre le 15 juillet et le 15 août, ces futurs professionnels  se lanceront dans la recherche d’un emploi où éventuellement se renseigneront pour  approfondir leurs connaissances en la matière. « C’est une passion. Cela faisait trois ans que j’essayais d’investir ce secteur d’activité. Je pense qu’il y a également possibilité d’évoluer encore. En ce qui me concerne, je compte bien poursuivre dans cet élan  » explique Ludovic, très heureux d’avoir décroché ces premières qualifications. 

Un belfortain et deux roumains ont été condamnés à un an de prison ferme pour des vols de téléphones portables aux Eurockéennes de Belfort sur le site du Malsaucy. Sur les onze personnes interpellées. Trois d’entre elles étaient présentées devant la justice dans le cadre d’une procédure de comparution immédiate. Les trois hommes ont été maintenus en détention.

Précisons que dans le sac à dos de l’un des deux roumains, les enquêteurs ont retrouvé 72 portables. Devant le tribunal, les deux malfrats étrangers  ont expliqué avoir agi sans avoir exercé de violence. Une version des faits contestée par les victimes qui évoquent des coups, des menaces au couteau ou encore des bousculades. 

Il y a de fortes chances pour que l'acteur belge, Benoit Poelvoorde,  et le Maire de Besançon, Jean Louis Fousseret, ne partent en vacances ensemble. Dans une interview accordée au quotidien régional "La Nouvelle République", Poelvoorde a décrit d'une manière très négative la capitale comtoise. 

"Si je garde un excellent souvenir des habitants, je crois que c'est là que je me suis le plus ennuyé de ma vie et donc que j'ai le plus bu, avoue l'acteur. Tu regardes devant toi, il y a le soleil ; tu te retournes, il grêle ! Regardez bien les gens qui font la météo, ils cachent toujours Besançon ! Les gens qui survivent à Besançon ont tout mon respect ! On ne peut y tourner que des films sur la fin du monde ou les tueurs en série ! Non, je rigole, hein, ils sont très bien à Besançon..."  a t'il déclaré. 

La remarque n'a pas été appréciée par le Maire socialiste bisontin qui s'est empressé de réagir. "Je pense qu'il aurait dû venir me voir lors de son passage ici. J'aurais été son guide et je suis sûr qu'il aurait retenu autre chose de notre ville. Il serait bien qu'il se cantonne à faire rire, ce qu'il sait très bien faire. Que chacun reste à sa place". 

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