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La proposition adoptée le 13 mai dernier sur l’instauration de sanctions financières pour lutter contre l’absentéisme des sénateurs entre en vigueur aujourd’hui. Concrètement, tout sénateur qui serait absent plus de 50% dans les votes, en commission et dans les questions d’actualité verra son indemnité rabaissée. Au maximum, un sénateur pourra être privé de 4.400 euros par mois sur ses quelque 13 000 euros bruts d'indemnités.

 Jean-François Longeot, le sénateur-maire d’Ornans, a voté cette proposition. « J’y suis favorable Â» explique-t-il. Il regrette néanmoins qu’il faille « légiférer sur cette question Â» pour s’assurer que les élus assument correctement leurs responsabilités. « Ca me fait sourire. Ca me paraît tellement normal d’être sur son lieu de travail Â» précise-t-il. Et de poursuivre : « je crois que c’est bien d’avoir régularisé les choses et exiger que les gens soient présents pour les votes et l’ensemble des réunions et questions d’actualité au gouvernement. C’est normal».

 Â« Nous sommes parfois peu nombreux dans l’hémicycle Â»

 Jean-François Longeot ne se permettrait pas de porter un jugement sur le travail et l’investissement de ses collègues de l’assemblée. Il constate néanmoins  que, parfois, « les bancs du Sénat sont un peu clairsemés Â». « S’agit-il d’abus ? Certains assurent également des missions Ã  l’extérieur Â» précise le parlementaire, qui reconnaît que, lui-même, pour des raisons familiales, ne s’est pas rendu au Sénat pendant une semaine. « On peut aussi avoir des difficultés personnelles. Mon épouse était hospitalisée. Ce qui a entraîné cette absence » conclut-il.

La 15è édition des Absinthiades se déroulera ce week-end à Pontarlier. Cette année, l’organisateur, les amis du Musée, a choisi de célébrer une interdiction. En l’occurrence, le centenaire de l’interdiction de l’Absinthe. Il y a cent ans, un décret ministériel annonçait la suppression de la Fée Verte en France.

Cette interdiction allait provoquer sur Pontarlier un cataclysme économique pour les vingt-cinq distilleries de l’époque et pour les milliers de personnes travaillant dans ce domaine, ouvriers, employés, cafetiers, bistrotiers... Toute la filière était anéantie. Au delà de la nécessité d’interdire cet alcool qui rend fou, c’est bien un drame, humain et économique qui s’est joué.

Mais d’un mal nait souvent un bien. Cette interdiction a engendré le renouveau de l’Absinthe à travers la distillation de l’anis vert ainsi qu’une active clandestinité de l’Absinthe. C’est donc dans ce contexte que se déroulera cette nouvelle grande fête culturelle et populaire pontissalienne, qui marquera également le dixième anniversaire de la relégalisation du produit en Suisse.

De nombreuses animations

Au cours de ce nouveau rendez-vous, les visiteurs pourront découvrir de nombreuses animations : soirée théâtrale et musicale, street art absinthique, vente d’un chocolat du centenaire,... . Sans oublier bien sûr  les expositions, les dégustations dans les distilleries, les concours de dégustation et le salon des collectionneurs. Lors de votre passage, vous apprécierez sans doute également les découvertes culinaires proposées dans les restaurants partenaires.

Pour de plus amples informations : www.admdp.com

Dans le Haut-Doubs, les amoureux de la nature et les naturalistes, qui prenaient plaisir à voir gambader le jeune chamois blanc sur les hauteurs de Villers-le-Lac, sont inquiets. Ils sont sans nouvelles de l’animal. Son absence suscite une vive émotion. Certains craignent que le jeune cabri ait été la cible de braconniers.

Le secteur a été ratissé mais les recherches sont restées vaines. Selon les experts, la piste d’une attaque de lynx est peu réaliste car aucune trace du jeune chamois n’a été constatée.

Ces personnes espèrent pouvoir faire toute la lumière sur cette affaire. Tout en espérant revoir rapidement leur jeune ami.

L’info est relatée par le journal « Le Progrès Â». Les cambriolages se poursuivent dans les campings du département. Il y a quelques jours, les sites de Saint-Laurent-en-Grandvaux, Bonlieu, du Grand Lac à Clairvaux et de la Marjorie à Lons-le-Saunier ont été la cible de malfrats.

Le quotidien jurassien précise que ces deux derniers ont été visités pour la seconde fois cette saison. Pour chaque délit, les malfrats sont repartis avec un butin bien maigre. Depuis le printemps dernier, une trentaine de faits identiques ont été recensés sur le département.