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La formation musicale des sapeurs pompiers du Doubs poursuit sa série de concerts pour aider les orphelins qui ont perdu un proche dans l’exercice de ses fonctions. Le vendredi 29 avril, à 20h30, la troupe se produira à la salle des fêtes de Levier. Ouverture des portes à 20h.

Depuis trois ans, cette troupe sillonne la région. Sur scène, une cinquantaine d’artistes, musiciens, chanteurs et danseurs, tous sapeurs-pompiers, actifs, jeunes ou anciens, et agents du service d’incendie et de secours du Doubs, accompagnés d’une dizaine de copains artistes, tous bénévoles. Tous les âges et tous les grades sont représentés dans deux formations musicales et une chorale qui se succèdent à un rythme effréné. Au cours de ce spectacle, ces artistes amateurs revisiteront les grands classiques du rock des années 70 et des tubes du rock français des années 80. « Un spectacle détonant qui a déjà réuni plus de 3000 spectateurs Â» explique le Capitaine Patrick Petitcolin, le Chef du centre de secours d’Amancey.

20 orphelins dans le Doubs

Les bénéfices récoltés au cours de ces soirées sont intégralement reversés aux orphelins des sapeurs pompiers. Notre pays compte 1300 orphelins, dont 20 pour le seul département du Doubs. « On compte sur la mobilisation des Francs-Comtois. Venez-nombreux soutenir cette belle cause Â» ajoute le Capitaine Petitcolin.

Infos pratiques : La billetterie est ouverte. Pour réserver vos places : www.udsp25.fr ou 06.43.22.17.81. Des tickets sont également en vente dans différents commerces à Levier, Sombacour, Frasne et Amancey. Une organisation des pompiers de Levier, Frasne, Levier, Ornans, Longeville et du Val d’Usiers.

Le val de Morteau va se doter d’un nouveau centre de secours renforcé. La première pierre de cette nouvelle infrastructure sera officiellement posée le 28 avril prochain au 13 rue du Bief à Morteau.

Seront notamment présents : Christine Bouquin (Présidente du Conseil Départemental du Doubs), Jean-Marie Binetruy (Président de la communauté de communes du Val de Morteau), Annie Genevard (députée-maire de Morteau) et Bruno Todeschini (maire des Fins).

Un important incendie s’est déclaré ce samedi matin, vers 7h30, au Cerneux-Péquignot, en Suisse voisine. Il a pris dans une ancienne scierie abritant une menuiserie. La bâtisse est entièrement détruite. On ne déplore aucun blessé.

Une enquête est en cours. Elle permettra d’établir s’il existe un lien entre cet incendie et deux autres survenus ces deux dernières semaines dans le district.

Après sa sixième place dans l’épreuve du jour, Thibaut Pinot termine à la quatrième place du classement général du tour du Pays Basque. La dernière étape s’est disputée ce samedi.

Ce samedi, dans la continuité de la manifestation bisontine contre la loi travail, un mouvement citoyen, baptisé « Nuit débout Â» s’est installé sur la place Granvelle. En début d’après-midi, une cinquantaine de personnes avaient pris possession des lieux. Parmi elles, des étudiants, des anonymes, des militants syndicaux et des partis politiques et quelques responsables associatifs.

A l’initiative de ce rassemblement, des étudiants du comité de mobilisation de l’université de Franche-Comté. Ici, on échange, on discute et on partage des idées sur la société et le monde du travail. Bien évidemment, le texte de loi El Khomri est évoqué mais la réflexion est beaucoup plus large. « Lancer des débats pour inventer un nouveau modèle de société Â» explique Ariane du comité de mobilisation de l’université de Franche-Comté et militante au Parti Communiste Français.

Quel avenir pour le mouvement ?

A Besançon, la mobilisation a débuté par une « disco soupe Â» préparée par les étudiants. Elle s’est ensuite poursuivie par une assemblée générale citoyenne. Après avoir construit et voté l’ordre du jour, qui s’articulait autour de quatre points ( le rôle des associations dans ce mouvement, les notions de réduction du temps de travail et partage du travail, la mobilisation dans les quartiers et l’organisation d’une grande marche vers Paris), les participants ont pris la parole et exprimé leurs propositions et convictions. Pour prendre part à la discussion, il suffit de demander la parole et de respecter les 3 minutes imparties. Cette première « Nuit debout Â» en appellera-t-elle d’autres ? L’initiative lancée par les étudiants bisontins trouvera-t-elle des relais ? « La suite ne dépend pas de nous. Elle dépend de tous les citoyens. On espère que les gens répondront à l’appel et que la mobilisation ne s’essoufflera pas et perdurera le plus longtemps possible Â» conclut Ariane.

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