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Les quatre salariés de la fonderie MBF Aluminium, engagés dans une grève de la faim, ont décidé de suspendre l'action qu'ils avaient lancée le 18 mai dernier devant Bercy. Ils sont rentrés cette nuit à Saint-Claude. Ils auront néanmoins obtenu une rencontre avec le conseiller d'Emmanuel Macron et la Ministre déléguée à l'industrie Agnès Pannier-Runacher.

Le collectif regrette l'attitude de Bruno Le Maire, le ministre de l'économie, « qui a préféré faire la tournée des bars plutôt qu'accorder quelques minutes à des salariés qui sont en lutte pour leurs emplois et la survie de leur territoire ».

« Malgré 52 jours de grève où les salariés ont tout fait pour privilégier le dialogue, la communication avec tous les interlocuteurs, cela a poussé les salariés de la fonderie de Saint Claude dans des voix et choix qu'ils n'ont jamais souhaité entreprendre » conclut le communiqué de presse.

Environ 150 personnes se sont rassemblées ce samedi après-midi sur la place de la Révolution à Besançon pour dénoncer la réforme de l'assurance chômage. Les intermittents du spectacle, via le CIP (la Coordination des Intermittents et Précaires), avaient , pour l'occasion, choisi de mener une opération de contestation en endossant le costume de bourgeois, manifestant sous l'étiquette du parti de la DD, la droite décomplexée.

Si parfois, les organisateurs ont été débordés par des déviances verbales d'autres participants, le concours de slogans, lancé sur la place de la Révolution s'est déroulée dans une atmosphère sereine et bon enfant. 'Ruissellement vers le haut à bas les impôts », « « Intermittents fainéants », « solidaire avec le RPR », « Faites des enfants, pas des intermittents » pouvait-on entendre.

Pour les manifestants, auxquels l'association « AC Agir Contre le Chômeur » s'est jointe, cette réforme « va exclure 1,7 millions de personnes du régime de l'indemnisation chômage ou va baisser leurs indemnisations ». A Besançon, on demande purement et simplement « l'annulation » de cette réforme.

La Ville de Besançon une campagne de stérilisation des chats errants. Dans la cité comtoise, le nombre de chats errants est en constante augmentation. Ce qui engendre divers problèmes sanitaires et des nuisances. La stérilisation et l'identification sont aujourd'hui les moyens les plus efficaces pour gérer les colonies de chats libres et domestiques. Ainsi, à compter du 31 mai, une campagne de trappage, de stérilisation et d'identification sera mise en œuvre au sein de six quartiers bisontins

Saint-Ferjeux : du 31 mai au 14 juin 2021. Saint-Claude : du 31 mai au 14 juin 2021. Tilleroyes : du 15 juin au 6 juillet 2021. Orchamps : du 15 juin au 6 juillet 2021. Planoise : du 21 juin au 11 juillet 2021. Cras Palente : du 6 au 24 septembre 2021

30 millions d'Amis, la SPA, NMC, ainsi que deux cliniques vétérinaires (Pirey et Tilleroyes) s'associent à cette initiative municipale. Après avoir capturé les chats éligibles, les associations aidées par des bénévoles et des particuliers emmèneront les animaux chez les vétérinaires pour stérilisation et identification. Les chats seront enfin relâchés sur leur lieu de capture.

Le prochain conseil municipal de la ville de Pontarlier se déroulera le mardi 25 mai prochain. Comme les précédents, il sera diffusé sur la chaîne YouTube de la cité du Haut-Doubs, à partir de 20h, en retranscription sonore. Cette réunion aura lieu à l'Espace René Pourny pour assurer la distanciation entre les Élus et sans public.

Pour suivre les débats se rendre sur la Chaîne Youtube de la Ville de Pontarlier, sur la Page Facebook de la Ville de Pontarlier et  sur le site internet de la Ville de Pontarlier et du Grand Pontarlier

Concernant l'épidémie de covid-19 dans la région. La circulation virale continue de diminuer ces derniers jours en Bourgogne-Franche-Comté, « mais le repli reste très progressif. L'épidémie est encore la cause de nombreux décès à l'hôpital » explique l'Agence Régionale de Santé. µ

800 patients sont pris en charge pour des formes graves, autour de 110 personnes sont en réanimation dans la région. L'épidémie demeure néanmoins meurtrière, avec 62 nouveaux décès à l'hôpital cette semaine.

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