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Un nouveau foyer de fièvre catarrhale ovine (FCO) de serotype 4 a été découvert sur un bovin dans une commune de l’Ain, Chezery-Forens. De ce fait, une partie du département du Jura se trouve en périmètre interdit.

Au total, 26 communes (soit 60 exploitations bovines et 31 exploitations de petits ruminants) sont concernées et mises en périmètre d’interdiction par arrêté préfectoral du 18 décembre 2017. Il s’agit des communes de : Avignon-Les-Saint-Claude, Villard-Saint-Sauveur, Lajoux, Chassal, Bellecombe, Les Bouchoux, Choux, Coiserette, Coteaux du Lizon, Coyrière, Jeurre, Lamoura, Larrivoire, Lavancia-Epercy, Lavans-lès-Saint-Claude, Molinges, Montcusel, Les Moussières, La pesse, Pratz, Rogna, Saint-Claude, Septmoncel-les-Molunes, Vaux-lès-Saint-Claude, Villard-Saint-Sauveur, Viry et Vulvoz. Le reste du département du Jura demeure dans la zone de protection établie depuis le 6 novembre 2017.

Ainsi, la Préfecture du Jura a pris des mesures pour lutter contre la maladie et limiter la propagation du virus comme l’interdiction de mouvements d’animaux sur un rayon de 20 km autour du foyer situé dans la commune de Chezery-Forens dans l’Ain, la vaccination rapide et obligatoire de tous les animaux des espèces sensibles des exploitations se trouvant dans le périmètre interdit ainsi que les animaux des autres exploitations des communes de la zone de protection et le lavage, la désinfection et la désinsectisation des moyens de transport des animaux.

Ce mercredi soir, à 20h15, c’est un match important pour le maintien en Proligue que va disputer le Grand Besançon Doubs Handball. La formation bisontine, actuelle 13è du classement, reçoit Caen, qui éprouve également des difficultés depuis le début de saison. Le groupe n’occupant qu’une peu envieuse dixième position. Autant dire que les deux équipes ne veulent pas passer à travers cette rencontre et remporter les points de la victoire qui leur permettraient de passer de meilleures fêtes de fin d’année. A Besançon, même si l’on connaît l’enjeu de cette rencontre, on ne veut pas non plus dramatiser. « Une défaite ne remettrait pas en cause complètement le maintien en fin de saison Â» explique Alain Portes, le coach. Néanmoins, comme le souligne le jeune demi-centre Thomas Guyet, « Ã  ce stade de la compétition, les points perdus valent cher Â».

Alain Portes sait que son équipe a envi de bien faire. Il espère qu’elle saura appliquer les consignes et faire douter son adversaire, qui présente de solides arguments, tant au niveau de son effectif que dans son jeu. L’entraîneur espère un épilogue favorable. « Les joueurs ont envie de finir l’année sur quelque chose de positif, de partir en vacances avec la sensation d’avoir fait leur travail correctement, et surtout de créer une dynamique de reprise qui serait plus positive si l’on gagnait ce dernier match » commente-t-il. Et de conclure : « Ce serait mieux de remporter cette rencontre. Si l’on a sept points à la trêve, cela fait un parcours de relégable. Avec neuf points au compteur, ce serait beaucoup mieux Â».

Ce mardi matin, dans le cadre de la sécurisation des commerces et de la lutte contre les vols à main armée, le Préfet du Doubs, Raphaël Bartold, et Jean-Louis Fousseret, le Maire de Besançon, étaient sur le terrain pour assister à une opération de sensibilisation et de contrôle au centre-ville de Besançon. Durant les préparatifs des fêtes de fin d’année, période durant laquelle l’activité commerciale est dense, mais aussi tout au long de l’année, les forces de police municipale et nationale œuvrent ensemble pour préserver la sécurité et la tranquillité publique sur le secteur bisontin.

Comme le rappelle Danielle Poissenot, l’élue en charge de la sécurité et de la tranquillité publique à la Ville de Besançon, « la municipalité a fait de la sécurité l’une de ses priorités dans ce mandat Â». A l’instar de nombreuses villes de France, les faits de délinquance et les zones de non droit ont tendance à se multiplier à Besançon et le sentiment d’insécurité est également partagé par de nombreux Bisontines et Bisontins. Dans ces conditions, Jean-Louis Fousseret souhaite voire les moyens humains de la police nationale et de la justice se renforcer. Tout comme ceux de la police municipale bisontine, dont il a doublé les effectifs dans le quartier Planoise, pour en faire une police de proximité. Par ailleurs, d’autres mesures sont dans les cartons : Besançon saura dans le courant du mois de janvier si elle fait partie des villes retenues pour tester la police de sécurité du quotidien sur son territoire, le deuxième commissariat, implanté dans le quartier Planoise, sera bientôt une réalité et de nouvelles caméras de vidéosurveillance seront implantées en son sein. D’ici la fin de l’année, Besançon comptera 180 caméras. D’autres verront le jour dans le courant de l’année 2018.

16 nouveaux gardiens de la paix

Comme il s’y était engagé, Gérard Collomb, le ministre de l’Intérieur, a nommé seize nouveaux gardiens de la paix dans le département du Doubs. Ces femmes et ces hommes viennent renforcer les effectifs des commissariats de police de Besançon, Montbéliard et Pontarlier. D’autre part, le Préfet du Doubs et le Maire de Besançon ont évoqué les statistiques concernant la délinquance dans le département. Selon messieurs Bartold et Fousseret, elle est à la baisse. En 2017, les atteintes aux biens et aux personnes diminuent. Seuls les cambriolages augmentent encore. Le Préfet a promis une présentation plus précise de la situation en janvier prochain par le ministre de l’Intérieur.

Ce matin, vers 10h45, un homme de 43 ans a été victime d’un grave accident de la circulation sur la commune de Petit-Noir. Son véhicule est entré en collision avec un poteau en bois servant aux décorations des fêtes de fin d’année.

Après les opérations de désincarcération, la victime a été transportée médicalisée sur le centre hospitalier de Besançon. Son pronostic vital reste engagé.

Les pompiers du Jura sont intervenus ce matin peu avant 11h sur la commune de Petit-Noir.

Une voiture a terminé sa course contre un poteau. Une victime était incarcérée à l’intérieur du véhicule à l'arrivée des secours.

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