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Selon Samuel Estève, l’avocat de Jonathann Daval, dont les propos ont largement été repris par la presse nationale, son client serait « en très grande souffrance psychologique Â». « Il essaie de survivre psychologiquement Â» a explique l’homme de loi au micro de BFM TV.

Daval a également été placé à l’isolement pour le protéger des autres détenus de la maison d'arrêt de Dijon. « Une mise à l’écart nécessaire car ce sont des faits qui ont une résonnance particulière en prison Â» a complété maître Estève.

Rappelons que l’informaticien de 34 ans a reconnu avoir tué sa femme le 30 janvier dernier lors d’une dispute conjugale survenue dans la nuit du 27 au 28 octobre au domicile du couple à Gray-la-Ville (70).

La cour d’assises a rendu son verdict la nuit dernière. Les quatre braqueurs de la bijouterie Van Brill ont été condamnés à des peines de 5 à 9 ans de prison ferme. Le braquage s’était déroulé en novembre 2014 au centre-ville de Besançon. Trois des quatre prévenus, arrêtés en mars 2015 dans la région lyonnaise, ont nié les faits tout au long de leur procès.

Elle a 22 ans, habite le Russey et fait des études en Master Ressources Humaines, travaillant dans cette optique en alternance dans ce service à la Poste de Pontarlier. Une jeune fille qui se retrouve aujourd’hui avec une couronne sur la tête alors qu’elle n’avait postulé au départ que pour s’amuser…

« Je vais ouvrir le défilé du Carnaval et on m’a déjà proposé hier soir de défiler aussi pour un magasin Â» confie Sandra qui ne cache pas apprécier ce milieu qui fait rêver. « On défile dans de belles tenues, on nous coiffe, on nous maquille. C’est agréable Â».

Alors pourquoi pas une suite à cette aventure locale. « Etant élue Miss Carnaval de Maiche, je vais concourir à l’élection de Miss Doubs et peut-être aller plus loin Â» confie-t-elle après une courte nuit de sommeil et avant un week-end qui s’annonce long et jalonné de nombreux applaudissements et félicitations.

C’est la mission que se sont  fixées la direction et l’équipe éducative du groupe scolaire Sainte Famille/ Sainte Ursule, implanté rue Brûlard à Besançon. Actuellement, plus de 500 enfants et adolescents y sont accueillis. Ces petits et grands élèves sont scolarisés de l’école maternelle au lycée. Le fer de lance de ce lycée professionnel privé est de faire réussir ses élèves, en privilégiant la responsabilisation et en donnant du sens aux apprentissages. De la 6è à la terminale, les enfants s’engagent dans des projets. Même à l’internat, que l’on appelle ici « résidence Â», on fait confiance aux jeunes. Attention néanmoins à ne pas trahir la confiance des adultes.

La Fab-Lab

Comme Factory Laboratory, la Fab-Lab est un lieu d’expérimentation où les collégiens prennent des initiatives et s’organisent dans le but de faire aboutir une idée, un projet. « Nous mettions plein de choses en place pour accompagner nos élèves en difficulté, mais nous avions tendance à oublier nos bons élèves. C’est une idée que j’ai pue développer lors de mon passage à Québec Â» explique Martial Couillaud, le directeur de l’établissement. Cette année, dans ce laboratoire, les classes de 6è à la 4è travaillent sur la fabrication d’un robot. Alors que leurs aînés, les 3ès, s’investissent dans la création de jeux vidéo. « Nous sommes encadrés par un professeur, mais c’est nous qui faisons Â» explique Saliha, qui est en sixième. Chaque semaine, deux heures de cours sont dégagées dans l’emploi du temps afin que ces petits génies puissent mener à bien leur projet collectif. Dans ce cadre-là, on utilise l’outil informatique, on s’intéresse à la programmation informatique et on approfondit la langue de Shakespeare. D’ici la fin de l’année scolaire, le robot de la Fab-Lab du collège bisontin sera terminé et devrait en surprendre plus d’un quant à sa capacité à relever de nombreuses tâches.

La Résidence

Au groupe scolaire Sainte Famille/ Sainte Ursule, on ne parle pas d’Internat mais de résidence. Avec les lycéens, on joue clairement la carte de la confiance, et cela semble marcher. Justin, élève en bac professionnel, le reconnaît lui-même. « On ne cherche pas à franchir les barrières. On apprécie que l’on nous fasse confiance Â» explique-t-il. Avec l’accord des parents, les jeunes organisent leur temps scolaire, leurs sorties et apprennent à s’auto-gérer durant les temps de vie quotidienne. Le lever, les études, les moments entre amis, … sont autant d’instants où chacun doit se responsabiliser. Justin se souvient encore de la petite incartade de l’année dernière, où il s’est fait rappeler à l’ordre. « J’ai compris. Je ne le referai plus Â» dit l’adolescent embêté.

C’est donc dans ce contexte pédagogique bienveillant qu’enfants et adolescents évoluent. Un lycée à dimension humaine dans lequel les élèves apprennent à grandir.

Comme chaque année, le réseau Information jeunesse organise son forum jobs d'été. Plusieurs rendez-vous sont prévus dans le Jura : le 10 mars, de 10h à 13h, à l’Oppidum de Champagnole, le 16 mars, de 17h à 19h, à la médiathèque de Morez, le 22 mars, de 10h à 18h, à Soféo à Oyonnax et le 24 mars, de 10h à 16h, à la salle du Puits Salé à Lons-le-Saunier.

Ces animations spécifiques permettent aux jeunes d’avoir accès à toutes les informations sur la recherche d’un « job d’été Â» et aux professionnels de rencontrer des candidats. De nombreuses offres de jobs ont été récoltées en amont et seront mis à disposition les jours des forums. Des recruteurs seront également présents afin de réaliser des entretiens et récupérer des candidatures.

Un espace dédié aux conseils sur les CV, lettre de motivation, les candidatures sur le web sera également disponible. Les personnes qui le souhaitent pourront également s’exercer à la simulation d’entretien. En parallèle d’autres pistes seront également présentées afin de se sentir utile pour l’été : Chantiers de jeunes, baby sitting, bénévolat, service civique…

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