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Inadmissible. La rencontre entre Frasne et Planoise Chateaufarine s’est transformée en un véritable combat  de boxe. A la 85è minute de jeu, l’arbitre de la rencontre a dû arrêter le match, après l’agression totale d’un jeune footballeur de Frasne par deux joueurs de Planoise. La violence fut telle que le jeune homme à terre aurait pu perdre la vie. « Il a été frappé à plusieurs reprises au niveau de la tête. Il a une fracture importante à la tempe. A quelques millimètres près, il était mort Â» explique la maman du jeune homme.

Ces parents n’en reviennent toujours pas. « Cela fait des années que nous sommes dans le football, jamais on a vu une telle violence Â» expliquent-ils. Leur enfant, âgé de 23 ans, est toujours hospitalisé. Il présente une quinzaine de fractures au niveau du visage. « Il est très choqué. Il fait des cauchemars la nuit. Il a un énorme Å“dème à l’œil. Il devrait se faire opérer prochainement Â» explique cette maman, très émue.

Plusieurs plaintes seront déposées.

Si l’agression de la victime fait froid dans le dos et mérite d’être sanctionnée fortement, les parents concèdent également que des provocations, émanant de supporters alcoolisés, ont eu lieu en marge de la rencontre. « Rien ne justifie cette violence, mais je peux comprendre aussi la colère d’une équipe qui vient de Besançon et qui se fait insulter Â» ajoute la mère de famille. « Ca a démarré des tribunes. Ca a envenimé les choses Â» ajoute-t-elle.

« L’arbitre de touche de Planoise a essuyé le sang sur le visage de mon fils Â»

Cette maman est également en colère contre le CS Frasne qui n’avait pas de trousse de secours à disposition pour apporter les premiers soins à la victime. « Je tiens à remercier l’arbitre de touche du club de Planoise qui est allé vers mon fils pour l’éponger avec un maillot Â» complète la maman. Cette famille est encore abasourdie. « Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour que plus jamais cela se reproduise. J’ai pris contact avec les avocats. Malheureusement, la gendarmerie de Frasne reste injoignable depuis deux jours. Je vais prendre les choses en main. Croyez-moi. Cela ne se produira plus jamais Â» ajoute -t-elle. Cette famille ne veut pas incriminer le club de Planoise. « Mon autre fils a déjà rencontré cette équipe et cela s’était bien passé Â» prévient cette mère de famille, qui devrait déposer quatre plaintes. L’une à l’encontre des deux joueurs violents et de leur club, le club de Frasne et les supporters de Frasne.

Dès demain et pendant trois jours, onze plongeurs de combat du 19ème régiment du génie vont s'entraîner à Ornans et dans ses environs. Un exercice grandeur nature en tenue de camouflage qui attireront à coup sûr l’attention.

Ils utiliseront par exemple les parois naturelles d'escalade du site de la Brême et de la Roche du Mont, puis traverseront la commune pour un raid kayak et effectueront une marche nocturne dans les environs d'Ornans. Â« Ne soyez ni étonnés, ni inquiets de leur présence Â» précise la mairie.

L'initiative visait un changement radical de politique agricole helvétique avec notamment des mesures pour préserver les surfaces cultivables, favoriser des prix équitables et renforcer les échanges directs entre paysans et consommateurs. Et ce en favorisant les circuits courts pour permettre aux petites exploitations locales de retrouver un minimum de rentabilité. Les produits étrangers ne répondant pas aux normes sociales et environnementales suisses auraient été interdits et les autres auraient été soumis à des taxes douanières.

La crainte d'une forte augmentation des denrées alimentaires, a sans doute pesé lourd. Les élus pensent eux que ce résultat montre que les suisses sont satisfaits de la qualité des aliments et de leur prix.

« Nous sommes surpris par la clémence de ces analyses. Combien de fois la presse régionale est-elle montée aux barricades pour dénoncer les importantes pollutions détectées dans le Doubs. C’était encore le cas en mars 2017, suite à un double rapport chapeauté par Pro Natura, le WWF et la Fédération suisse de pêche. Une opération baptisée « Limitox Â» a même été lancée pour traquer les macro-polluants concentrés dans le Doubs supérieur et moyen Â» s’étonnent les défenseurs du site qui s’opposent à la destruction de ce petit barrage.

« Faut-il en conclure que le Doubs serait pollué sur l’ensemble de son cours sauf, comme par hasard, au niveau du lac du Theusseret ? Â»

Ce rapport chiffre la masse des sédiments à déplacer en cas d’arasage à 15000 mètres-cube. « Durant plusieurs mois, les pelleteuses devraient donc jouer dans un « bac à sable Â» grandeur nature, puisque les sédiments seraient déplacés d’un endroit à l’autre selon les « besoins Â». Il est clair que Véodis n’évalue à aucun moment l’impact de ces travaux sur la rivière et la nature environnante ! Qui plus est, les seuils seraient démontés par tranches de 30 centimètres environ, entrecoupées de temps d’adaptation pour ménager les rives ; ceci présage de la durée des travaux ! Â» poursuit encore le collectif Sauvons le Theusseret.

Enfin, la consolidation du bâtiment existant, le Restaurant du Theusseret, est estimée à 40000 euros. « Une évaluation rapide des coûts en regard du marché helvétique laisse présager une somme 10 à 15 fois supérieure. Inutile de préciser que Véodis s’est bien gardé de faire établir un devis par des professionnels de la branche Â» poursuivent les responsables avant de conclure : « Ce rapport va dans le sens de la pensée unique. Son seul angle d’attaque est la destruction des seuils du Theusseret, et tous les prétextes sont bons pour y parvenir ! Â»

C'est dans la nuit de lundi à mardi que devrait avoir lieu la reconstitution des faits sur les lieux même de la disparition de Maelys, à la salle des fêtes de Pont-les-Beauvoisin, puis au domicile de Lelandais et enfin là où a été retrouvé le corps de la petite fille. La justice espère que ce moment fort permettra d'éclaircir de nombreux points restés sans réponses et donc de donner enfin à la famille dans l'attente des explications sur les derniers instants de leur enfant.

Ce lundi est aussi le jour choisi par le journal Le Parisien pour donner la parole au frère de Lelandais. Prénommé Sven, il explique ne pas imaginer Nordhal comme un tueur froid et dit privilégier la mort accidentelle pour Maelys comme pour Arthur Noyer. "Je n’imagine pas Nordahl pédophile ni homosexuel" explique-t-il avant d'expliquer qu'il pense que son frère n'a pas agi seul.

 

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