Choix du secteur :
Se connecter :

Les joueurs du GBDH se déplacent demain dans le cadre de la 4è journée de Nationale 1.

Les bisontins toujours invaincus après trois journées de championnat vont affronter l’Elite Val d’Oise. 

Le coup d’envoi du match sera donné demain à 18h30.

Une bonne nouvelle pour Annie Genevard, la députée du Doubs, mais aussi pour Denis Gérôme, le Président de la fédération commerce et artisanat Grand Pontarlier. Effectivement, l’assemblée nationale vient d’adopter une disposition permettant la modification de la composition des CDAC ( les commissions départementales de l’aménagement commercial) afin d’y intégrer des réseaux consulaires, soit des représentants de la chambre de commerce et d’industrie, de la chambre de métiers et de l’artisanat et de la chambre d’agriculture.

Annie Genevard explique qu’il s’agit « d’une avancée qui permettra aux acteurs économiques de s’exprimer sur les projets commerciaux examinés afin de permettre un meilleur équilibre entre tous les types de commerces Â». Denis Gérôme y voit également une décision positive. « C’est une bonne nouvelle qu’une voix connaissant l’environnement commercial et industriel de notre région soit maintenant intégrée au débat des CDAC Â» commente-t-il. Rappelons cependant que les règles n’évoluent pas pour autant. L’implantation d’un commerce d’une superficie en-deçà de 1000 m2 reste possible sans autorisation. Ce qui n’est pas le cas pour les projets supérieurs. Pour Mr Gérôme, le risque jusqu’à présent était d’autoriser ces implantations plus importantes « sans avoir un avis averti du milieu commercial Â». Ce qui ne sera sans doute plus le cas. « Cette décision est un plus pour la réflexion et l’avis final Â» complète le responsable.

Le cas de Pontarlier

Denis Gérôme reconnaît que, même si le commerce pontissalien se porte globalement bien, « il n’est pas raisonnable de continuer à créer des mètres-carrés commerciaux Â» dans les zones du Grand Pontarlier. Faisant notamment référence au sport, il indique que «  certains domaines sont suffisamment représentés et qu’il n’est pas indispensable de multiplier l’offre Â». Néanmoins, il admet aussi que la concurrence « n’a pas que du négatif Â». « Elle permet de se remettre en question et de faire progresser son activité  Â» conclut-il.

Connu également sous le nom de roi du Doubs, l’apron est un poisson très discret de 20-25 centimètres, qui vit dans le fond des rivières. « En danger critique d’extinction Â», il a été au cÅ“ur de vastes opérations de recherches ces dernières nuits du côté de Goumois.

15 agents de l’agence française de biodiversité (AFB), de l’Office fédéral de l’environnement (OFEN) et le Canton du Jura étaient en effet sur sa trace : « Le repérage nocturne à la lampe est une technique particulièrement adaptée à cette espèce discrète : c’est la nuit que les individus sont actifs et leurs yeux contenant une importante quantité de guanine reflètent bien la lumière lorsqu'on l'éclaire Â».

Mais les arpons n’étaient pas au rendez-vous. Des résultats qui vont sans doute conduire la direction régionale Bourgogne Franche-Comté de l’AFB à engager à une autre période de l’année de nouvelles observations. L’heure est d’ici là au bilan et aux réflexions quant à cette absence constatée sachant que cette espèce « exige un milieu de vie de qualité…sa régression importante au cours du 20ème siècle étant due directement aux impacts des activités anthropiques (aménagements des cours d’eau, dégradation de la qualité de l’eau…) Â».

L’objectif a été d’échanger sur les opportunités de développement d’offres touristiques partagées et de réfléchir à une meilleure valorisation de la destination « Arc jurassien franco-suisse Â». Les participants, élus et professionnels, ont d’abord fait un rappel des stratégies existantes, le contrat de station côté français et le plan directeur côté suisse. Plusieurs projets réalisés en coopération.

Ont été présentés avant d’entamer un travail en atelier sur « la complémentarité franco-suisse en matière de tourisme ainsi que sur les moyens et les projets à mettre en Å“uvre pour développer les coopérations transfrontalières dans ce domaine.

« Cette journée a permis non seulement de mettre en avant les projets franco-suisses réalisés et à venir en termes de tourisme, mais aussi de constater que l’évolution des pratiques des touristes nécessite la mise en place d’outils adaptés.

Pourquoi ne pas envisager une campagne de communication commune (franco-suisse) d’ici l’été prochain ? Pour cela, il est nécessaire de trouver la bonne échelle territoriale et de mobiliser des financements existants Â», a déclaré Patrick Ayache, vice président de la Région Bourgogne Franche-Comté.

Parmi les spécialistes que compte le 13ème régiment de génie de Valdahon figurent les plongeurs de combat. Des soldats qui s’entrainent régulièrement au Lac Saint-Point comme ces derniers jours où ils étaient présents sur place pour un exercice de remontée d'épave de véhicule.

« Ce savoir-faire est l'un des nombreux que peuvent employer les plongeurs, capables de reconnaître les axes, de s’infiltrer, d'effectuer des travaux subaquatiques... Â» précise le service communication.

Sous-catégories